Comment trouver des mots clés pertinents ?

L’aspect le plus important de la rédaction d’un article optimisé pour le SEO, c’est le choix des mots-clés.

Si vous choisissez la bonne phrase de mots-clés pour un article donné et rédigez un article engageant et bien écrit, votre article pourrait se classer en page 1 des SERPS sur cette phrase.

Au-delà de l’importance de se positionner en page 1, il y a au moins trois bonnes raisons supplémentaires pour lesquelles le choix de la phrase de mot-clé cible est important.

1. Elle constituera une partie de votre titre et de votre méta titre – la première partie de votre article qu’un lecteur potentiel verra. C’est dans ces nanosecondes que vous êtes le plus susceptible d’accrocher ou de manquer un lecteur potentiel.

2. La recherche que vous avez effectuée pour choisir la phrase-clé va se répercuter sur le reste de l’article. Ce que vous ne choisissez pas comme phrase principale peut devenir des phrases de mots-clés secondaires qui enrichiront l’introduction, les sous-titres, etc. de l’article, ce qui augmentera le poids de l’article dans les index des moteurs de recherche.

3. L’étude des mots-clés que les gens recherchent fera de vous un meilleur rédacteur. En termes simples, la recherche vous donne un aperçu de la façon dont votre public potentiel pense et recherche l’information.

Vous trouverez ci-dessous un aperçu étape par étape de la façon de choisir la meilleure phrase de mot-clé cible pour un article, y compris un exemple hypothétique pour illustrer les étapes. Une fois que vous avez un titre avec une phrase de mot-clé cible forte, ne considérez pas que votre travail de référencement est fait. Ce que vous apprenez via la recherche de mots-clés peut être appliqué tout au long du processus de rédaction pour améliorer la lisibilité et faciliter la recherche de l’article.

Le but ici n’est pas seulement de satisfaire les algorithmes des moteurs de recherche. Il s’agit de rendre un article meilleur, plus à même de trouver son public potentiel.

1. Réfléchir à l’article

Quel est son sujet principal ? Pas de façon générale, mais de façon spécifique. Va apprendre le lecteur ? Quelles sont les questions auxquelles il répond ?

Exemple : Un article sur les avantages et les inconvénients du chauffage au sol – ses avantages et ses inconvénients pour les différentes pièces d’une maison, son coût, etc.

2. Faites un brainstorming sur vos mots-clés

Avant de vous approcher d’un outil de recherche de mot-clé, demandez-vous ce que vous rechercheriez si vous vouliez trouver un article sur ce sujet. Gribouillez quelques phrases de longueurs variables, mais rien de plus court que deux mots (nous y reviendrons plus tard).

Exemple : chauffage au sol, coût d’un chauffage au sol, le chauffage au sol est-il écolo ?, fonctionnement d’un chauffage au sol.

3. Faites votre recherche par mots-clés

Mon outil préféré pour cette étape est le Google Keyword Planner. Il existe de nombreux outils de recherche par mot-clé avec une variété d’options différentes. Certains d’entre eux sont gratuits, d’autres non. Pour moi, utiliser l’outil du moteur de recherche numéro 1 est apparu comme la meilleure option. Lorsque vous ouvrez l’outil (gratuit) de Google, commencez par entrer la ou les phrases de votre liste de brainstorming dans la case « Mot ou phrase ». Laissez la case « Site Web » vide, sauf si vous voulez limiter les résultats aux mots-clés qui apportent du trafic à votre site Web.

4. Examiner les résultats

En haut de la liste des résultats, vous verrez les phrases que vous avez recherchées. En dessous, vous trouverez des phrases apparentées. Les colonnes à droite montrent le volume de recherche, et il y a quelques options pour trier et personnaliser l’information. Pour l’instant, je vous recommande de vous concentrer sur la colonne de moyenne de recherches mensuelles.

Exemple : chauffage au sol (1 k – 10 k), cout d’un chauffage au sol (10 – 100), fonctionnement d’un chauffage au sol (10 – 100), le chauffage au sol est-il écolo ? (0 – 10)

Notez les nombres de recherches pour les phrases que vous avez ciblé et toutes les phrases connexes qui reflètent vraiment le sujet de l’article. Evitez les phrases qui ne sont pas en langage naturel car elles seront difficiles à travailler dans les titres ou le corps de l’article. Vous aurez peut-être besoin de répéter les étapes trois et quatre quelques fois pour trouver de bonnes phrases. Par exemple, « plancher chauffant » peut réserver de bonnes surprises.

Même si vous regardez des chiffres, n’oubliez pas que ces chiffres représentent des personnes réelles qui utilisent des moteurs de recherche pour trouver l’information que votre article pourrait fournir. Si vous n’êtes pas sûr qu’une phrase particulière corresponde au sujet de l’article, ou si vous cherchez des mots qui peuvent signifier différentes choses dans différents contextes, Googlez la phrase. Les résultats vous montreront ce que le moteur de recherche considère comme des résultats pertinents pour cette phrase. La recherche révélera également la concurrence pour cette phrase (qui et combien).

Covid-19 & entrepreneurs : impacts sur l’activité

Depuis son apparition en Chine, le Covid-19 affecte l’activité économique des entreprises. Fermeture des frontières, annulation des événements, fermetures des restaurants, et désormais confinement… L’impact sur la vie des entrepreneurs n’est pas à prendre à la légère.

Décryptons ensemble les conséquences contractuelles et les dispositifs mis en place pour les entreprises.

Covid-19 et contrats en cours : quels impacts ?

La pandémie, un cas de force majeure

La pandémie de Covid-19 est considérée par le gouvernement comme un cas de force majeure. Les entreprises sont donc libérées de tout responsabilité si elles ne peuvent pas exécuter leurs obligations contractuelles.

Attention
Si le contrat a été passé avant la propagation du virus, la force majeure est applicable. Toutefois, si le contrat a été passé alors que la propagation du virus était déjà avancée, le cas de force majeur est à débattre…

Les entreprises liées contractuellement peuvent alors se retrouver dans deux situations disctinctes :

  • Empêchement temporaire d’exécuter le contrat : le contrat est donc suspendu.
  • Empêchement définitif d’exécuter le contrat : le contrat est donc rompu.

Dommages et intérêts

Si l’épidémie de coronavirus est considérée comme un cas de force majeure, le client peut rompre ou suspendre le contrat qui le lie au prestataire, librement, à tout moment. Ceci quel que soit le préjudice subi par le prestataire, même s’il a déjà engagé des frais pour préparer la commande !

Impossible donc de prétendre à des dommages et intérêts.

Retards de livraison

Si la force majeure pénalise le prestataire pour le versement de dommages et intérêts, elle le protège dans le cas de retards de livraison.

En effet, le vendeur est tenu de procéder à la livraison des biens dans le respect des délais fixés dans le contrat, ou à défaut, dans un délai raisonnable. Le client pourrait donc le condamner au paiement de dommages et intérêts pour réparer son préjudice, sauf s’il justifie avoir été empêché par un cas de force majeure (soit… une pandémie de coronavirus).

La force majeure exonère donc le vendeur de toute responsabilité en cas de retard de livraison, et le libère donc de tout obligation d’indemnisation des clients.

Annulations et remboursements

Si vous vous trouvez en situation de force majeure, et démontrez que l’épidémie empêche l’exécution de votre commande, deux choix s’offrent à vous :

  • Annulation définitive de la commande : le contrat est rompu, le client n’a plus à payer la commande.
  • Report temporaire de la commande : la commande pourra être réalisée plus tard, et le client paiera donc plus tard.

Si un client annule une vente ou une prestation, le prestataire devra lui rembourser intégralement les acomptes ou sommes complètes déjà touchées.

À savoir
Si la commande a déjà été partiellement exécutée, il convient de calculer le prorata du prix correspondant à ce qui a été exécuté, de la manière la plus juste possible.

Refus de vente

Il est possible de refuser de vendre à des professionnels. En revanche, vous ne pouvez refuser la vente à un consommateur.

Contamination et réalisation de prestation

La jurisprudence considère que la maladie empêchant d’exécuter une prestation constitue un cas de force majeure. Vous n’êtes donc plus dans l’obligation d’exécuter la prestation (cf. points précédents).

Faut-il revoir ses conditions générales de vente ?

coronavirus cgv

L’épidémie actuelle et les nombreux questionnements qu’elle soulève le montrent, il est important de bien rédiger ses conditions générales de ventes et ses contrats de prestation pour être protégé face à toute éventualité.

Pour être certain que vos documents vous couvrent quelle que soit la situation, le plus sûr est de faire appel à des assistants juridiques professionnels.

Il est possible de prévoir dans vos documents contractuels qu’une épidémie liée au coronavirus ne constitue pas un cas de force majeur et soit sans effet sur l’exécution du contrat.

Attention
Vérifiez également vos mentions concernant les retards de paiement et impayés. La situation sanitaire hors norme risque de servir de prétexte à de nombreux mauvais payeurs… Anticipez !

Service-client : 5 erreurs à ne jamais commettre !

93% des consommateurs effectuent des achats supplémentaires auprès d’une entreprise qui leur propose une expérience positive avec le service-client.

Il ne peut y avoir d’entreprise performante sans un service-client efficace. La crédibilité et la confiance en votre marque y sont fortement liées. Alors, voici 5 erreurs à éviter (ou ne plus commettre) pour une expérience client au top !

1. Le manque de personnalisation

La personnalisation reste au cœur de l’expérience client. 80% des consommateurs sont susceptibles d’acheter auprès d’une entreprise qui personnalise leurs services.

Première chose à faire, bannissez les scripts. Chaque client doit être traité de manière personnelle. Vous devez disposez de leurs noms, adresse, derniers achats…

Pour ce faire, procurez-vous un outil CRM (Salesforce, Hubspot, Zendesk… vous avez le choix). Pourquoi ? Pour stocker les informations sur vos clients (adresses email, numéros de téléphone, profils sur les réseaux sociaux…) et connaître leur historique.

Cela vous aidera à personnaliser vos messages et à améliorer votre communication avec eux. Résultat : une meilleure expérience pour le consommateur et de plus grandes performances pour votre entreprise.

2. Le manque de réactivité

Vous voulez fidéliser vos clients ? Évitez de les laisser sans réponse pendant longtemps. Selon une enquête conduite par Aircall :

  • 90% des consommateurs sont prêts à patienter jusqu’à 5 minutes au téléphone.
  • 94% veulent une réponse à leur email dans les 24 heures.
  • 49% quitteront votre site après 1 minute en l’absence de réponse sur un live chat.
La bonne pratique
Si vous ne pouvez pas répondre de suite à leur demande, faites-leur savoir. Envoyez-leur un message du type : « nous avons pris note de votre requête, nous reviendrons vers vous dans les plus brefs délais ».

Lorsque vous leur promettez une réponse au plus vite, assurez-vous de tenir parole. Le client ne devrait pas vous relancer sur sa demande.

3. Le manque d’écoute

Pour répondre à un client, il faut d’abord l’écouter. C’est la base du service à la clientèle. Laissez le temps au consommateur d’exposer et expliquer sa situation. S’il veut exprimer ses sentiments, même négatifs, pas besoin de l’interrompre.

Une fois au bout de son exposé, effectuez un récapitulatif de ses propos pour lui montrer que vous l’avez bien écouté. Ensuite, vous pourrez lui proposer la meilleure solution.

Vous devez aussi écouter ce qui se dit sur votre marque dans la sphère digitale. En cas de plainte sur les réseaux sociaux, sut votre blog ou sur les forums, prenez la parole et réglez rapidement le problème. Cela vous évitera le bad buzz tout en augmentant les chances de fidéliser votre interlocuteur.

4. La non-reconnaissance des torts

Un de vos produits est défectueux ? Vous n’avez pas respecté le délai de livraison ? Ne soyez pas de mauvaise foi, reconnaissez votre tort. Il n’y a pas de mal à reconnaître sa responsabilité. Ce n’est pas une preuve de faiblesse de la part de l’entreprise, mais plutôt une preuve d’humanité, d’honnêteté et de transparence.

Surtout, excusez-vous pour désamorcer la crise ! Si vous pouvez justifier votre erreur, faites-le. Pourquoi ne pas offrir une compensation en retour ? Des frais de livraison gratuits ou une réduction sur un prochain achat feront plaisir au client. Ces gestes augmentent la fidélité et renforcent la confiance envers votre marque.

5. L’utilisation d’un vocabulaire complexe

Si vos services ne s’adressent pas à des experts, évitez d’utiliser un vocabulaire complexe pendant vos discussions. La transparence est le socle de la relation client, ne l’oubliez jamais.

En utilisant un jargon complexe, le client ne s’identifie pas à votre marque. Résultat : il risque de ne pas valider son achat ou de ne jamais revenir auprès de vous.

Si vous devez écouter le client, celui-ci doit pouvoir comprendre votre réponse. Le cas échéant, il peut prendre l’attitude du service client pour de l’arrogance.

Un service-client de qualité est celui qui personnalise ses messages, réagit rapidement aux demandes et écoute les clients. Par ailleurs, n’hésitez pas à reconnaître vos erreurs et rester courtois dans votre communication. C’est la clé pour fidéliser vos clients et convertir de nouveaux prospects !

Si vous ne pouvez pas gérer votre service client en interne, vous pouvez externaliser ce service auprès d’un assistant virtuel freelance.

Web design : 7 conseils pour réussir un site sur mobile

Le futur de la navigation sur Internet est mobile, ce n’est pas un scoop ! Plus de la moitié du trafic Internet mondial provient de ces appareils. Une performance logique quand on sait que, d’après une étude de Morgan Stanley, 91 % de la population mondiale garde son smartphone à portée de main 24h/24 et 7j/7.

Alors, votre webdesign est-il adapté à une utilisation sur smartphone ? Avez-vous réellement mis en œuvre toutes les bonnes pratiques pour une expérience utilisateur optimale depuis un smartphone ?

Découvrons 7 conseils pour un site mobile friendly efficace et performant !

1. Un chargement rapide

L’utilisateur mobile veut des réponses en un clic. Si votre site Web prend plus de 3 secondes pour afficher une page, les visiteurs risquent de partir. Pour augmenter la vitesse, optimisez les images, rationalisez le code HTML, réduisez les redirections et passez au format AMP.

N’oubliez pas d’inclure une fonction de recherche efficace pour permettre au visiteur de retrouver rapidement ce qu’il recherche.

2. Un design simple et épuré

Les taux de conversion augmentent lorsque les pages sont allégées. Sur mobile, le design doit être le plus simple possible. Rationalisez au maximum les encarts, images, vidéos ou textes, pour réduire le taux de rebond. Quant aux pop-ups, bannissez-les sur mobile ! Ils ralentissent le chargement, tout en empêchant l’utilisateur de voir correctement la page.

3. Une recherche visible

Votre champ de recherche mérite d’être optimisé, afin que les internautes trouvent rapidement des réponses. Facilitez-leur le travail en complétant automatiquement les requêtes, en corrigeant les fautes d’orthographe et en suggérant des demandes connexes. Vous pouvez aussi proposer des filtres, placés au-dessus des résultats de recherche.

4. Des formulaires efficaces

Connaissez-vous l’autofill ? Cette technique consiste à remplir automatiquement les formulaires des utilisateurs, grâce aux cookies. Les champs préremplis encouragent les mobinautes à saisir le reste des données. Plus vous facilitez la navigation de vos prospects, plus le taux de conversion va augmenter.

5. Un contenu optimisé pour le mobile

Paragraphes courts, titre concis, phrases directes, peu d’images… voilà les préceptes d’un contenu parfaitement optimisé pour la navigation mobile. De plus, ajustez vos polices de caractère : préférez les polices rondes, espacées, qui facilitent la lecture sur petit écran.

6. Un CTA séduisant

Le bouton d’appel à l’action est l’élément le plus important de votre site Internet. Sur mobile, sa taille, sa couleur et son verbe comptent davantage. Faites en sorte que l’utilisateur y accède facilement, sans pour autant gêner le contenu. Raccourcissez au maximum l’entonnoir de vente pour convertir rapidement le visiteur.

7. Une optimisation globale de votre site pour le mobile

La conception de votre site Web mobile doit être une extension de votre entreprise. Utilisez une mise en page réactive, qui change en fonction de la taille et des capacités de l’appareil de l’utilisateur. Sur mobile, les utilisateurs sont à l’aise avec un défilement vertical alors, évitez les éléments de grande taille et de largeur fixe.

Gardez vos prospects dans une seule fenêtre de navigation. À cet effet, oubliez les appels à l’action qui lancent de nouvelles fenêtres ! L’objectif est de conserver les utilisateurs sur votre site… jusqu’à la conversion.

Enfin, facilitez le retour à la page d’accueil avec un simple clic sur le logo de l’entreprise.

En suivant ces conseils, vous offrez une navigation fluide à vos visiteurs. Gardez toujours en tête votre objectif de conversion et voyez comment améliorer l’expérience de vos utilisateurs.

CSS : 4 moyens de retirer du code inutile

Ce n’est un secret pour personne : les sites web allégés s’affichent plus vite que les sites surchargés.

Ne laissez pas de CSS inutile alourdir vos projets Web ; il existe une panoplie d’outils pour vous aider à supprimer les CSS orphelins et ainsi améliorer la performance globale de votre site Web.

Qu’est-ce qu’un CSS inutilisé ?

Quel que soit votre niveau d’expérience en tant que développeur, il y a de fortes chances que votre site Web contienne des CSS n’ayant aucun impact sur les éléments de page actuels. Par exemple, les frameworks comme Bootstrap sont livrés avec des dizaines de styles CSS dont vous n’avez probablement pas besoin. Si vous avez ajouté une fonctionnalité au cours du développement et que vous l’avez supprimée par la suite, il se peut qu’il y ait encore des règles associées à cette fonctionnalité dans vos feuilles de style. Garder ces CSS ne fait qu’ajouter du poids à vos pages, pour rien.

Pourquoi c’est important ?

Puisque le CSS définit comment le contenu d’un document HTML est affiché, le navigateur de l’utilisateur doit télécharger et analyser tous les fichiers CSS externes avant de pouvoir commencer le rendu du contenu. Par conséquent, plus une page Web contient de CSS, plus les utilisateurs doivent attendre longtemps pour voir quoi que ce soit sur leur écran. L’intégration de petites feuilles de style CSS directement dans votre fichier HTML et la minimisation de vos feuilles de style externes peuvent aider à optimiser le temps de chargement, mais la suppression de ces CSS est une stratégie bien plus efficace pour améliorer la performance globale du site. La combinaison de ces méthodes garantit que les utilisateurs voient le contenu aussi rapidement que leur connexion le permet. En plus de ralentir votre site Web, l’excès de CSS peut causer des maux de tête aux développeurs.

Comment faire pour supprimer le CSS orphelin

Première option : supprimer à la main

Si vous utilisez Chrome, l’onglet DevTools possède un outil pratique qui vous permet de voir quel code est exécuté sur une page sur ce qui ne l’est pas. Pour accéder à cet outil, suivez les étapes ci-dessous :

  • Ouvrir Chrome DevTools
  • Ouvrir le menu de commande avec : cmd + shift + p (ou ctrl + maj + p)
  • Taper « Coverage » et cliquez sur l’option « Instrument coverage ».
  • Sélectionner un fichier CSS dans l’onglet Sources.

Tout CSS qui se trouve à côté d’une ligne verte continue signifie que le code a été exécuté. Une ligne rouge signifie qu’il n’a pas été exécuté. Une ligne de code qui est à la fois rouge et verte, signifie que seule une partie du code sur cette ligne est exécutée.

CSS orphelin

Attention, ce n’est pas parce qu’un style n’est pas utilisé sur une page qu’il ne l’est pas ailleurs, donc vous devrez vérifier plusieurs pages de votre site et garder l’œil sur les règles qui continuent à apparaître sur la liste rouge. Vous pouvez le faire en copiant et en enregistrant les résultats de chaque audit dans un document Google Sheets. Les lignes qui apparaissent le plus souvent peuvent probablement être enlevées en toute sécurité.

La plupart des développeurs ont mieux à faire que de supprimer les règles CSS inutilisées une par une. C’est pourquoi il existe une variété d’outils conçus pour automatiser le processus.

Seconde option : supprimer avec des outils

Voici un aperçu des outils les plus populaires conçus pour aider les développeurs Web à supprimer les CSS inutilisés de leurs projets Web :

1. UnusedCSS

Le nom simple est indicatif de la convivialité de ce programme. Il suffit de mettre l’URL de votre site Web dans UnusedCSS et de le laisser faire tout le travail. En plus d’identifier et de supprimer les règles CSS inutilisées, il vous indique combien de mémoire vous avez économisée. Vous pouvez essayer gratuitement UnusedCSS, mais vous devez payer un abonnement mensuel pour télécharger vos fichiers CSS nettoyés. Les membres Premium peuvent programmer des optimisations CSS automatiques et avoir accès à d’autres fonctionnalités ; il est à noter qu’UnusedCSS ne fonctionne qu’avec des sites Web live, donc ce n’est pas utile pendant une phase de test.

2. PurifyCSS

PurifyCSS est un outil gratuit qui supprime les CSS inutilisés de vos fichiers HTML, PHP, JavaScript et CSS avant leur mise en ligne. Par contre, vous devez spécifier manuellement les fichiers à analyser un par un, ce qui rend le processus quelque peu fastidieux. Plutôt que de modifier vos fichiers originaux, PurifyCSS génère un nouveau fichier avec le CSS optimisé. Comme cet outil ne fonctionne pas avec les sites Web live, vous devrez l’utiliser dans un environnement de développement.

3. PurgeCSS

PurgeCSS a été inspiré par PurifyCSS, mais son utilisation est un peu plus simple et intuitive. Il fonctionne en comparant votre contenu à vos fichiers CSS et en supprimant les sélecteurs qui n’ont pas de correspondance. Le seul inconvénient est que vous devez manuellement whitelister les CSS ne se trouvant pas dans les chemins spécifiés : un vrai casse-tête si votre site Web utilise certains plugins.

Vous n’avez plus aucune excuse de ne pas alléger vos feuilles de style ! Et si vous souhaitez optimiser davantage votre site web vous pourrez trouver le professionnel qu’il vous faut sur duoexpertise.com.

6 étapes pour une veille concurrentielle efficace

Étape 1 : lister les concurrents

Toute veille concurrentielle démarre par la création d’une liste d’entreprises concurrentes. Néanmoins, ne vous arrêtez pas aux concurrents directs évidents ! En plus de ceux que vous connaissez et des acteurs historiques, veillez sur les nouveaux entrants. Peut-être qu’ils ne représentent pas une menace actuellement, mais ils peuvent se développer et vous prendre des parts de marché à l’avenir !

Par ailleurs, élargissez votre veille aux concurrents indirects qui répondent aux mêmes besoins et objectifs que votre entreprise, mais via un bien ou service différent. Par exemple, les concurrents indirects d’une marque de vélos électriques sont les entreprises qui vendent des trottinettes électriques. Le produit est différent, mais il répond à un même besoin !

Étape 2 : cibler les informations pertinentes

La veille concurrentielle ne consiste pas à rechercher tout et n’importe quoi sur vos concurrents ! Vous devez lister précisément les éléments à rechercher, au risque d’avoir beaucoup trop de données.

Focalisez-vous sur les renseignements qui vous permettront de connaître, à l’avance, les décisions importantes que se préparent à prendre vos concurrents : lancement d’un nouveau produit, baisse des prix, changement d’image…

De cette façon, vous pourrez réajuster votre propre stratégie marketing en conséquence pour éviter que les concurrents s’avancent sur votre terrain.

Étape 3 : surveiller les parutions et publicités de vos concurrents

Vous devez lister tous les supports sur lesquels vos concurrents sont présents : TV, radio, internet, réseaux sociaux… Puis veillez sur les parutions pour connaître, en temps réel, les promotions proposées, les contrats remportés, les partenariats ou même les scandales ! Surveiller ce type de parution vous permet d’anticiper votre propre positionnement et vos actions futures.

Étape 4 : rechercher les sites et profils des employés

Il est évident et assez facile de chercher des informations sur vos concurrents grâce aux moteurs de recherches. L’ennui, c’est que vous avez peu de chances de trouver des informations VRAIMENT pertinentes sur eux. Et si jamais vous les trouvez quand même, ce sera certainement trop tard pour les utiliser à votre avantage.

Néanmoins, cela reste un bon début pour votre veille…

Pour aller plus loin et tenter d’avoir des données exclusives, tournez-vous vers leurs employés ! Référez-vous au trombinoscope présent sur les sites des concurrents ou à leur page Linkedin pour trouver les collaborateurs les plus influents. Parfois, ils peuvent laisser échapper un « petit » secret sur leur page Linkedin, Twitter ou Facebook. Vous pourriez être informé du lancement d’un nouveau produit, de l’organisation d’une conférence ou de la mise à jour d’un service en avant-première !

Étape 5 : surveiller les offres d’emploi

Surveillez les annonces, offres et publications de recrutement des autres entreprises. Les profils recrutés vous donneront quelques indications sur leurs ambitions futures.

Par exemple, si un concurrent recrute beaucoup de techniciens supérieurs ou d’ingénieurs, c’est qu’un nouveau produit va sûrement voir le jour. Vous voyez des offres pour des développeurs web ? Peut-être que votre concurrent veut se mettre à la transformation digitale. Le recrutement de nombreux commerciaux démontre que l’entreprise veut passer un cap et accroître sa distribution de manière importante.

Ils recrutent des petites mains pour leurs usines ? Cela prouve une hausse d’activité ou une grosse commande à l’horizon !

Étape 6 : s’inscrire à leur newsletter

Rien de plus facile ! La veille concurrentielle peut venir directement à vous, dans votre boîte de messagerie. Vous inscrire à la newsletter des concurrents (avec un email neutre, évitez d’utiliser votre adresse professionnelle !) permet d’amasser des informations assez pertinentes sans trop d’effort. Vous connaîtrez leurs dernières actualités, les nouveautés, les promotions en cours…

Effectuer une veille concurrentielle, oui, mais dans l’efficacité ! Avant tout, déterminez des objectifs clairs et pertinents, ainsi qu’une liste de concurrents complète. Ne vous éparpillez pas, ciblez les informations cruciales et faites preuve d’ingéniosité pour dénicher les données avant tout le monde ! Pour gagner du temps vous pouvez déléguer cette mission à un freelance qui vous établira chaque semaine un reporting détaillé, sur Codeur.com vous trouverez les profils idéals pour ce type de besoin.

Votre entreprise a t’il toujours besoin réseaux sociaux ?

Linkedin a vu le jour en 2003, Facebook est fondé en 2004, Twitter est lancé en 2006, Instagram est né en 2010… Et depuis, chaque plateforme a bien évolué ! Cependant, les réseaux sociaux sont régulièrement au cœur de scandales, notamment sur le sujet de la protection des données. On entend souvent que les plus jeunes délaissent ces sites pour se consacrer davantage aux messageries. Alors, les réseaux sociaux sont-ils morts ? Ou votre entreprise a-t-elle toujours intérêt à communiquer dessus ?

Disons-le immédiatement : les réseaux sociaux ont toujours une importance capitale pour la communication de votre entreprise. Peu importe les gros titres, ils demeurent une part essentielle de votre stratégie marketing. Laissez-nous vous expliquer pourquoi…

Vos clients les utilisent toujours

Les réseaux sociaux ont toujours du succès ! D’après une étude d’Hootsuite et WeAreSocial, 44% des internautes disposent d’un compte sur un site social. Cela représente 3.4 milliards d’êtres humains.

En France, 59% des internautes utilisent les réseaux sociaux, selon une enquête du CREDOC. Et si vous pensez que les plus jeunes délaissent ces plateformes, c’est faux ! Une étude emarketer, publiée en 2009, démontre que 90,4% des millenials sont inscrit sur les réseaux sociaux.

Enfin, sachez que 73,4 % des utilisateurs suivront une marque en raison de leur intérêt pour le produit ou le service, selon une enquête de SproutSocial.

Alors non, clairement, les réseaux sociaux ne sont pas morts, ils se portent même très bien !

Les réseaux sociaux vous gardent dans la course concurrentielle

Maintenant que vous comprenez que vos clients utilisent toujours les réseaux sociaux, vous vous doutez certainement que vos concurrents continuent de communiquer sur ces plateformes.

Par conséquent, si vous supprimez ces canaux de votre stratégie marketing, vous leur laissez un avantage concurrentiel.

En étant actif sur les réseaux sociaux, vous augmentez la visibilité globale de votre petite entreprise. C’est d’autant plus vrai si vous avez une ligne éditoriale cohérente avec votre image, capable de se démarquer de vos concurrents.

Le potentiel des messageries instantanées se développe

WhatsApp compte 17,8 millions de visites uniques par mois et 6,4 millions par jour en France, d’après Médiamétrie. En moyenne, 2 milliards de messages sont échangés entre les marques et les consommateurs, chaque mois, sur Facebook Messenger (notamment grâce aux chatbot messenger).

L’appétence des Français, et notamment des moins de 20 ans, pour ce mode de communication ne fait qu’augmenter. Or, WhatsApp appartient à Facebook. Quant à Messenger, il est directement intégré au réseau social… et donc rattaché à votre page Business.

Communiquer sur les réseaux sociaux vous permet de fidéliser les clients qui privilégient les moyens instantanés pour dialoguer avec les marques.

La percée de la vidéo, un atout pour les réseaux sociaux

D’après une étude d’Animoto : 63% des marketeurs et entreprises estiment que Facebook est la plateforme sociale aux meilleures performances lorsqu’il s’agit de publier et promouvoir du contenu vidéo. LinkedIn et YouTube arriveraient ensuite avec respectivement 7,5% et 7% des spécialistes interrogés.

Mais ce n’est pas tout ! Une étude de Brightcove démontre qu’une vidéo publiée sur les réseaux sociaux génère 1200% plus de partages que les images ou le texte. D’après Facebook, ses utilisateurs passent 5 fois plus de temps devant une vidéo que devant du contenu figé. Enfin, Linkedin affirme que les vidéos postées sur sa plateforme atteignent un taux d’engagement de 50%.

La vidéo est un format star de plus en plus consommé par les internautes. Et c’est sur les réseaux sociaux que ce format génère le plus d’engagement ! Si vous avez prévu de vous mettre prochainement au vidéo marketing, restez inscrit sur Facebook, Twitter, Linkedin ou Instagram !

Les réseaux sociaux optimisent les conversions

54% des utilisateurs des réseaux sociaux y recherchent un produit ou un service, d’après une étude de GlobalWebIndex. Assurer une présence active et de qualité sur ces plateformes vous permet de capter les internautes en quête d’une offre spécifique.

De plus, que chaque réseau social dispose d’une plateforme publicitaire qui vous aide à promouvoir vos produits et à attirer du trafic sur votre site internet. Vous pouvez cibler votre audience, mettre en œuvre des campagnes retargeting et proposer l’étendue de votre catalogue à des coûts imbattables ! L’objectif de ces campagnes est d’augmenter, à terme, vos ventes et donc de rentabiliser votre présence sur les réseaux sociaux.

Les réseaux sociaux demeurent des outils de communication précieux, surtout pour les petites et moyennes entreprises. Ils permettent, à moindre coût, d’augmenter la notoriété de votre marque, de fidéliser vos clients et de conquérir de nouveaux marchés. Loin d’être morts, ils évoluent pour s’adapter aux tendances de communication et de consommation des consommateurs.

Si vous souhaitez vous démarquer sur les réseaux sociaux avec des contenus interactifs, des vidéos… N’hésitez pas à trouver un community manager freelance sur Codeur.com.

Nouveauté: Passez au Storyliving pour booster votre marque

Le Storyliving, qu’est-ce que c’est ?

Ce nouveau concept devra désormais faire partie intégrante de votre marketing de contenu !

On vous dit tout sur cette nouvelle tendance marketing !

Le storyliving : faites-leur vivre vos histoires

Le storyliving, c’est tout simplement le live, le partage en temps réel d’un évènement ou d’une activité.

Les internautes sur vos réseaux sociaux vivent ce que vous vivez, voient ce que vous voyez et ressentent ce que vous ressentez, au même moment que vous. Et c’est tout simplement formidable pour l’engagement et les conversions !

Pourquoi ? Parce que la diffusion de ce type de contenu vous rapproche plus que jamais de votre public. Ce dernier se sent pleinement impliqué dans la vie de votre marque, ce qui accroît sa confiance.

Storyliving et storytelling : les différences

Vous connaissez certainement le storytelling, qui consiste à raconter une histoire dans le but de susciter l’émotion. Le récit concerne souvent :

  • Vos produits
  • Votre entreprise
  • Un événement que vous préparez
  • L’envers du décor de votre société
  • Etc.

L’objectif du storytelling est simple : établir une forte connexion émotionnelle entre votre public et vous.

Le storyliving pousse le bouchon un peu plus loin : c’est en quelque sorte un storytelling en live, d’où le remplacement de telling par living. Le consommateur devient un acteur de votre histoire. À cet effet, il va être difficile d’oublier cette expérience et les informations qui sortent de votre live. Il incite davantage à l’engagement par son côté vivant.

Avec le storytelling vous donnez un visage humain à votre société, vous répondez aux questions et aux inquiétudes des internautes, vous nourrissez leur curiosité. Votre contenu n’est pas diffusé en direct, vous avez donc tout le loisir de le soigner et de le préparer comme vous le voulez.

Le storyliving vous permet aussi d’humaniser votre marque, mais à un niveau supérieur. Pas le temps, ni l’occasion de couper ou de rectifier votre discours, tout ce que vous dites et faites arrive directement sur les écrans des internautes. C’est d’ailleurs l’aspect qui séduit le plus les internautes et les met en confiance, particulièrement les plus jeunes. Ils estiment que le storyliving est plus sincère et vrai que le storytelling.

Qui peut entrer dans cette tendance ?

Le storyliving vous permet de sortir votre public de l’éternel cercle des messages publicitaires qui ont de moins en moins d’impact sur lui.

À retenir
Toutes les marques peuvent l’adopter, surtout que le live est partout : Facebook, Instagram, Snapchat, YouTube et Dailymotion proposent tous des fonctionnalités live.

Peu importe votre secteur d’activité, vous avez forcément des événements à partager, des produits ou services à montrer, des tutoriels à proposer ou des locaux à faire visiter.

Le storyliving est un excellent moyen de valoriser vos produits et services de manière vivante, tout en étant utile. Vous pouvez créer des démonstrations, donner des astuces et conseils pratiques et même inviter les internautes à vous poser toutes leurs questions.

Si le storyliving est LA tendance marketing à ne pas manquer en cette rentrée, ne vous lancez pas sans préparation.

Vous devez tout d’abord définir vos objectifs et votre cible. Pensez à investir dans des supports et du matériel de qualité à tous les niveaux : son, vidéo, couleurs… Créez des scénarios et entraînez-vous !

C’est au prix d’une bonne préparation que le storyliving aidera votre entreprise à se rapprocher de son public pour établir une relation de confiance durable et transformatrice.

 

SEO : 5 conseils pour optimiser le title de vos pages

Souvent laissé de côté ou jugé technique, le Title est une ressource trop peu exploitée.

Pourtant, optimiser le title de vos pages est un des leviers les plus efficaces pour améliorer votre SEO et augmenter votre taux de clic dans les résultats de recherche. Ne vous privez pas d’un trafic utile et qualifié par manque de temps.

Voyons comme optimiser le title de vos pages pour rendre plus attractifs et différenciants vos contenus dans les SERPs.

1. Ne pas confondre Titre et Title

Première étape, vous devez comprendre où se situe le title pour en saisir l’enjeu.

On parle souvent de Titre à tort, car ce sont deux choses différentes :

  • Le Titre de votre article est le nom de votre article. Ce dernier est visible en haut de votre contenu au-dessus de votre premier paragraphe.
  • Le Title quant à lui, est une « balise » qui peut reprendre votre titre, mais que nous vous conseillons de personnaliser. Il s’affichera à 3 endroits : en haut de page sur votre onglet de navigateur, dans le code de votre site web dans la balise Title, et surtout dans les résultats de recherche de Google notamment.

Lorsque vous faites une recherche dans Google, les résultats sont constitués :

  • d’un titre en bleu cliquable, c’est votre title ;
  • puis de l’URL et du fil d’Ariane simplifié du contenu dans votre site ;
  • de certaines extensions comme les notes d’un article ;
  • du résumé de votre article, appelé métadescription.

2. Soyez fidèle à votre titre…ou pas !

Étant donné que votre title doit refléter le contenu de votre article, il est possible que vous ayez envie d’utiliser votre titre à l’identique.

Toutefois, nous avons vu que leur rôle est différent donc il peut être pertinent d’adapter chacune des formulations.

En conclusion, vous pouvez vous rapprocher de votre titre, mais pensez surtout à le transformer en accroche.

3. Rédigez votre title comme un call-to-action

Ce titre est votre première (et peut-être dernière !) chance de convertir un internaute en lecteur. Rédigez-le de manière descriptive et convaincante, comme un hameçon.

Vous pouvez aussi poser une question pour interpeller votre audience. En effet, les requêtes des internautes sont majoritairement des questions. S’ils retrouvent une problématique proche de leur question dans votre title, ils seront plus enclins à cliquer sur le résultat pour en lire plus.

Votre title doit absolument décrire le contenu de votre article.

Attention
Faire des accroches trompeuses où le lecteur ne retrouverait pas un contenu fidèle au title en lisant votre article, serait dramatique. Cela augmenterait votre taux de rebond et nuirait à votre référencement naturel. Restez en cohérence avec votre thème.

4. Respectez les contraintes navigateurs

Si le fond de votre title est complètement libre, la forme quant à elle, est plutôt bornée. La taille notamment compte pour ne pas le tronquer :

  • 60 caractères sont à votre disposition pour créer un title pertinent,
  • Mais tentez de contraindre votre texte en 50 caractères, vous comprendre pourquoi dans le conseil n°5…

Créer un titre trop long peut créer de la confusion si l’internaute ne comprend pas le sens du titre sans la fin de la phrase.

Notre conseil
Rédigez un titre unique pour chaque page. Vous éviterez ainsi tout risque de duplicate content auprès de Google, qui pourrait réduire l’autorité de chacune de vos pages.

5. Optimisez le SEO

Pour les moteurs de recherche, le title est un des premiers critères analysés. Il leur sert à comprendre le thème et l’objectif de votre page de contenu.

Par conséquent, il est très important de l’optimiser pour votre SEO avec ces bonnes pratiques :

  • Votre titre doit forcement inclure votre requête cible ou mot-clé principal ;
  • Positionnez votre mot clé plutôt en début de title ;
  • Ne placez qu’un seul mot-clé par title pour ne pas créer de confusion pour les robots et le lecteur.

Vous pouvez aussi ajouter le nom de votre société dans votre title après un tiret par exemple ! Cela pourra contribuer à améliorer votre notoriété auprès de vos prospects et des moteurs de recherche.

Pour trouver les mots-clés les plus pertinents pour votre page, utilisez des outils comme SEMrush ou Ahrefs. Ils vous proposeront des expressions ou mots-clés denses dans votre contenu pour lesquels vous aurez plus de chance d’être bien référencé.

Le title de votre article est un élément clé qui mérite une attention toute particulière avant de mettre votre article en ligne. Bien optimisé, il peut considérablement augmenter le trafic sur votre blog ou site web et améliorer votre autorité auprès des moteurs de recherche.

8 générateurs pour personnaliser votre signature d’email en HTML

Les emails restent un moyen d’échange professionnel privilégié. Que ce soit avec vos clients, prospects, partenaires ou prestataires, ce canal de communication vous permet de faire passer des messages.

Et nous ne parlons pas uniquement du corps de votre email, mais aussi de votre signature !

Cette dernière vous offre la possibilité de donner des renseignements complémentaires sur vous et de valoriser votre expertise. Personnalisée, elle indique vos coordonnées, votre poste et invite le destinataire à vous rejoindre sur vos réseaux sociaux.

Comment créer, en quelques secondes, une signature d’email professionnelle ? Codeur vous présente ses 8 outils gratuits préférés (cet article contient des résultats sponsorisés).

1. Boost My Mail

Boost My Mail est un éditeur en ligne de création de signature email, compatible avec les messageries Outlook et Gmail.

Rapide et simple d’utilisation, aucune connaissance en intégration ou en HTML n’est requise. Il vous suffit de choisir un modèle de signature puis de le personnaliser avec votre logo et vos coordonnées (nom, prénom, fonction, numéro de téléphone, site internet, réseaux sociaux, etc). Pour renforcer l’image de votre marque vous pouvez également modifier la couleur dominante.

Autres avantages de Boost My Mail : vous pouvez ajouter un bandeau publicitaire à votre signature d’email et suivre ses performances par le biais de statistiques.

N’hésitez pas à essayer l’outil pendant 14 jours pour générer en quelques clics une signature email à l’ensemble de vos collaborateurs. L’abonnement est également gratuit jusqu’à 10 utilisateurs avec le pack Ambassadeur.

2. ZippySig

 

Facile à prendre en main, l’outil ZippySig vous permet de créer une signature entièrement personnalisée.

Il vous suffit de sélectionner un template parmi la liste proposée, d’entrer vos coordonnées, puis de choisir les polices et couleurs. Il ne vous reste plus qu’à télécharger la signature et l’uploader dans votre outil de messagerie.

Bien entendu, ZippySig vous offre la possibilité d’intégrer votre photo ou le logo de l’entreprise, ainsi que les icônes de vos profils sur les réseaux sociaux.

L’outil est gratuit pendant 7 jours, il faudra ensuite compter au minimum 5$/mois pour pouvoir créer plus de signatures emails.

3. Signature Maker

Plus simple que Signature Maker, nous ne sommes pas sûrs que ça existe ! Vous n’avez pas besoin de vous inscrire pour créer votre signature personnalisée.

Entièrement gratuit, l’outil ne peut vous fournit qu’un type de design, c’est donc à prendre ou à laisser. Cependant, l’encart proposé est très épuré, professionnel et s’adapte à tous les secteurs d’activité. Vous pourrez y ajouter une photo ou un logo, ainsi que tous vos profils sur les réseaux sociaux : Facebook, Twitter, Linkedin, Google +, Instagram…

Lorsque votre signature est prête, l’outil vous propose un code HTML à intégrer dans vos messages.

4. WiseStamp

Différent des autres outils proposés, WiseStamp est une extension Firefox qui crée une signature pour tous vos services webmail : yahoo, gmail, live… Ce service est idéal si vous avez plusieurs adresses email que vous gérez en ligne.

En installant l’application, vous pourrez personnaliser entièrement votre signature : style, police, couleur, ajout d’image, etc. Vous aurez même la possibilité d’inclure un flux RSS qui proposera votre dernier article de blog, par exemple. Vous pouvez aussi choisir d’inscrire une citation ou de présenter votre nouvelle vidéo YouTube.

Évidemment, WiseStamp vous permet d’ajouter les icônes de réseaux sociaux.

Enfin, sachez que l’extension vous propose de créer plusieurs signatures, pour chacune de vos adresses emails. Il ne vous restera qu’à choisir l’encart approprié au moment d’envoyer votre message.

 Assistance Email

 

Avec un choix limité de design, Assitance Email vous facilite la création de signature personnalisée en quelques secondes et gratuitement.

L’outil est idéal pour ceux qui veulent rapidement créer une signature épurée, disposant de toutes les informations nécessaires : nom, site internet, adresse, numéro de téléphone et URL du site.

Par contre, n’espérez pas pouvoir intégrer une photo, un logo ou vos réseaux sociaux.

6. Le générateur de signature d’emails d’Hubspot

La célèbre plateforme Inbound Marketing Hubspot vous propose son générateur de signature gratuit.

Simple, élégant et moderne, le design vous permet d’afficher clairement toutes vos informations importantes : coordonnées, numéro de téléphone, site internet, réseaux sociaux…

Vous pourrez même créer un call-to-action pour inciter vos destinataires à télécharger votre dernier livre blanc, s’inscrire à votre newsletter, participer à votre webinar… C’est vous qui voyez ! Enfin, le générateur d’Hubspot vous propose une série de badges de certification à afficher dans votre signature, pour valoriser votre expertise.

7. Si.gnatu.re

Très simple d’utilisation, l’outil Si.gnatu.re est certainement le plus complet de notre liste puisqu’il vous permet de créer rapidement votre signature d’email et de la personnaliser comme bon vous semble.

Pour un outil entièrement gratuit les fonctionnalités sont nombreuses : personnalisation de la police d’écriture, des couleurs, de la tailles des icônes, de l’alignement des textes ou encore de la position de votre image ou logo.

À noter aussi que l’outil référence une trentaine de réseaux sociaux, vous n’aurez donc aucun problème à rediriger vos contacts vers votre compte Spotify, Strava ou encore TripAdvisor.

8. MySignature

Quel que soit votre profession, MySignature aura certainement le template qu’il vous faut pour votre signature email.

Vous retrouverez les fonctionnalités de bases telles que l’ajout des réseaux sociaux, des coordonnées et même d’une bannière. Le petit plus ? MySignature vous propose d’ajouter un lien de tracking sur votre bannière et vos icônes de réseaux sociaux afin de connaître le nombre de clics et biens d’autres informations.

Si vous souhaitez développer votre stratégie emailing, vous pouvez faire appel à un consultant emailing freelance en déposant une annonce gratuitement sur Codeur.com.

Vous connaissez d’autres outils pour personnaliser la signature de vos emails ? Partagez-les en commentaire !