Design Graphique ?

Le design graphique, conception graphique ou encore communication visuelle est le traitement des informations et savoirs par des créations. Avec l’évolution de la communication et de la digitalisation, les entreprises ont des besoins de plus en plus variés et le design graphique en fait partie. ( https://www.sortlist.fr/blog/design-graphique/)

Qu’est-ce que le Design Graphique ?

Le design graphique, ou conception graphique, est la compétence visant à créer des supports de communication visuelle pour un post, une impression ou affichage sur écran. Ici il est question d’utiliser des images pour transmettre des informations et des concepts à un public qui varie en fonction de la cible. Ce sont des supports conçus par un designer graphique pour refléter l’identité visuelle d’une structure. Il est très important de comprendre de quoi il s’agit, quel type d’informations doit être véhiculer pour mieux concevoir un design simple, esthétique et agréable tout en donnant de l’ordre et du sens à un contenu visuel.

Où utiliser le design graphique

Le plus passionnant en design graphique est de pouvoir donner une beauté à chaque idée selon son utilisation.La conception graphique ne s’utilise pas de la même manière quand on fait de la signalétique, des vêtements, ou une application mobile.Pour les vêtements, l’enjeu est de créer un vêtement qui correspond à l’identité visuelle d’une marque et qui donne envie d’être porté. Dans le cas de la signalétique, l’objectif sera de simplifier le message pour sa bonne compréhension en un coup d’œil. Le design graphique a un rôle de transmission et de simplification de l’information.Or, pour la création d’une application mobile, le design graphique permet le moyen simple d’utilisation et la compréhension aux utilisateurs.

La diversité de l’utilisation du design graphique est bien large, et c’est la raison pour laquelle cette expertise demande de maîtriser quelques compétences.

Les Top d’outils de collecte de données pour votre marketing en 2023

Dans le monde d’aujourd’hui, avec la révolution de l’intelligence artificielle, « la donnée est reine ». Les entreprises qui collectent et analysent les données sont mieux équipées pour prendre des décisions éclairées et améliorer leur stratégie de marketing numérique. La collecte et l’analyse de données vous permettent d’obtenir des informations précieuses sur vos clients, vos concurrents et le marché dans son ensemble. Ces informations peuvent être utilisées pour créer des campagnes de marketing plus efficaces, cibler vos messages avec plus de précision et améliorer vos résultats.

Cependant, la collecte de données peut être un processus complexe, surtout si vous ne disposez pas des bons outils. Dans cet article, nous parlons de quelques outils de collecte de données pouvant vous aider dans votre stratégie de marketing numérique.

  1. Google Analytics

Google Analytics est un outil gratuit offert par Google qui permet aux entreprises de suivre et d’analyser le trafic de leur site Web. Il fournit une multitude de données, notamment sur le nombre de visiteurs, le temps passé sur le site, les pages les plus populaires, les taux de rebond (c’est le pourcentage de visiteurs qui accèdent à une page, puis quittent le site sans ne cliquer nulle part ni accéder à une autre page du même site), etc. En utilisant Google Analytics, les entreprises peuvent obtenir des informations précieuses sur le comportement des utilisateurs et améliorer leur expérience en ligne.

  1. Les heatmaps

Une heatmap (en français « carte thermique ») est une représentation graphique décrivant la navigation des visiteurs de votre site web. Via un code de couleurs, vous pouvez identifier les sections ou les pages les plus visitées et les moins populaires de votre site, ce qui peut aider à optimiser la conception et le contenu du site Web pour une meilleure expérience utilisateur.

  1. Les formulaire d’enquête

L’enquête est un moyen simple mais efficace de collecter des données auprès des clients. Vous pouvez utiliser des enquêtes pour recueillir des commentaires sur leurs produits ou services, ou pour obtenir plus d’informations sur vos clients. Les enquêtes peuvent être effectuées de façon électronique (avec des outils tels que Google Form, HubSpot, Jotform, Canva, etc.) ou de manière physique et peuvent être personnalisées pour répondre à des besoins spécifiques.

  1. Le Social Media Analytics

 Les réseaux sociaux sont un outil puissant pour les entreprises qui recherchent une présence constante auprès de leurs abonnés. Les plateformes de médias sociaux telles que Facebook, Twitter et Instagram offrent des outils d’analyse gratuits qui permettent aux entreprises de suivre leur engagement social, leur portée et leur croissance des abonnés.

  1.  L’A/B Testing

L’A/B testing est un processus qui consiste à tester deux versions différentes d’une page Web pour voir laquelle fonctionne le mieux. Par exemple, vous pouvez effectuer un test A/B sur deux versions différentes d’une page, ou deux créations publicitaires différentes. L’essentiel est de ne modifier qu’une seule variable à la fois, afin de pouvoir isoler l’impact de ce changement sur le taux de conversion. En testant différentes versions de vos messages marketing, vous pouvez identifier celles qui sont les plus efficaces pour générer des conversions. Cela peut vous aider à améliorer votre retour sur investissement et à atteindre vos objectifs marketing.

Voilà cités plus haut quelques outils de collecte de données pouvant vous aider dans l’amélioration de votre stratégie marketing. Attention, cette liste n’est pas exhaustive, il existe beaucoup d’autres outils.  N’hésitez pas à nous mentionner en commentaire les outils qui ont été les plus efficaces pour vous !

 

Mise en place d’un système de Gestion Electronique de Documents

Un système de Gestion Electronique de Documents ou GED est une application logicielle capable de gérer les différentes étapes du cycle de vie du document (création, traitement, diffusion, élimination). La mise en place d’une telle solution répond au besoin de maîtriser et d’organiser la masse de documents qui circulent dans l’entreprise. Pour réussir un tel projet, il importe cependant de bien identifier les besoins de l’entreprise et de ses acteurs et de prendre en considération tous les aspects : le coût, le facteur humain et l’environnement technique du projet. L’étude des fonctionnalités des solutions de GED et l’analyse comparative de plusieurs solutions proposées par les éditeurs de logiciels constituent ensuite une étape indispensable à la réussite du projet. Cette synthèse présente les enjeux de la mise en place d’une telle solution dans l’entreprise et propose une démarche de mise en œuvre d’un système de GED ainsi qu’une analyse de certains logiciels du marché.

INTRODUCTION

Une Administration/institution produit/reçoit tout au long de son activité un grand nombre de documents. Certains sont vitaux (les titres de propriété ou les contrats), et doivent être conservés pour répondre à l’environnement réglementaire. D’autres encore, les documents dits de gestion tels que les comptes-rendus, les rapports, les documents bureautiques, peuvent être consultés dans le but de prendre une décision ou encore les documents d’exploitation. Par conséquent, la gestion et la conservation des documents au sein de l’entreprise sont des activités essentielles. Elles répondent à des objectifs d’ordre juridique et légal, à des enjeux patrimoniaux (constituer une mémoire d’entreprise et conserver les documents relatifs à l’histoire et à l’activité de l’entreprise) et à des enjeux stratégiques.

I- DEFINITION ET OBJECTIF DE LA GED 


DEFINITION
Dans le Dictionnaire encyclopédique de l’information et de la documentation, Jacques Chaumier définit la GED ou Gestion Electronique de Documents comme un « ensemble de logiciels concourant à réaliser les diverses étapes de la chaîne de traitement d’un document : acquisition, restitution, diffusion 1».
Un système de GED est donc une application logicielle qui vise à gérer et organiser l’ensemble de la documentation produite par l’entreprise.

La mise en place d’une GED dans une entreprise présente notamment les avantages suivants :
– accès rapide et à distance aux documents : le réseau (l’Intranet le plus souvent) permet l’accès à la base de GED et rend possible une consultation immédiate des documents
– base unique pour l’ensemble des documents de l’entreprise : les documents produits dans l’entreprise sont tous stockés dans une même base, prévenant ainsi le risque d’une dispersion des documents
– conservation des documents : le système de GED garantit la conservation des documents produits dans l’entreprise, et assure la pérennité dans l’accès aux documents
OBJECTIFS DE LA GED

Enjeux organisationnels et stratégiques
D’un point de vue stratégique, la mise en place d’une solution de GED rend possible une rationalisation des flux d’informations et donc un gain de temps. Elle permet notamment de :
– localiser plus rapidement l’information
– éviter la perte de documents
– éviter le redoublement des processus


La GED présente également de nombreux avantages pour la production de documents de manière collaborative. Couplée avec une fonctionnalité de Workflow, une solution de GED permet d’optimiser le processus d’édition des documents (cf. partie III.C)

Enjeux techniques
D’un point de vue plus opérationnel et technique, la GED garantit :
– La pérennité des documents et de leur support
– L’interopérabilité : les documents peuvent être accessibles sur différentes plates-formes et pour des usages divers
– La sécurité des données grâce à une fonctionnalité de gestion des accès
– La traçabilité : retrouver l’historique, l’utilisation, la localisation d’une entité au moyen d’identifications enregistrées

II- MISE EN PLACE D’UN SYSTEME DE GED

 

ANALYSE PREALABLE :
Afin de n’oublier aucun aspect, il est important de suivre une méthodologie précise de mise en œuvre à savoir:
LES PRINCIPES FONDATEURS DU PROJET : Il s’agit dans cette étape de définir les objectifs du projet, de préciser les attentes et Il est également important de déterminer le rôle et les responsabilités des différents acteurs impliqués dans le projet et d’identifier notamment le comité de pilotage, personnes mettant à disposition leurs compétences techniques pour la mise en œuvre
ANALYSE DES BESOINS ET ANALYSE DE L’EXISTANT: L’analyse des besoins, par le biais d’entretiens, permet d’avoir une appréhension globale des tâches et des fonctions de chacun dans l’organisme. Elle permet de connaître, pour chaque fonction, les besoins documentaires, les informations produites et les flux échangés.

ÉCUEILS A EVITER :
Cette partie présente les éléments de risque lors de la mise en place d’une solution de GED et détaille les moyens à mettre en œuvre pour garantir le succès du projet.
LE COÛT : Outre le coût du logiciel, la mise en place d’une solution de GED est coûteuse en temps et en ressources humaines. Le risque est de prévoir un budget insuffisant pour assurer le bon fonctionnement du système dans la durée. Le budget pour la mise en place d’une solution de GED doit notamment prévoir (étude préalable à la mise en place du logiciel, achat du logiciel et les coûts relatifs à sa mise en place)
LA RÉSISTANCE AU CHANGEMENT: Lors de la mise en place d’une solution de GED, plusieurs difficultés peuvent être rencontrées: le manque d’implication du personnel, la réticence des futurs acteurs du système face à l’arrivée d’un nouvel outil, la non-utilisation de l’outil en raison d’un manque de compétence. Des mesures doivent être prises pour pallier ces problèmes.
L’ENVIRONNEMENT TECHNIQUE: mise en œuvre d’un plan de migration et de recodification des données
Choix du logiciel :
La mise en place d’une solution de GED passe par l’analyse du logiciel. Plusieurs éléments doivent être analysés :
– Fonctionnalités offertes: acquisition et/ou création de document, stockage et archivage, recherche, consultation des documents, diffusion, fonctions spécifiques à l’entreprise.
– l’Architecture technique : relations stations serveur / stations clientes, réseau, protocole; développement spécifique du logiciel de GED, intégration à l’environnement bureautique.
– l’Offre de service de l’éditeur: Paramétrage, installation, formation, maintenance, support technique.
– Coût: Prix des licences, du développement, des services, politique de mise à jour

III- ENJEUX DE LA GED

ENJEUX TECHNIQUE :
– L’interopérabilité des formats : Dans l’environnement de l’entreprise, il est important que le document soit réutilisable et interchangeable. Lors de l’enregistrement d’un document dans un format donné, il faut qu’il puisse être accessible pour différents acteurs de l’entreprise et pour des usages divers (lecture à l’écran, impression, stockage, insertion d’objets, modification). L’interopérabilité des formats caractérise notamment la faculté pour ces formats d’être reconnus et lus sur des plates-formes, des logiciels et des médias différents. L’élaboration du standard XML est sensée répondre à ces objectifs
– La pérennité : La mise en place d’une solution de GED vise également à garantir la conservation des documents dans leur intégrité et la pérennité dans l’accès à ceux-ci. Plusieurs éléments doivent être pris en compte : la durée de vie des supports de stockage et celle des systèmes de lecture utilisés.
– la sécurité des données : Les enjeux relatifs à la sécurité des données conservées dans une base de GED sont:
– Garantie de l’authenticité des documents : la sécurisation du système de GED permet d’attester que le document n’a pas subi de modification
– Préservation de la confidentialité des informations présentes dans la base
– Protection contre l’altération volontaire des documents : modification, brouillage des données
– Protection contre l’altération involontaire des documents : erreurs de saisie par exemple
– Protection contre les dommages physiques (panne de matériel, incendie, etc.)

ENJEUX JURIDIQUES :
Le document écrit original est (à de rares exceptions près) la seule preuve valable pour la loi française. Les documents ont en général une durée de prescription légale de 10 ans. Ces faits sont des freins au développement du document électronique qui ne remplit pas la condition d’irréversibilité, de non reproductibilité et de localisation caractérisant le document original.
La valeur légale du document numérique dépend d’une part du type de document numérique produit et d’autre part de l’ensemble des textes qui s’appliquent à l’activité de l’entreprise.

Journée et Semaine Internationale des Archives

« Tout le monde conserve des archives, dans un cadre privé ou professionnel. A travers cette journée universelle, nous souhaitons démocratiser le métier d’archiviste et améliorer la perception du grand public face à la notion d’archive » 

David Leitch, Secrétaire général de l’ICA.

Célébrons les archives ! 

Saviez-vous que le 9 juin est la Journée Internationale des Archives ? Partout dans le monde, les professionnels unissent leurs voix le 9 juin pour vous faire comprendre pourquoi il est important de soutenir les archives et la profession. 

Une journée internationale des archives, pourquoi ?

Depuis sa création en 2008, la Journée Internationale des Archives a pour but de faire prendre conscience…

… à l’opinion publique, de l’importance des archives.

Les archives constituent la mémoire des nations et des sociétés; elles fondent leurs identités et sont un élément clé de la société de l’information.

… aux pouvoirs publics, des avantages d’un bon archivage pour établir une gouvernance de qualité.

Les archives constituent un patrimoine culturel et une source d’information de premier plan. Le patrimoine archivistique constitue un témoignage considérable sur le développement économique, politique, social et culturel de l’humanité.

… au grand public, aux secteurs public et privé, de la nécessité de conserver les archives sur le long terme, et de faciliter l’accès à celles-ci.

En témoignant des activités menées et des décisions prises, les archives assurent à la fois la continuité des organismes et la justification de leurs droits, ainsi que de ceux des individus et des États.

9 juin, une journée de célébration internationale.

Les archives représentent une richesse sans équivalent. Elles sont le produit documentaire de l’activité humaine et en tant que telles constituent des témoignages irremplaçables des événements passés. Elles garantissent le fonctionnement démocratique des sociétés, l’identité des individus et des communautés et  la défense des droits de l’homme.

A l’occasion du Congrès International des Archives à Vienne en 2004, les 2000 participants ont adopté une résolution demandant aux Nations Unies de créer une Journée Internationale des Archives. Lors de son assemblée générale de novembre 2007,  l’ICA a officialisé La Journée Internationale des Archives, le 9 juin.

Cette date s’imposait : c’est en effet le 9 juin 1948 que le Conseil international des Archives a été créé sous les auspices de l’UNESCO. Ce choix a été immédiatement approuvé et adopté par la communauté archivistique mondiale.

« Les archives consignent les décisions, les actions et les mémoires. Les archives constituent un patrimoine unique et irremplaçable transmis de génération en génération. Les documents sont gérés dès leur création pour en préserver la valeur et le sens. Sources d’informations fiables pour une gouvernance responsable et transparente, les archives jouent un rôle essentiel dans le développement des sociétés en contribuant à la constitution et à la sauvegarde de la mémoire individuelle et collective.

L’accès le plus large aux archives doit être maintenu et encouragé pour l’accroissement des connaissances, le maintien et l’avancement de la démocratie et des droits de la personne, la qualité de vie des citoyens. »

–Déclaration Universelle sur les Archives, Adoptée à l’Assemblée générale du Conseil International des Archives, Oslo, Septembre 2010 –

source ica

LA FONCTION ÉVALUATION EN ARCHIVISTIQUE

Deux types de principes fondamentaux constituent les assises théoriques de l’évaluation des archives, soit des principes généraux :

1) le principe du respect des fonds de Nathalis de Wailly (Duchein, 1977);

2) le principe des trois âges (Pérotin, 1961);

Les principes spécifiques, propres à la fonction d’évaluation :

1) la théorie des valeurs (Schellenberg, 1956);

 2) le principe de la contemporanéité des jugements concernant la valeur des archives (Jenkinson, 1965; Booms, 1972, 1987; Couture, 1999);

3) la considération des archives comme preuves privilégiées de toutes les activités des institutions de la société (Couture, 1999);

4) le respect des liens entre l’évaluation et les autres fonctions archivistiques (Couture, 1999);

5) l’équilibre entre les considérations liées à la création des archives et celles qui sont liées à leur utilisation (Couture, 1999);

6) l’équilibre entre les finalités d’utilisation administrative et les finalités patrimoniales (Couture, 1999).

Depuis les années 1970, la scène de la discipline archivistique contemporaine a été animée par un débat fructueux sur les approches d’évaluation des archives. Comme précisé par Cook (1999) «appraisal strategy, as distinct from appraisal theory […] provides a way or logic or means or methodology whereby the foregoing theoretical definitions of value may be implemented in working reality » (p. 8). Ces approches fournissent le cadre méthodologique au processus de détermination des valeurs attribuables aux archives (Cook, 1999). En Allemagne, la stratégie du Documentation Plan (Booms, 1972) vise à documenter l’ensemble des évènements et des personnes physiques et morales d’une société. Aux États-Unis, la Documentation Strategy (Samuels, 1986) s’intéresse à la documentation des fonctions principales de la société. Au Canada anglais, l’approche de la macro-évaluation (Cook, 1992b) suggère l’analyse du contexte institutionnel de création des archives en étudiant les structures de l’institution, ses fonctions, ses missions et ses activités.

Dans le même contexte canadien, l’approche centrée sur l’utilisateur (Eastwood, 1992b) est apparue. Cette dernière propose d’évaluer les archives en analysant leur contenu et leur utilisation. Enfin, au Québec, dans l’approche de l’évaluation intégrée (Couture, 1999), les valeurs des archives sont déterminées en fonction de l’analyse de leur contexte de création, de leur utilisation et de leur contenu. L’objectif ultime de toutes ces approches est par ailleurs le même : la constitution d’un patrimoine documentaire signifiant d’une société.

Au cours de la même période, les éléments du processus d’évaluation c’est à-dire les techniques, les instruments et les critères utilisés pour l’évaluation des archives ont également été améliorés. Plusieurs techniques d’évaluation ont été développées, dont l’analyse des besoins (Arès, 1999; Couture, 1999). Cet ouvrage traite des techniques et des instruments de gestion des archives. Nous y trouvons plusieurs aspects liés à la pratique de l’évaluation dont : le triage, ses lieux, ses moments et ses critères ; l’élimination après le triage ; les prescriptions légales et la question des délais de conservation et bien d’autres (Direction des Archives de France, 1970). En 1993, sous la direction de Jean Favier & Daniele Neirinck, la Direction des Archives de France publie un important ouvrage: La pratique archivistique française qui rappelle l’essentiel de la gestion des archives courantes, intermédiaires et définitives (Favier & Neirinck, 1993).

Les archivistes québécois Couture et Rousseau (1982a), dans leur ouvrage Les archives au XXe siècle : Une réponse aux besoins de l’administration et de la recherche, abordent plusieurs aspects liés au processus d’élaboration et de mise à jour du calendrier de conservation. Ils étudient aussi quelques méthodes de sélection (tri, échantillonnage, etc.). En 1996, les Archives nationales du Québec publient Normes et procédures archivistiques des Archives nationales du Québec dont le deuxième chapitre traite des critères de conservation, des critères d’élimination et comprend des précisions sur la technique de tri des documents selon les supports. Carol Couture et ses collaborateurs (1999) présentent à la communauté archivistique, dans le chapitre 4 de leur ouvrage Les fonctions de l’archivistique contemporaine, un éclairage important sur la fonction d’évaluation des archives : son processus d’application, ses étapes, ses techniques et instruments afférents. Du côté du Canada anglais, Barbara Craig produit, en 2004, un important ouvrage intitulé Archival Appraisal : Theory and Practice, dans lequel elle présente un survol intéressant des fondements théoriques de l’évaluation des archives, les approches et processus d’application basés sur les techniques, les instruments et les critères qui leur sont liés (Craig, 2004). William Saffady (2004) consacre deux chapitres (2 et 3) de son ouvrage Records and Information Management : Fundamentals of Professional Practice à l’étude de la préparation et la réalisation du calendrier de conservation (Retention Schedule) (Saffady, 2004). En 2005, Frank Boles rappelle dans son ouvrage Selecting & Appraising Archives & Manuscripts les fondements théoriques de l’évaluation et présente les différentes tendances pratiques qui en découlent.

Malgré le développement des trois volets (théories, approches et processus) de la fonction d’évaluation, l’apport de la normalisation, les efforts des diverses expériences des archives nationales dans plusieurs pays consentis pour le développement de l’évaluation des archives et les contributions considérables apportées par les ouvrages évoqués plus haut, la qualité des archives définitives n’a pas encore été étudiée de façon explicite. L’absence de recherches, de politiques, de normes et d’instruments sur la définition et la mesure des qualités attribuables aux archives définitives, qui caractérise la situation actuelle de l’archivistique contemporaine, engendre plusieurs conséquences négatives sous différents points de vue.

Du point de vue patrimonial, l’importance de l’évaluation des archives tient à son objectif premier qui est de constituer la mémoire d’une société à partir d’un matériel documentaire jugé pertinent. Or actuellement, il n’existe pas d’études qui permettent de vérifier à quel point les archives définitives atteignent cet objectif.

Donc on peut comprendre que tout d’abord, trois sources de littérature ont contribué à l’articulation de la définition des QADs et à leur précision. En plus des écrits sur la fonction d’évaluation des archives qui traitent de la notion de qualité dans la plupart des cas de manière directe, nous avons fait référence aux écrits sur la genèse du concept de qualité de même qu’à la littérature en sciences de l’information traitant des enjeux relatifs à la mesure des qualités.

Ensuite, nous avons pu proposer un cadre conceptuel permettant de définir les dimensions intrinsèques et extrinsèques des qualités des archives définitives issues d’une évaluation archivistique. Tel que démontré dans la revue de la littérature, plusieurs travaux en sciences de l’information se sont intéressés à l’étude de la qualité. Pour évaluer la qualité des données par exemple, plusieurs auteurs ont défini un cadre conceptuel qui subdivise un concept complexe en plusieurs dimensions couvrant un aspect ou une facette le concernant. Définir les dimensions et identifier les indicateurs sont les étapes élémentaires pour approfondir la définition d’un concept aussi complexe que la qualité. Cette phase de définition servait de base à la préparation des mesures, et ce en expliquant les concepts en dimensions représentées par des notions moins complexes et moins générales et suffisamment précises pour permettre l’identification des variables, éléments nécessaires pour compléter leur opérationnalisation.

Enfin, dans un premier temps et dans le cadre du prétest, 24 variables ont été identifiées pour tenter d’opérationnaliser 13 indicateurs spécifiques qui découlent de deux dimensions de qualité sur quatre définies dans le cadre conceptuel de la recherche. La réalisation du prétest et l’analyse approfondie de ses résultats ont conduit à la révision des variables et à l’ajustement de leur mesure. En somme, cette révision consistait à réduire les 24 variables en 14 variables retenues aux fins de cette recherche. Par souci de validité et étant donné l’avancement de la recherche dans le domaine de la qualité des archives et compte tenu de la nature exploratoire de la recherche de la mesure des qualités des archives définitives en particulier, nous avons choisi de réduire le champ de notre étude aux seules 14 variables. De plus, ajuster des aspects du test est une démarche tout à fait légitime, voire prévue dans le modèle du devis de l’étude, surtout qu’il s’agit ici de travail pionnier en matière d’adaptation du concept de qualité aux archives définitives.

Notre recherche, qui définit conceptuellement et mesure empiriquement les qualités des archives définitives issues d’une évaluation archivistique, apporte finalement trois contributions majeures au domaine archivistique.

Du point de vue théorique, elle propose un cadre conceptuel qui précise le concept de qualité des archives définitives permettant ainsi d’éviter des qualifications ambiguës quand il s’agit de qualifier les archives définitives que nous souhaitons avoir pour la constitution de la mémoire sociétale.

Du point de vue méthodologique, elle offre une méthode déjà testée pour mesurer la qualité des archives définitives issues d’une évaluation.

Du point de vue professionnel, enfin, elle permet d’évaluer les résultats de l’exercice de l’évaluation archivistique et de remettre en question la pertinence des archives retenues pour leurs valeurs secondaires (d’information ou de témoignage). Pour ce faire, elle offre l’instrumentation (les grilles de mesure du fonds, des dossiers et des pièces et le guide de leur application) et décrit la méthode qu’implique cette évaluation.

Par ailleurs, l’analyse et l’interprétation des résultats de notre recherche permettent de suggérer quelques pistes de recherche en lien avec la définition et la mesure des qualités des archives.

Premièrement, comme évoqué dans les limites de la recherche et malgré leur définition conceptuelle, trois indicateurs spécifiques de notre cadre conceptuel (le «Créateur», la «Compréhensibilité» et la «Repérabilité ») sur 13 sont restés sans mesures. Afin de compléter l’opérationnalisation de ceux-ci, il serait pertinent de mener une étude sur la révision de ces concepts, de façon à proposer une définition conceptuelle mesurable, développer les variables et tester leur mesurabilité dans le contexte des archives définitives.

En second lieu, une étude sur l’opérationnalisation des deux dimensions restantes du cadre conceptuel, soit la «Rareté» des archives définitives et leur «Représentativité» serait pertinente pour ainsi finaliser l’opérationnalisation de toutes les dimensions qui composent le cadre conceptuel de la recherche, en utilisant le même devis de recherche conçu à l’opérationnalisation de la «Preuve crédible » et de l’«Exploitabilité». En premier lieu, une vérification des définitions conceptuelles s’impose afin de les mettre à jour en intégrant les derniers écrits sur le sujet. Ensuite, l’identification succèdera avec la phase de leur prétest, après quoi le degré de leur validité pourrait être constaté.

Troisièmement, il serait intéressant de soumettre la définition des quatre dimensions de qualité ainsi que leur mesure à l’appréciation des professionnels ayant une expérience notable dans le domaine de l’évaluation des archives, et ce, par le biais d’une Échelle de Likert afin d’explorer leur degré d’accord avec les définitions conceptuelles et les mesures qui leur sont appliquées. Des entrevues semi-structurées peuvent être réalisées à partir du même échantillon de professionnels, afin de dégager une synthèse de leurs recommandations pour permettre d’établir le bilan des avantages et des points à améliorer dans la définition et la mesure des qualités des archives définitives.

Enfin, compte tenu de l’adaptabilité des deux dimensions de la «Preuve crédible» et de l’«Exploitabilité » qui pourraient convenir aux archives en général, cette étude fournit un fondement conceptuel pour développer la définition et la mesure des qualités des archives courantes et intermédiaires. Une étude sur la définition et la mesure des qualités des archives courantes et intermédiaires pourrait être envisagée. Une telle étude permettrait d’aider les services producteurs de documents à rationaliser la rétention des documents et optimiser ainsi la gestion de leurs documents actifs et semi-actifs. Pour ce faire, l’analyse et la révision des définitions des indicateurs spécifiques qui découlent de deux dimensions évoquées et développées initialement pour les archives définitives s’imposent. Cette révision se réalisera de manière à développer les variables qui conviennent à la mesure des archives courantes et intermédiaires. Le même devis de recherche utilisé dans notre étude pourrait servir de base à cette recherche.

 En guise de conclusion, nous avons réalisé cette recherche qui porte sur la définition et la mesure des qualités des archives définitives, au mieux de nos connaissances, pour permettre ainsi l’ouverture de la discipline archivistique à l’idée d’adapter le concept de qualité au contexte des archives. Cette recherche n’est qu’un premier pas dans l’exploration des différentes dimensions de qualités sous différents angles. En effet, beaucoup d’aspects restent à compléter et à approfondir : par exemple, les qualités des archives et des documents électroniques ainsi que les défis techniques et technologiques actuels constituent une problématique à traiter en priorité dans ce domaine de recherche. De plus, l’archivistique est désormais confrontée à des problématiques contemporaines comme les qualités des archives courantes et leur impact sur la performance des processus d’affaires ainsi que leur lien avec la sécurité des données, le tout sans perdre de vue le défi de la pérennisation des documents électroniques. Ce sont là des pistes de recherche pertinentes à creuser afin de garantir une meilleure gouvernance à nos ressources informationnelles. Aussi, nous souhaitons que cette étude sache susciter l’intérêt et la curiosité d’autres chercheurs en archivistique contemporaine

POURQUOI MISER SUR LE SEO?

Le SEO ou Search Engineering Optimisation est une méthode qui permet de positionner naturellement un site, un article, une photo etc. sur les moteurs de recherche. De plus en plus, cette technique a pris de l’ampleur et a vu naître tout un métier. Sauf que, les clients ne comprennent toujours pas son importance. Dans cet article, je vous dis pourquoi il est important de miser sur le SEO dans tout projet digital.  

Comment fonctionne le SEO ?

Le SEO consiste à utiliser les mots clés afin de générer de façon naturelle de la visibilité. Il y a des millions de contributeurs à internet, de millions d’articles, de sites web, de photos, de chansons, etc. selon différents domaines. Comment se démarquer dans ce fourmillement de contenus ? Comment arriver à se positionner en tête dans les résultats de recherche ? C’est à ces interrogations que répond le SEO. Pour cela, il est important de savoir conjuguer le langage humain au langage informatique des moteurs de recherches. Savoir écrire pour l’humain et la machine.

Pourquoi miser sur le SEO ?

Le référencement naturel permet une visibilité à long terme. C’est un moyen moins coûteux et efficace. L’autre avantage du SEO c’est que vous êtes sur d’attirer uniquement votre cible, des personnes qui s’intéressent à ce que vous offrez. Imaginez que vous ouvrez une sorte de restaurant chez vous et vous mettez dehors une plaque qui informe des menus que vous proposez en mettant l’accent sur la plus-value que vous apportez à vos plats. Vous n’aurez pas besoin de dépenser pour la publicité. Tous ceux qui passeront par-là verront la plaque et saurons ce que vous faites. Si un jour il se trouve dans le besoin de vos services, vous êtes la personne qui leur viendra d’abord à l’esprit, ils vous recommanderont à leurs proches sans hésiter et surtout lorsqu’on cherchera un restaurant dans les environs et bien on vous trouvera facilement. C’est un peu ce rôle que joue le SEO mais de façon plus impactant.

LES COULEURS TENDANCES EN 2022  

Alors que 2021 s’achève, 2022 arrive plus colorée qu’un arc-en-ciel. Pour tous les travailleurs du digital, nous vous proposons une liste non exhaustive des couleurs tendances qui rythment le digital en Afrique.

Les couleurs aussi ont leur langage et pour mieux les utiliser, il faut comprendre ce qu’elles disent car, oui, les couleurs ça parle. Et tout comme les vêtements ou la musique, les couleurs aussi font des tendances et voici les 5 couleurs en mode en 20

LE NOIR

Le noir n’est pas seulement noir, il y a également du blanc dedans. Entre luxe, élégance, modernité et simplicité, vous avez de quoi vanter votre côté luxueux, glamour, sophistiqué surtout si vous souhaitez affirmer votre pouvoir.  Pas besoin d’attendre un évènement malheureux pour utiliser cette couleur  magistrale la preuve, de plus en plus, le noir rythme les évènements qui jadis étaient dominés par les couleurs flashy. Il serait cependant bénéfique de l’utiliser à outrance au risque de communiquer du noir autour de vous.

Le site web de Nike arbore de multiples nuances ce qui rend son contenu beaucoup plus lisible ainsi qu’une navigation fluide avec une expérience utilisateur optimale.

LE BLEU

Si vous souhaitez rassurer, convaincre, inspirer confiance et avoir l’air sage, faites confiance au bleu. C’est la couleur de la maturité, de l’expertise, de la confiance en soi et de la vérité. Pourquoi pensez-vous que le monde de la finance et de l’immobilier  le porte tant à cœur ?  Même les politiciens savent qu’il faut mettre du bleu pendant une campagne électorale.

Il est également recommandé pour le digital grâce à ses avantages pour l’UX, la visibilité et la lisibilité qu’elle optimise.

LE VERT

Qu’elle est belle Dame Nature ! La polyvalence, la nature, l’espérance et la chance sont très souvent associées à cette couleur. Si vous souhaitez transmettre des émotions telles le calme, l’harmonie, la concentration, la stabilité vous avez la couleur idéale. Pour les domaines comme le sport, l’industrie de beauté et même le digital puisqu’elle symbolise également la créativité. A la fois rafraichissant, tonifiant  et apaisant, sa palette de nuance saura vous satisfaire. L’un des grands avantages du vert est qu’il s’intègre facilement à toutes les palettes de couleurs.

En Afrique, c’est LA couleur mère. Que ce soit au niveau institutionnel ou personnel, cette couleur est ancré en l’africain. Normal qu’il soit l’un des privilégié pour la communication et le digital. Attention cependant à ces nuances les plus clairs qui peuvent être un frein à la lisibilité.

LE JAUNE

Je doute qu’il ait plus gaie que le jaune. Couleur joyeuse, pleine de vitalité symbole de la spontanéité, du positivisme, le fun et d’espoir. Très attractive de par  son éclat, la couleur du soleil apporte une individualité et une identité  propre et traduis la capacité de réflexion et d’analyse. Cette couleur séduit de plus en plus, ses nuances sont prisés par tous.

Cette couleur est également très représentative en Afrique. Son attractivité peu se révéler néfaste pour une bonne expérience utilisateur dans les sites web, pensez à bien la nuancer.

LE BLANC

La pureté, l’équilibre parfait, la paix, la rigueur, c’est la seule couleur qui est assortie à toute la palette chromatique. Attention quand même à son dosage en fonction de l’usage que vous en ferez surtout dans le digital puisque le blanc est une couleur de base. Qu’elle soit seule pourrait vous apporter quelques contraintes. Pour les supports marketing et publicitaires par exemple, il est important d’avoir moins de blanc puisque tous les supports sont de cette couleur.

L’Afrique est un continent gaie, joyeux, coloré rythmé par l’éclat de l’arc-en-ciel. C’est sans surprise que les couleurs gaies y règnent en maitre.

Il est à noter cependant que, les nuances de certaines ont plus de vent à poupe que d’autres, dans nos prochains articles, nous vous en dirons davantage à ce propos.

LE MARKETING DE CONTENU : UN INCONTOURNABLE DANS LE MARKETING DIGITAL.

Le marketing de contenu est une stratégie de marketing qui découle de la stratégie de communication mise en œuvre. Il s’agit principalement de produire du contenu attractif et utile pour les clients et prospects.

Le content marketing ou marketing de contenu a pour objectif de traiter les besoins de vos clients et prospects, établir la notoriété de la marque et convaincre de l’expertise de l’entreprise. Lorsque vous produisez  un contenu qui répond aux besoins et questions de votre clientèle et prospect, vous augmentez son niveau d’engagement vis-à-vis de l’entreprise, en montrant par le contenu que vous comprenez et êtes près de votre clientèle, vous gagnez en capital sympathie et au moment de l’achat, vous avez 90% de chance d’être choisi.

Selon le site de MailChimp, les entreprises qui utilisent le content marketing enregistre près de 30% de croissance de plus que celles qui n’en usent pas. Aussi, les blogs d’entreprises permettent d’obtenir 67% de prospects en plus et 47% de consommateurs cherchent d’abord à consulter des éléments pouvant les convaincre de faire un achat.

Ces chiffres prouvent qu’avec une stratégie de création de contenu bien optimisé, il est possible d’accroitre considérablement son portefeuille client et donc son chiffre d’affaire.

Cependant, il faudrait minutieusement penser et implémenter une stratégie de contenu en fonction des objectifs de l’entreprise et des besoins du client. C’est la raison pour laquelle, il est important de faire appel aux spécialistes en marketing de contenu et création de contenu.

 

DUO EXPERTISE

UNE NOUVELLE ERE DEBUTE A DUO EXPERTISE

Le 17 décembre dernier, DUO EXPERTISE a organisé un buffet  pour célébrer sa décennie d’existence, en présence de toute l’équipe et certains partenaires. La communion qui a duré trois heures, était riche en émotion. Fous rires, nostalgie, fraternité et surtout : Nouveau départ.

Le personnel de DUO EXPERTISE a vécu un moment mémorable et historique vendredi dernier.  A l’occasion des 10 ans de l’entreprise, le Head staff a tenu à marquer l’évènement  autour d’un buffet. Objectifs : Célébrer le chemin parcouru jusqu’ici, l’abnégation de tous et chacun, les challenges remportés, les défis relevés avec brio et l’accomplissement de tous dans leurs domaines respectifs.

L’heure étant au bilan et à la projection du nouveau chapitre qui s’ouvre pour l’entreprise.  Alors qu’une nouvelle ère commence, rassembler ses soldats pour les galvaniser,  les booster pour de challenges encore plus grands.

Pour donner un plus grand éclat à cette journée,  la toute première récompense du meilleur employé de l’année a été décernée à Madame TCHOUTA Colline. La Responsable du département webmarketing et spécialiste en référencement (SEO/SEA) se voit honorée pour sa dévotion, son assiduité, sa progression dans le rendement et surtout son engagement envers DUO EXPERTISE qui dure depuis cinq années déjà. 

Un autre fait marquant pour ce 17 décembre, il coïncidait avec la date de naissance du CEO, Madame MAKENGNE Nikème qui célébrait une année de plus.

La journée qui avait débuté très tôt avec l’effort humain, qui consistait à astiquer les locaux, c’est poursuivi par les célébrations, pour se clôturer avec un souvenir inoubliable et une page de l’histoire de l’entreprise bien archivée au fond de nos mémoires.

Vivement que cette nouvelle ère soit fructueuse et prospère et qu’ensemble, nous cheminons vers l’excellence, chacun y apportant de sa magie.

JOURNEE AFRICAINE DE L’ARBITRAGE ET DE LA MEDIATION

AU COTE DE L’APAA POUR LA JOURNEE AFRICAINE DE L’ARBITRAGE ET DE LA MEDIATION

Le 6 décembre 2021 s’est tenue, au SAWA HOTEL de Douala, la première édition de la journée africaine de l’arbitrage et de la médiation. Organisée dans le cadre de la semaine de l’OHADA, l’évènement regroupait des nombreux partenaires notamment l’ERSUMA (Ecole Régionale Supérieure de Magistrature), la Banque Mondiale, l’Association pour la Promotion de l’Arbitrage en Afrique (APAA), le Centre Africain pour le Droit et le Développement, le Groupement Interpatronal du Cameroun (GICAM), l’African Arbitration Association, la Chambre Internationale de Commerce (ICC), etc.
DUO EXPERTISE était au côté de son partenaire privilégié l’APAA afin d’offrir la logistique et d’assurer la diffusion de la vidéoconférence qui a durée douze heures et comptait des intervenants de par le monde. Le thème de la journée était « Le renforcement des capacités des entreprises et des professionnels du droit sur les modes alternatifs de règlements des différends (MARD) ». A cet effet, se sont succédé plus d’une trentaine interventions d’illustres personnalités du domaine du droit qui ont décortiqué tous les contours de la problématique faisant ainsi bénéficier aux participants leurs expertises.
Il est important de relever que cette collaboration entre DUO EXPERTISE et l’APAA s’inscrit dans une longue relation de confiance qui lie les deux entités depuis 2011 dans le cadre d’un accompagnement technique et digital.
DUO Expertise, c’est vous et nous vers l’excellence…