6 façons d’utiliser la vidéo dans vos contenus marketing

Alors que 62 % des recherches Google incluent une vidéo, ce sont chaque jour près de 4 milliards de vidéos qui sont visionnées sur Youtube. Face à ces chiffres, difficile d’ignorer l’importance de ce format pour votre stratégie de contenu !

Il existe de multiples façons d’intégrer la vidéo dans votre contenu marketing. Vous manquez pourtant d’inspiration ? Pas de panique, nous vous dévoilons aujourd’hui 6 idées pour utiliser la vidéo dans votre content marketing.

1. Pour présenter ses produits

Grâce à la vidéo, vous pouvez plus facilement présenter vos produits.

Il suffit de les mettre en scène dans le quotidien de l’utilisateur et de le filmer sous toutes ses coutures. L’internaute pourra ainsi mieux analyser le produit et se projeter avec, ce qui influencera positivement sa décision d’achat.

Par exemple, sur sa chaîne YouTube, Samsung propose des vidéos pour chacun de ses appareils. Les caractéristiques de chaque produit sont mises en image et ont pour objectif de donner envie à l’internaute de l’acheter.

2. Pour diffuser sa campagne storytelling

Le storytelling désigne l’art de promouvoir une entreprise ou un produit avec une histoire. C’est une méthode marketing ancrée dans les nouvelles habitudes de consommation, qui vise à véhiculer une émotion et à valoriser des valeurs, plutôt que des caractéristiques techniques.

Axa utilise très bien le storytelling : avec une petite dose d’humour, l’entreprise fait subtilement la promotion de ses services d’assurance.

3. Pour éduquer ses prospects

Si vous exercez dans un secteur technique, la vidéo peut vous servir à vulgariser votre activité.

À l’aide d’un petit clip ludique où des schémas s’animent, vous avez la possibilité de faire comprendre des concepts difficiles à appréhender pour le grand public.

Thales est une industrie spécialisée dans la défense, l’aérospatiale et la sécurité. Une activité qui parle peu au commun des mortels ! Pour vulgariser ses prestations et se rendre accessible au grand public, l’entreprise propose régulièrement des animations pour expliquer ses nouveaux projets.

4. Pour proposer des tutoriels

L’une des forces de la vidéo est de transmettre des informations utiles de manière très imagée. Elle peut donc servir de formation, afin que vos clients sachent pleinement se servir de vos produits ou services.

Proposez des tutoriels sympathiques pour que vos consommateurs tirent pleinement profit de leurs achats et augmentent leur satisfaction ! Cela les encouragera à se fidéliser et surtout à vous recommander auprès de leur proche.

Sephora utilise cette technique et propose à ses clientes de nombreux tutoriels pour apprendre à se maquiller. La marque les aide ainsi à se servir des produits proposés en magasin.

5. Pour faire visiter les coulisses

Humaniser ses contenus demeure une technique payante ! Les internautes aiment bénéficier de contenus exclusifs, qui leur permettent de mieux appréhender l’entreprise.

À cet effet, pourquoi ne pas leur faire visiter les coulisses de votre usine ou de vos bureaux ? Présentez-leur les machines qui confectionnent les articles ou les équipes qui travaillent sur le développement de vos services.

Cela permet d’appuyer sur leur besoin d’appartenance et de renforcer leur sympathie pour votre marque.

Par exemple, Airbus n’hésite pas à montrer l’intérieur de ses hangars et la manière dont sont assemblés les avions.

6. Pour interviewer les collaborateurs

Enfin, le dernier format de vidéos que vous pouvez proposer consiste en des interviews d’experts de votre entreprise. Laissez-les s’exprimer sur leur métier, exposer leurs connaissances et leur implication au quotidien dans l’amélioration du produit/service que vous proposez.

Ce type de vidéo a pour objectif d’humaniser votre communication, en présentant les collaborateurs de l’entreprise, tout en valorisant votre savoir-faire.

Face à des experts sûrs d’eux, qui démontrent leur connaissance du marché, les prospects se sentiront immédiatement rassurés sur votre professionnalisme.

Par exemple, Leroy Merlin laisse ses employés s’exprimer pour présenter leur métier et leurs missions au quotidien. C’est un type d’interview qui fonctionne aussi très bien pour valoriser son savoir-faire et transmettre les valeurs de la marque.

Avec ces 6 idées, vous pourrez optimiser votre stratégie de content marketingavec des vidéos.

Google : 7 opérateurs à connaître pour affiner vos recherches

Pour la plupart des internautes, une recherche sur Google ressemble à : « restaurant Paris 15 ». C’est pour cela que nous aimons tant Google, il est simple à utiliser et il nous comprend toujours.

Mais pour des professionnels du web, à la recherche d’informations précises, il existe des opérateurs vous permettant d’effectuer des requêtes plus poussées. Vous avez alors plus de chance de trouver exactement ce que vous cherchez.

Voici 7 commandes à connaître pour affiner vos recherches sur Google et gagner du temps !

1. Commande Google : « filetype : »

En utilisant cette commande, vous filtrez les résultats de vos recherches en fonction du format des fichiers. Google affichera donc uniquement les résultats qui correspondent au format que vous avez choisi.

Syntaxe : filetype :{format de fichier}

Voici des exemples de valeurs possibles :

  • « pdf » : Adobe Acrobat
  • « ps » : Adobe Postcript
  • « dwf » : Autodesk
  • « klm » : contenu KLM pour Google Earth
  • « kmz » : contenu KMZ pour Google Earth
  • « xls » : Microsoft Excel
  • « ppt » : Microsoft Powerpoint
  • « doc » : Microsoft Word
  • « rtf » : Richt Text Format
  • « swf » : Shockwave Flash

2. Usage des guillemets

Les guillemets sont utilisés pour rechercher des expressions précises. Google vous affichera donc des résultats contenant l’expression exactement comme vous l’avez écrite dans votre recherche, les mêmes mots, dans le même ordre.

C’est idéal pour trouver un document titré, vérifier la provenance d’une expression ou effectuer une requête avec des fautes d’orthographe volontaires.

3. Usage de l’astérisque *

Vous pouvez placer ce signe au début, à la fin et au milieu de votre recherche Google, pour remplacer un mot ou un groupe de mots que vous avez oublié.

Google vous donnera les résultats contenant les meilleures correspondances… et vous aidera à retrouver la mémoire, si besoin !

4. Utilisation du signe « – » dans sa requête Google

La commande « – » sert à rayer certains mots ou expressions de la recherche.

Syntaxe : -{mots ou commande}

Le signe « – » est toujours précédé d’un espace, en revanche, ne mettez pas d’espace après lui.

Cela vous permet d’affiner votre recherche en excluant des critères. Par exemple : sport collectif -football. Cela signifie que vous voulez rechercher des documents traitant des sports collectifs, mais en excluant le football.

5. Commande « site : »

Cette commande vous permet de rechercher une information sur un site spécifique.

Retrouvez ainsi toutes les pages indexées d’un site avec cette syntaxe : site :nomdedomaine.com.

Pratique pour retrouver un article spécifique, un renseignement précis ou simplement vérifier le contenu de vos concurrents.

 

 

6. La commande « Or »

Cet opérateur vous permet d’effectuer une requête plus précise en donnant différentes pistes à Google. Cela vous évite de faire plusieurs recherches les unes à la suite des autres.

Pour que cette commande fonctionne, vous devez obligatoirement écrire « OR » en majuscule.

Attention
Cette commande s’applique uniquement aux mots qui viennent juste avant et juste après elle.

Syntaxe : {mots} OR {mots}

7. Les opérateurs « before » et « after »

Vous souhaitez effectuer une recherche concernant une période précise, sans pourtant sélectionner une plage ? C’est possible avec les commandes « before » et « after ».

Dans le premier cas, vous recherchez une information à une date ultérieure et, dans le second cas, un renseignement à une date postérieure.

Par exemple, si vous voulez retrouver des articles publiés sur Avengers Endgame avant 2019, il suffit de taper : « Avengers Endgame before :2019 ». À l’inverse, vous cherchez toutes les informations publiées depuis 2019, alors écrivez « Avengers Endgame after 01-01-2019 ».

Grâce à ces 7 opérateurs, vous pourrez affiner vos requêtes et trouver plus facilement les informations recherchées. N’hésitez pas à vous en servir pour gagner du temps !

Web design : comment choisir les couleurs de votre interface ?

La conception de l’expérience utilisateur, sur votre site Web, implique de nombreux processus réalisés de manière réfléchie.

Parmi les procédés qui nécessitent une véritable stratégie, citons le choix de la couleur. Contre toute attente, c’est l’une des étapes webdesign qui prend le plus de temps et d’énergie. Les concepteurs peuvent parfois passer des heures à choisir la bonne palette de teintes… Surtout qu’elles ont une incidence prépondérante sur le ressenti des internautes.

Dans cet article, découvrez comment choisir les couleurs de votre interface pour un webdesign professionnel et cohérent avec votre marque !

Apprenez la règle 60-30-10

Cette règle, ou technique, provient du domaine de l’architecture d’intérieur, elle est donc souvent appliquée pour la décoration d’une maison.

L’idée est simple : pour apporter l’équilibre dans la composition, les couleurs doivent être combinées selon une proportion de 60 % – 30 % -10 %. La plus grande part va à la teinte dominante, le tiers prend la couleur secondaire et les 10 % restants sont utiles pour une couleur d’accentuation. Cette dernière habille souvent vos call-to-action ou les liens importants.

 

Une telle proportion est considérée comme agréable pour les yeux humains, car elle permet de percevoir progressivement tous les éléments visuels. Connaître les proportions appropriées permet aux concepteurs de combiner avec succès les couleurs sans risquer de transformer l’interface utilisateur en un désordre multicolore.

Le contraste est votre ami

Le contraste des couleurs est un élément clé de toute composition visuelle. Il souligne l’individualité de chaque élément du webdesign et les rend davantage perceptibles. Les interfaces utilisateur ne contenant que des nuances de la même famille de couleurs ont moins de chances d’attirer l’attention des internautes.

Les concepteurs contrôlent le niveau de contraste en fonction des objectifs qu’ils sont censés atteindre.

Par exemple, si vous souhaitez que les visiteurs prêtent une attention particulière à un élément spécifique du site, il est conseillé d’appliquer deux couleurs très contrastées comme le bleu et le rouge. Un contraste élevé est souvent utilisé pour la conception des call-to-action.

 

Cependant, si les couleurs de fond sont trop contrastées, il sera difficile de lire ou de scanner le texte. C’est pourquoi il est recommandé aux designers de créer un léger niveau de contraste et d’appliquer des teintes vraiment différentes uniquement pour mettre en valeur des éléments clés, de petite ou moyenne taille.

Tenez compte de la psychologie des couleurs

Il existe une branche de la psychologie qui montre l’influence des couleurs sur l’humeur et le comportemnt humain. Cette science affirme que notre esprit réagit aux couleurs, même si, consciemment, nous ne le remarquons pas.

Lorsque les yeux humains perçoivent un coloris, notre cerveau donne des signaux au système endocrinien en libérant des hormones responsables de l’humeur et des émotions. Chaque couleur a sa propre influence sur notre esprit et la connaissance des réactions possibles peut aider les concepteurs à passer le bon message et à appeler les utilisateurs à faire l’action attendue.

Ce qui nous amène au point suivant…

Choisir la bonne couleur

Pour la bonne audience

Les femmes sont attirées par le bleu ciel, le bleu roi et le vert. Les hommes sont plus réceptifs au bleu ciel, au vert et au noir.

Les couleurs vives comme le rouge, le vert et le jaune sont très utiles pour capter l’attention des enfants.

Pour le bon type de produit

Dans le monde de la restauration, le marron est la couleur prédominante pour évoquer le goût, la dégustation. Le vert est la couleur du bio, du naturel.

 

Dans le secteur de la sécurité, la couleur bleue est prédominante, car elle rassure et inspire la confiance.

Pour le bon message

Le noir est la couleur du luxe, utilisée pour la promotion des articles de grande marque.

Pour les call-to-action, les couleurs vives sont de mise : jaune, rouge, vert.

Pour créer un climat de confiance et de bien-être, utilisez la couleur bleue. Vous voulez véhiculer un message de performance, de dynamisme ? Optez pour le rouge ou l’orange.

 

Le succès de votre site internet dépend largement des couleurs choisies pour son interface utilisateur. Les coloris adaptés aident les utilisateurs à se sentir à l’aise avec un produit.

Faites vos choix judicieusement en fonction de votre cible, de votre activité et des valeurs que vous voulez transmettre !

Comment résoudre les erreurs HTTP les plus fréquentes ?

Qui ne sait jamais retrouvé devant une page erreur 500 les yeux écarquillés sans comprendre pourquoi… ?

Effectivement, dans un monde parfait, ces erreurs pourraient être évitées. Encore faut-il comprendre leur provenance et savoir résoudre le problème.

Analysons ensemble les principales erreurs HTTP.

Sommaire :

  • D’où provient une erreur HTTP et comment s’affiche t-elle ?
  • HTTP 404 : File Not Found / Introuvable
  • HTTP 400 : Bad Request / Requête incorrecte
  • HTTP 401 : Unauthorized / Non autorisé
  • HTTP 403 : Forbidden / Interdit
  • HTTP 500 : Internal Server Error / Erreur Interne du serveur
  • HTTP 502 et 503 : Bad Gateway, Service Unvailable / Passerelle incorrecte, Service indisponible
  • HTTP 504 : Gateway Time-out / Temps d’attente expiré
  • HTTP 505 : Version not supported / Version non prise en charge

D’où provient une erreur HTTP et comment s’affiche t-elle ?

Avant toute chose, il faut comprendre que ces erreurs sont une réponse de votre serveur web au navigateur de l’internaute, lorsqu’un problème d’affichage de page survient.

C’est la raison pour laquelle, les erreurs HTTP appartiennent à la catégorie des 400 (accès refusé) et 500 (erreur serveur). Pour schématiser :

  • Les 400 sont des erreurs côté client (le navigateur)
  • Les 500 sont des erreurs côté serveur

La réponse peut alors se matérialiser de deux manières :

  • Soit vous avez personnalisé la page web d’erreur. Alors un message explicatif s’affiche à l’internaute dans une page stylisée de votre site où vous expliquez : « Oups, quelque chose se passe mal, la page n’existe pas, site en maintenance, etc. »
  • Si aucune page n’est personnalisée, le navigateur affichera une page de texte « brute » avec le code et l’intitulé de l’erreur.

HTTP 404 : File Not Found / Introuvable

Le message

On commence par le best-seller des erreurs ! La page web n’est pas trouvée ou n’existe pas.

Erreur 404

Exemple d’une erreur 404 sur Zalando

Causes

Si cette page n’est pas trouvée par le serveur, c’est certainement que son adresse URL a été supprimée, modifiée ou mal orthographiée.

Comment résoudre ?

Vérifiez qu’il ne s’agisse pas d’une faute de frappe. Si l’adresse entrée est correcte, alors il faut regarder dans le code si celle renseignée ne contient pas d’erreur ou si la page n’a pas été supprimée à tort.

HTTP 400 : Bad Request / Requête incorrecte

Le message

Il signifie que la requête tapée par l’internaute n’est pas valide.

Causes

L’URL doit certainement contenir un caractère spécial ou une faute de frappe.

Comment résoudre ?

Le problème se résout facilement en vérifiant l’URL et en ré-essayant.

HTTP 401 : Unauthorized / Non autorisé

Le message

Il indique que la connexion au serveur n’a pas pu s’effectuer à cause d’informations d’identification utilisateur invalides.

Causes

Cette erreur peut survenir au lancement d’un site si l’authentification HTTP de base n’a pas encore eu lieu. Ou bien si les identifiants fournis sont erronés.

Comment résoudre ?

Demandez les identifiants à l’administrateur du site pour les saisir correctement.

HTTP 403 : Forbidden / Interdit

Le message

Ici c’est carrément le cas où l’accès à la page demandée est interdit.

Causes

Le serveur a bien compris la requête et a réussi l’authentification mais il détecte que la page n’est pas prévue pour un affichage au public par exemple.

Comment résoudre ?

Si vous êtes l’administrateur du site et que la page est destinée au public, regardez s’il n’y a pas un problème de script ou bien changer les permissions d’accès aux fichiers en question.

HTTP 500 : Internal Server Error / Erreur Interne du serveur

Le message

Erreur fréquente, l’HTTP 500 concerne le serveur du site web.

Causes

Ce dernier a dû rencontrer un problème inattendu. C’est le message d’erreur le plus vague car le serveur ne peut justement pas analyser ce qui l’a fait « planté ».

Comment résoudre ?

Ce problème arrive souvent lors des phases de développement, en cas de maintenance du site ou si vos serveurs sont « tombés ». Lorsque l’administrateur aura terminé les changements, l’erreur devrait disparaître.

HTTP 502 et 503 : Bad Gateway, Service Unvailable / Passerelle incorrecte, Service indisponible

Le message

Ces erreurs surviennent lorsque plusieurs serveurs sont utilisés et annoncent que les liens entre eux n’ont pas pu avoir lieu.

Causes

Ces deux erreurs sont souvent dues à des surcharges des serveurs ou un problème de réseau.

Comment résoudre ?

Contextuelles, elles peuvent se résoudre en rechargeant tout simplement la page ou en revenant plus tard sur le site.

Pour l’erreur 503, il faudra vérifier que la formule d’hébergement suffit par rapport au nombre de connexions simultanées sur le site et augmenter sa capacité si besoin.

HTTP 504 : Gateway Time-out / Temps d’attente expiré

Le message

Cette explication concerne le temps de communication entre deux serveurs.

Causes

Lorsque plusieurs serveurs sont utilisés pour accéder à la page, si le serveur de destination ne répond pas, alors l’erreur survient.

Comment résoudre ?

S’assurer d’avoir une bonne connexion internet et rafraîchir la page (Ctrl + F5) pour relancer la passerelle entre les deux serveurs.

HTTP 505 : Version not supported / Version non prise en charge

Le message

Le message annonce que serveur Web ne prend pas en charge la version du protocole HTTP utilisée par votre navigateur.

Causes

La version de votre navigateur est obsolète.

Comment résoudre ?

Mettre à jour le navigateur.

 

Chaque erreur trouve une explication plus ou moins logique. Soyez vigilant lors des maintenances de votre site web ou de votre serveur pour éviter qu’elles se multiplient. Une passe sur votre sitemap pourra vous aider à identifier les pages en erreur.

4 technologies à adopter pour faire décoller votre entreprise

Les petites entreprises sont aujourd’hui en pleine croissance. Mais pour assurer un développement optimal et ne pas se faire dépasser, elles doivent investir dans les bons outils.

Au milieu de l’afflux de nouveautés, de technologies innovantes et de gadgets, comment distinguer les technologies les plus porteuses pour votre entreprise ?

Nous vous livrons aujourd’hui notre sélection de technologies à adopter pour faire décoller votre business.

1. Les chatbots

Vous avez sans doute déjà entendu parler de ces robots. Mais pour être certains d’être au même diapason, voici une définition.

Un chatbot, aussi appelé « agent conversationnel », est un programme informatique capable de simuler une conversation avec une ou plusieurs personnes. Les échanges peuvent être textuels, dans le cas d’un chat notamment, ou effectués par le biais de messagerie vocale.

Cet outil est aujourd’hui de plus en plus utilisé dans le cadre de l’amélioration du service client. Notamment grâce aux messageries instantanées.

Les utilisateurs peuvent ainsi obtenir des réponses pour :

  • S’informer sur un évènement
  • Réserver un moyen de transport
  • Obtenir des informations pratiques
  • Avoir un conseil technique
  • Etc.

    Les agents conversationnels ne cessent de croître. Ils deviennent aujourd’hui des incontournables. Dotés de nombreux avantages ils permettent à la fois de gagner du temps et d’entretenir un service client optimal. En délégant les réponses aux questions courantes à un robot, les équipes gagnent du temps et les clients obtiennent des réponses en temps réel.

    Par ailleurs, grâce au machine learning, les chatbots peuvent permettre d’en apprendre beaucoup sur les besoins réels de vos clients voire même vous aider à augmenter votre trafic ou vos ventes.

    2. La recherche vocale

    En janvier 2018, plus d’un milliard de recherches mensuelles avec la voix étaient comptabilisées. On estime que 30 % des recherches se feront sans même recourir à l’écran d’ici 2020. Ce mode de recherche prend une place prépondérante dans les habitudes des internautes. La voix est déjà très présente dans les transactions commerciales et il est attendu que 50 % des parcours d’achat se feront en vocal d’ici 2022.

    Pourquoi alors investir dans la recherche vocale ? En premier lieu parce que la voix peut vous en apprendre beaucoup sur votre clientèle. La recherche vocale révèle des nuances invisibles lors de requêtes écrites.

    Utilisée à bon escient, elle peut vous permettre de mieux connaître votre audience et d’aller toucher un public plus large, voire de nouveaux marchés. Pour réussir l’opération, demandez à vos équipes marketing de travailler sur les mots clés qui mènent à votre site web et d’effectuer des tests pour comprendre quelles requêtes vocales, amènent le plus naturellement à vous.

    3. La tarification dynamique

    Le dynamic pricing permet de fixer des prix de manières flexibles, en fonction d’évènements, de scénarios ou encore de tendances en matière d’offre et de demande. C’est exactement ce qui se produit lorsque vous souhaitez trouver un VTC un soir de nouvel an et que le tarif a quadruplé, ou que vous souhaitez acheter un billet d’avion pour rejoindre votre famille à Noël.

    Une étude menée par Gartner a révélé que la tarification dynamique était la plus performante des stratégies marketing.

    Bien qu’elle comporte une part de frustration dans la mesure où les prix fluctuent, elle peut largement aider votre business à se développer et vous faire prendre une longueur d’avance sur la concurrence.

    4. L’analyse des sentiments

    Le processus peut sembler étonnant et pourtant. L’idée est de générer une analyse automatique des sentiments d’un utilisateur à partir d’un texte. Cela peut notamment être d’une aide précieuse pour comprendre la qualité des interactions entre les clients et votre entreprise.

    Il s’agit d’une certaine manière de mettre à jour la subtilité cachée des mots. Toujours selon Gartner, 75 % des entreprises les plus encensées par leurs clients pourraient perdre jusqu’à 20 % de leur valeur. En cause, la perception décadente des marques et une perte de loyauté des consommateurs, inévitablement attirés par la nouveauté ou les prix les plus compétitifs.

    Recourir à l’analyse des sentiments peut vous permettre d’anticiper ce phénomène et de répondre aux besoins de vos clients avant même qu’ils ne les aient exprimés.

Blogging : 5 types d’emails à envoyer à vos abonnés

Tenir un blog représente beaucoup de travail. Entre trouver des sujets intéressants et rédiger des contenus attrayants, vous êtes vite surchargé au point d’oublier de communiquer avec votre public !

Vu les taux de conversion encourageants de l’email marketing, vous devriez vous y pencher plus en détail. Mais quels emails envoyer ? Quels messages faut-il faire passer ?

Voici 5 types de newsletters à envoyer à vos abonnés !

1. L’email de bienvenue

L’email de bienvenue est absolument vital pour votre blog. C’est l’une des tactiques les plus simples, mais tellement sous-utilisées ! Ce type de message est très efficace : il génère 50 % de taux d’ouverture et 5 fois plus de clics que tout email.

Lorsque quelqu’un s’inscrit sur votre liste de diffusion, la moindre des choses est de le remercier d’avoir pris le temps de s’abonner. D’ailleurs, 76 % des internautes s’attendent à recevoir un email de bienvenue après s’être abonnés.

C’est aussi une excellente occasion de donner des informations supplémentaires sur votre marque ou de proposer du contenu pertinent aidant à la prise de décision.

2. L’email d’expérience

Selon un sondage, 86 % des consommateurs sont prêts à payer plus cher un produit à condition d’avoir eu une expérience d’achat optimale avec l’entreprise.

Pour optimiser cette expérience, commencez par fixer des attentes à vos clients : à quoi peuvent-ils prétendre maintenant qu’ils sont inscrits ?

Présentez-leur votre stratégie emailing, le type de contenus qu’ils vont recevoir, les exclusivités et la fréquence d’envoi. Les prospects seront plus enclins à attendre vos newsletters et donc à les ouvrir.

3. L’email « cadeau »

Qui n’aime pas les cadeaux ? Vous devez avoir quelque chose de gratuit à offrir à vos abonnés pour les persuader d’avoir fait le bon choix. Vous n’êtes pas obligé d’offrir une chose exceptionnelle ou coûteuse pour votre entreprise : tout produit aura de la valeur à partir du moment où il est obtenu gratuitement.

En tant que blogueur, il y a beaucoup de choses que vous pouvez donner à vos abonnés : un livre blanc, une liste de conseils non publiée sur le blog, un bon de réduction sur un site partenaire, une formation, un podcast…

Faites preuve de créativité et offrez quelque chose qui sert vos intérêts, comme ceux de vos lecteurs.

4. L’email avec du contenu exclusif

Envoyer du contenu exclusif dans la boîte de réception de votre abonné est la raison parfaite pour qu’il décide de s’engager avec vous et de revenir sur votre blog.

Les internautes ne consultent pas un blog pour entendre un argumentaire de vente, ils veulent de l’information, de la pédagogie. Ils veulent comprendre comment combler un besoin et découvrir les meilleures options.

Avant de leur vendre vos articles premium, ebooks ou formations, offrez du contenu à forte valeur ajoutée. Proposez vos derniers billets, mais aussi des dossiers exclusifs, des guides d’achat ou des conseils.

5. L’email de réassurance

La meilleure façon d’inciter les lecteurs à rester fidèles à votre marque est d’instaurer un climat de confiance. Pour instaurer cette confiance (ou la sauvegarder), établissez une relation de proximité avec vos abonnés. Vous pouvez proposer des tribunes que vous avez rédigées pour d’autres sites, afin de valoriser votre expertise.

Mais pensez aussi à demander l’avis de vos abonnés. Invitez-les à vous contacter par email, à vous poser des questions… Vous aurez alors de la matière pour vos futurs articles, tandis que vos lecteurs se sentiront considérés.

Ces 5 types d’emails vous aident à maintenir la conversation avec vos abonnés, à les fidéliser. Capitaliser sur votre listing de lecteurs est la méthode idéale pour accroître les conversions sur le moyen terme et rentabiliser votre blog.

 

Les 5 meilleurs logiciels de base de données

Commençons par le commencement : une base de données est un système qui stocke vos informations et vos contenus. Ce qui implique les catalogues de produits et les référentiels de vos clients. Elle est capable de créer et de modifier l’accès aux données qui y sont stockées.

Avec un logiciel de base de données, comprendre et utiliser les informations devient plus facile. Il permet l’organisation de l’information et la liaison des données entre elles, tout en fournissant des rapports sur leurs changements et les tendances. Votre base de données vous aide alors à piloter vos stratégies marketing et commerciales.

Pour vous permettre de créer une base de données ordonnée et performante, on vous propose le top 5 des meilleurs logiciels du marché !

. MySQL

Véritable référence, MySQL est de loin le plus populaire des logiciels de base de données pour applications web. Bien qu’il soit gratuit, il est régulièrement mis à jour avec de nouvelles fonctionnalités et des améliorations de sécurité.

Pour une utilisation commerciale, optez pour la version payante de MySQL qui offre encore plus de fonctions. Le seul bémol, le freeware est plus rapide et plus robuste que la version payante.

L’interface facile à utiliser et les commandes par lots vous permettent de traiter d’énormes quantités de données

MySQL offre également une large gamme d’interfaces utilisateur et son prix est plutôt abordable. Il s’intègre facilement à d’autres logiciels de base de données.

2. PostgreSQL

C’est « l’ancêtre » des logiciels de base de données. PostgreSQL est un vrai passe-partout, compatible avec des plateformes comme Linux, et peut être hébergé sur les environnements virtuel, physique et aussi dans le cloud.

Même s’il peut être difficile à configurer, PostgreSQL vient avec des fonctions prédéfinies pouvant traiter des téraoctets de données, de manière simplifiée.

Autre point important : sa dernière version a connu une augmentation du nombre d’utilisateurs, car la partie sécurité a été largement améliorée grâce à un profil de mots de passe étendu.

3. SAP HANA

Si vous voulez extraire des données stockées dans vos applications, SAP HANAest votre meilleur choix.

Même s’il est le « petit nouveau » des logiciels de base de données, il possède déjà de grandes capacités. Il peut traiter des données SAP et non SAP et facilite la sauvegarde des données.

Avec cet outil, vous pouvez récupérer des données à partir d’applications et d’autres sources qu’elles soient physiques ou dans le cloud. Il allie des fonctionnalités de BDD, mais aussi des options d’analytique avancée, de management des informations d’entreprise et un serveur d’applications bien fourni.

Parmi les avantages du logiciel SAP HANA, on peut citer la compression qui réduit les besoins en ressources, la capacité de gérer les stocks et de produire des rapports en temps réel. Toutes ces fonctions s’exécutent dans la mémoire vive, au sein d’une seule plateforme.

4. Mongo DB

Mongo DB est disponible en versions gratuite et payante. Ce logiciel peut utiliser des données structurées et non structurées. À noter qu’il est adaptable, flexible, rapide, facile et simple à utiliser, même pour les débutants. Par ailleurs, il offre un ensemble complet de pilotes sophistiqués.

Contrairement à d’autres logiciels de base de données, il est capable de fonctionner dans les situations de traitement de données variables non relationnelles. Mongo DB offre des fonctions de recherche improvisée et intègre facilement des documents NoSQL.

5. Microsoft SQL Server

Grand classique dans l’univers des logiciels de base de données, Microsoft SQL Server, il fonctionne aussi bien sur les serveurs locaux que ceux basés dans le cloud. D’ailleurs, il peut être configuré sur les deux types de serveurs simultanément.

Disponible sur Linux et sur Windows, sa prise en charge des données temporelles est l’une des plus belles fonctionnalités de sa dernière mise à jour. Cela facilite le suivi des modifications des données que vous aurez à effectuer.

Autre fonctionnalité intéressante : Microsoft SQL Server offre une protection des données dynamiques, avec un accès unique pour les personnes autorisées aux données sensibles.

Vous connaissez d’autres outils de gestion de base de données ? Présentez-les en commentaire !

8 outils à ne pas manquer pour tester les performances de votre site

On apporte souvent beaucoup de soin au design et à l’ergonomie d’un site web (à juste titre), mais les performances sont parfois laissées de côté.

Pourtant, les facteurs de performance comme la vitesse ou le poids d’une page web sont cruciaux : ils influencent le référencement naturel, le taux de rebond, le taux de conversion et ont même un impact sur l’emprunte carbone d’Internet.

C’est pourquoi il est essentiel de tester les performances de son site et d’identifier ses points d’amélioration.

1. appYuserSponsorisé

appYuser est une solution unique en son genre qui vous permet d’évaluer le ressenti réel des internautes vis-à-vis des performances de votre site web. Ce ressenti est calculé grâce à la norme appYdex qui tient compte du début et de la fin d’affichage de vos pages.

Les performances web sont évaluées pour tous les contextes et usages de vos internautes (OS, navigateur, mobile, appareil, région…). Ici pas de robots ni de sondes, ce sont les accès réels de vos utilisateurs qui sont analysés.

Grâce à appYuser, vous pouvez identifier rapidement des axes d’amélioration pour votre site (hébergeur, CMS, bonnes pratiques HTML, contenus..) et prioriser ces dernières en fonction de l’impact sur le ressenti utilisateur et des gains estimés sur le taux de conversion.

Cette solution s’adresse aux responsables de services web et experts techniques qui se soucient du ressenti utilisateur.

2. PageSpeed Insights

PageSpeed Insights est un outil de Google permettant d’analyser la vitesse d’une page web sur le web et sur mobile.

En plus d’attribuer un score à la vitesse de votre page, l’outil liste les différents points à améliorer et les classes par ordre de priorité.

PageSpeed Insights vous donne même des explications détaillées pour régler les problèmes qui nuisent à la vitesse de la page.

3. GTmetrix

GTmetrix est une autre solution très pratique pour analyser la vitesse de votre site.

Il est particulièrement pratique puisqu’il affiche à la fois les résultats de Pagespeed et de Yslow, deux outils de mesure reconnus.

Cela vous permet de comparer différents avis sur les performances de votre site et d’avoir de nombreux conseils pour l’optimiser.

GTMetrix permet également de comparer les performances et la vitesse de deux pages web.

4. Uptrends

Si Uptrends est un outil de test de vitesse assez commun, il a l’avantage d’offrir de nombreuses localisations de test.

Pour clarifier, l’endroit depuis lequel quelqu’un visite votre site a un impact sur la vitesse de ce dernier.

En effet, si le serveur principal qui héberge votre site se trouve à Paris, le chargement sera beaucoup plus long pour un visiteur situé en Chine que pour un autre situé à Lyon.

Avec Uptrends, vous êtes sûr de pouvoir mesurer la vitesse de votre site depuis une ville proche de votre serveur (en France, vous avez le choix entre Paris et Lille). Résultat : une analyse plus fiable et fidèle, ce que tous les outils de ce genre ne permettent pas.

. Browser Calories

Browser Calories est une extension pour navigateurs (disponible pour Chrome, Firefox et Opera) qui, au lieu de mesurer la vitesse d’une page web, se focalise sur son poids.

En effet, le poids d’une page web a un impact important (et parfois sous-estimé) sur son référencement et son taux de conversion.

D’où l’intérêt de cet outil très simple. Une fois installé, une icône en forme de donut s’affiche près de la barre d’adresse : un clic suffit pour analyser la page sur laquelle vous vous trouvez.

Son poids est alors comparé avec le poids moyen de 100 sites de référence et vous avez immédiatement une idée fiable de la performance de votre page.

6. Pagelocity

 

Pagelocity a une approche assez unique puisque cet outil analyse votre pages web en s’intéressant à 3 pôles :

  • La SEO on-page : URL ou titre trop long, taille du texte excessive… Autant d’informations pertinentes que Pagelocity peut pointer du doigt pour vous permettre d’améliorer le référencement naturel de votre site ;
  • La performance : cette partie s’intéresse notamment à la taille des images et des scripts et, bien entendu, à la vitesse ;
  • Le code : un peu plus technique, ce pôle analyse entre autre vos classes et Id CSS ainsi que les balises méta.

7. Yellow Lab

Yellow Lab est un autre outil très complet, bien qu’un peu plus technique que les précédents, pour analyser les performances de votre site web.

Son analyse, qui porte sur 11 catégories différentes, est très vaste : du poids de la page au Javascript, en passant par la complexité du CSS, c’est une vraie mine d’informations.

8. Test d’optimisation mobile Google

Cet outil d’optimisation signé Google se focalise sur les performances et la lisibilité de votre site sur mobile ; chose que vous ne devez surtout pas négliger : rappelons que 24 % des internautes achètent sur mobile.

Il suffit d’entrer une URL dans la barre de saisie pour que l’outil vous indique si la page est « mobile-friendly ».

Avec ces 8 outils, vous pourrez vous faire une bonne idée des performances de votre site web et mieux comprendre les problèmes qu’il rencontre.

Pour optimiser les performances de votre site (vitesse, référencement, poids…), vous pouvez aussi faire appel à un webmaster  sur duoexpertise.com.

 

Twitter, Instagram, Facebook, LinkedIn… : comment utiliser efficacement les hashtags ?

#contenudeouf #articletrèsutile #partagezsvp

Ces messages précédés d’un dièse ne vous sont pas inconnus. On parie que vous les utilisez sur vos réseaux sociaux pour suivre la tendance, augmenter votre visibilité ou faire passer un message qui vous tient à cœur.

Si vous n’avez encore jamais utilisé les hashtags, sachez que les marques ont recours à cette pratique pour toucher leur public, gagner de nouveaux abonnés, participer à des conversations pertinentes, augmenter leur impact social ou mettre en avant le thème clé de leurs contenus. Or, chaque réseau social propose ses propres codes en matière d’hashtags. Les connaissez-vous ?

Petit tour d’horizon de l’utilisation des mots-dièse par plateforme sociale.

1. Twitter

Twitter est le lieu de naissance du hashtag. Le premier a été utilisé en 2007 et permettait de créer des groupes de discussion sur le site de microblogging. Depuis, les hashtags servent surtout à veiller sur un sujet, à mettre en avant un mot-clé et à toucher une nouvelle cible.

Étant donné que vous n’avez que 280 caractères pour vous exprimer dans un tweet, n’utilisez pas plus de 2 hashtags dans vos messages. Cela vous permet de catégoriser votre contenu et d’accroître votre visibilité.

Sur Twitter, l’ajout d’hashtags est une technique très pertinente : les tweets avec hashtags génèrent plus de retweets que ceux qui n’en ont pas.

Par contre, d’après Twitter Ads, il est préférable de ne pas s’en servir dans vos publicités sur le réseau social : vous générez plus de clics en les omettant complètement.

2. Instagram

Si Twitter a créé le hashtag, Instagram l’a popularisé. La plateforme autorise jusqu’à 30 hashtags par publication… et les utilisateurs s’en servent allégrement !

Autre différence avec le « papa » du hashtag : plus vous incorporez de mots-clés, plus vous gagnez d’engagement. Cependant, vous n’êtes pas obligé d’atteindre la barre des 30. Expérimentez et voyez ce qui fonctionne le mieux pour votre marque. Selon TrackMaven, les posts avec 9 à 12 hashtags sont les plus engageants.

Où inclure vos hashtags sur Instagram ?

  • Dans votre bio
  • Dans vos stories
  • Dans vos campagnes
  • Dans votre veille

Pour garder votre contenu propre et organisé, placez les hashtags à la fin de la légende en prenant soin de les séparer avec des points ou astérisques. Sinon, vous pouvez les laisser en dehors de la légende et les mettre comme commentaire.

Attention
Évitez de copier-coller les mêmes hashtags sur plusieurs messages même s’ils sont dans le même créneau. Les publications seront considérées comme spam et moins visibles. De plus, diversifier vos hashtags augmente vos chances de conquérir un nouveau public.

3. Facebook

Les hashtags ne sont pas vraiment tendance sur Facebook. Contrairement à Instagram ou Twitter, les inclure ne va pas générer plus d’engagement ou de visibilité. Cela peut même être l’inverse si vous en mettez toute une flopée !

Étant donné que les hashtags apparaissent en bleu et se différencient dans votre statut, ils peuvent être utilisés pour créer un rendez-vous, promouvoir une campagne spécifique ou un concours, ou simplement souligner un terme important.

4. LinkedIn

Jusqu’à récemment, les hashtags étaient peu (voir pas du tout) utilisés sur le réseau social professionnel. Mais avec l’élargissement de sa base de données, LinkedIn autorise désormais son utilisation à la manière Instagram.

En effet, les internautes peuvent effectuer des recherches par hashtag ou veiller sur les plus populaires pour trouver des contenus intéressants.

Vous pouvez ajouter des hashtags :

  • Sur votre profil pour plus de visibilité
  • Dans vos articles LinkedIn Pulse ou comme mots-clés à la fin pour augmenter la portée de vos messages
  • Dans vos commentaires
  • Dans les mises à jour de vos statuts

5. Pinterest

Sur Pinterest, les hashtags sont utilisés dans la description d’un pin. En cliquant dessus, l’utilisateur accède à des pins connexes liés à ce hashtag. Et ce n’est que dans les descriptions qu’ils sont autorisés sur ce réseau social.

N’ajoutez pas plus de 20 hashtags par pin et assurez-vous qu’ils sont pertinents, spécifiques et descriptifs. Ils doivent apporter des informations complémentaires aux utilisateurs.

Une stratégie de hashtags réussie commence par la connaissance de votre public et la reconnaissance de ce qui fonctionne sur chaque plateforme sociale.

Par la suite, analysez vos publications pour connaître les hashtags qui fonctionnent et incite à l’engagement. Vous construirez alors une liste de hashtags de plus en plus précise… et efficace.

Publicité digitale : quelle(s) plateforme(s) choisir ?

Le principe cartésien de la publicité est d’être où se trouve le consommateur. Et la tendance de ce siècle est le numérique. Plus de la moitié de la population mondiale utilise Internet et pour une entreprise qui veut augmenter ses bénéfices, c’est là qu’il faut être.

Mais avec la multiplicité des plateformes, trouver sa part et faire passer son message sur la toile n’est pas aussi évident qu’il n’y paraît.

La clé ? Identifier les plateformes publicitaires qui ciblent parfaitement votre audience !

Les publicités sur Facebook

Facebook est le mastodonte des réseaux sociaux avec plus de 2 milliards d’utilisateurs actifs chaque mois. C’est aussi la plateforme sociale la plus prisée par les entreprises, notamment celles qui s’adressent au grand public.

Les annonces, ou Facebook Ads, sont très faciles à configurer et à éditer. Le Gestionnaire de Publicités est très intuitif et vous propose des campagnes par objectif. Les robots de Facebook font même le travail d’optimisation et d’amélioration des performances pour vous. Néanmoins, il est possible d’aller plus loin et de paramétrer vous-même des tests A/B.

Son atout principal ? Son application de messagerie : Facebook Messenger. Grâce à elle, vous pourrez toucher encore plus d’internautes avec des offres qui feront augmenter vos bénéfices. Vous pouvez directement communiquer dans la boîte de réception de votre audience pour accroître le taux de clics.

Cependant, tout n’est pas au rose au royaume des Facebook Ads. Le réseau social de Mark Zuckerberg est victime de sa popularité.

Toutes les marques veulent leur publicité sur Facebook, ce qui entraîne un embouteillage des messages publicitaires et, pour les entreprises, une concurrence accrue. Or, qui dit concurrence, dit plus de dépenses pour avoir de meilleurs résultats. Vous avez intérêt à bien définir votre cible pour optimiser au maximum votre ROI et tirer profit des Facebook Ads.

La publicité sur Instagram

Si vous voulez cibler les jeunes adultes, entre 20 et 30 ans, c’est sur Instagram que vous les trouverez ! Les moins de 24 ans représentent 41 % des utilisateurs actifs.

Le saviez-vous ?
Étant donné que le visuel est roi sur cette plateforme, ce sont les marques alimentaires, de mode, touristique, beauté ou décoration qui tirent particulièrement leur épingle du jeu.

Instagram vous permet de présenter vos produits et services sous leur meilleur jour. Les photos, vidéos, stories et carrousels sont les premiers atouts du réseau social. L’accent mis sur le marketing visuel fait de cette plateforme un outil de tremplin pour toute jeune entreprise.

Cependant, l’inconvénient avec le visuel est qu’il faut proposer des contenus toujours plus tendance et originaux pour maintenir l’intérêt de vos abonnés. Enfin, la forte présence des jeunes branchés sur Instagram laisse peu la place aux marques qui ne s’adressent pas à cette cible.

La publicité sur Twitter

De nature élitiste aux yeux des internautes, la publicité sur Twitter est pourtant utile pour les entreprises B2B ou dans l’univers digital.

Avec ces 330 millions d’utilisateurs, le site de microblogging peut être un véritable tremplin pour votre start-up. Surtout si vous bâtissez une communauté fidèle grâce à des tweets réguliers et pertinents.

Sur Twitter, il faut savoir que vous ne vendez pas directement vos produits ou services, vous proposez avant tout du contenu éducatif et informatif pour vos prospects. Les publicités sur ce réseau social consistent plutôt à acquérir des leads à l’entrée de votre tunnel de conversion.

La publicité sur LinkedIn

LinkedIn est le réseau social B2B par excellence. Sur ses 500 millions d’utilisateurs, Linkedin recense 40 millions de décideurs. Si ces dirigeants représentent votre cœur de cible, c’est la plateforme sur laquelle vous devez diffuser vos publicités.

Cependant, les Linkedin Ads ont un coût non négligeable… Mais ce réseau social est beaucoup moins encombré que les autres plateformes, plus ciblé et avec un retour sur investissement qui peut être réellement intéressant pour votre entreprise.

Les publicités selon l’intérêt

Elles sont utilisées par les moteurs de recherche, qui se basent sur l’historique de navigation de l’utilisateur, pour afficher des publicités ciblées. Idéales pour toucher les utilisateurs mobiles ou faire du retargeting, ces campagnes vous permettent d’être présents sur de nombreux sites internet qui se rémunèrent grâce à la publicité.

L’avantage de cibler par intérêt est d’augmenter le taux de clic sur vos messages. Toutes les entreprises peuvent profiter de ce type de campagne.

Les annonces interstitielles

Les publicités interstitielles s’affichent sur l’écran d’un utilisateur mobile avant qu’il n’accède au contenu qu’il souhaite voir. Cela garantit une visibilité immédiate de votre annonce, ainsi qu’un meilleur taux de clics.

Néanmoins, ces publicités sont parfois perçues comme intrusives et les internautes sont tentés de les quitter rapidement, sans même y jeter un œil. Pire encore, ils peuvent cliquer dessus par erreur et revenir en arrière. Résultat, vous payez pour un clic qui n’a mené à rien.

Ce type de publicité peut être utilisé, avec parcimonie, si vous souhaitez cibler les utilisateurs mobiles. Pensez toutefois à bien vérifier vos statistiques pour vérifier si le retour sur investissement est suffisamment performant.

Vous avez besoin d’aide pour vos publicités digitales ? Postez votre annonce sur duoexpertise.com!