Votre entreprise a t’il toujours besoin réseaux sociaux ?

Linkedin a vu le jour en 2003, Facebook est fondé en 2004, Twitter est lancé en 2006, Instagram est né en 2010… Et depuis, chaque plateforme a bien évolué ! Cependant, les réseaux sociaux sont régulièrement au cœur de scandales, notamment sur le sujet de la protection des données. On entend souvent que les plus jeunes délaissent ces sites pour se consacrer davantage aux messageries. Alors, les réseaux sociaux sont-ils morts ? Ou votre entreprise a-t-elle toujours intérêt à communiquer dessus ?

Disons-le immédiatement : les réseaux sociaux ont toujours une importance capitale pour la communication de votre entreprise. Peu importe les gros titres, ils demeurent une part essentielle de votre stratégie marketing. Laissez-nous vous expliquer pourquoi…

Vos clients les utilisent toujours

Les réseaux sociaux ont toujours du succès ! D’après une étude d’Hootsuite et WeAreSocial, 44% des internautes disposent d’un compte sur un site social. Cela représente 3.4 milliards d’êtres humains.

En France, 59% des internautes utilisent les réseaux sociaux, selon une enquête du CREDOC. Et si vous pensez que les plus jeunes délaissent ces plateformes, c’est faux ! Une étude emarketer, publiée en 2009, démontre que 90,4% des millenials sont inscrit sur les réseaux sociaux.

Enfin, sachez que 73,4 % des utilisateurs suivront une marque en raison de leur intérêt pour le produit ou le service, selon une enquête de SproutSocial.

Alors non, clairement, les réseaux sociaux ne sont pas morts, ils se portent même très bien !

Les réseaux sociaux vous gardent dans la course concurrentielle

Maintenant que vous comprenez que vos clients utilisent toujours les réseaux sociaux, vous vous doutez certainement que vos concurrents continuent de communiquer sur ces plateformes.

Par conséquent, si vous supprimez ces canaux de votre stratégie marketing, vous leur laissez un avantage concurrentiel.

En étant actif sur les réseaux sociaux, vous augmentez la visibilité globale de votre petite entreprise. C’est d’autant plus vrai si vous avez une ligne éditoriale cohérente avec votre image, capable de se démarquer de vos concurrents.

Le potentiel des messageries instantanées se développe

WhatsApp compte 17,8 millions de visites uniques par mois et 6,4 millions par jour en France, d’après Médiamétrie. En moyenne, 2 milliards de messages sont échangés entre les marques et les consommateurs, chaque mois, sur Facebook Messenger (notamment grâce aux chatbot messenger).

L’appétence des Français, et notamment des moins de 20 ans, pour ce mode de communication ne fait qu’augmenter. Or, WhatsApp appartient à Facebook. Quant à Messenger, il est directement intégré au réseau social… et donc rattaché à votre page Business.

Communiquer sur les réseaux sociaux vous permet de fidéliser les clients qui privilégient les moyens instantanés pour dialoguer avec les marques.

La percée de la vidéo, un atout pour les réseaux sociaux

D’après une étude d’Animoto : 63% des marketeurs et entreprises estiment que Facebook est la plateforme sociale aux meilleures performances lorsqu’il s’agit de publier et promouvoir du contenu vidéo. LinkedIn et YouTube arriveraient ensuite avec respectivement 7,5% et 7% des spécialistes interrogés.

Mais ce n’est pas tout ! Une étude de Brightcove démontre qu’une vidéo publiée sur les réseaux sociaux génère 1200% plus de partages que les images ou le texte. D’après Facebook, ses utilisateurs passent 5 fois plus de temps devant une vidéo que devant du contenu figé. Enfin, Linkedin affirme que les vidéos postées sur sa plateforme atteignent un taux d’engagement de 50%.

La vidéo est un format star de plus en plus consommé par les internautes. Et c’est sur les réseaux sociaux que ce format génère le plus d’engagement ! Si vous avez prévu de vous mettre prochainement au vidéo marketing, restez inscrit sur Facebook, Twitter, Linkedin ou Instagram !

Les réseaux sociaux optimisent les conversions

54% des utilisateurs des réseaux sociaux y recherchent un produit ou un service, d’après une étude de GlobalWebIndex. Assurer une présence active et de qualité sur ces plateformes vous permet de capter les internautes en quête d’une offre spécifique.

De plus, que chaque réseau social dispose d’une plateforme publicitaire qui vous aide à promouvoir vos produits et à attirer du trafic sur votre site internet. Vous pouvez cibler votre audience, mettre en œuvre des campagnes retargeting et proposer l’étendue de votre catalogue à des coûts imbattables ! L’objectif de ces campagnes est d’augmenter, à terme, vos ventes et donc de rentabiliser votre présence sur les réseaux sociaux.

Les réseaux sociaux demeurent des outils de communication précieux, surtout pour les petites et moyennes entreprises. Ils permettent, à moindre coût, d’augmenter la notoriété de votre marque, de fidéliser vos clients et de conquérir de nouveaux marchés. Loin d’être morts, ils évoluent pour s’adapter aux tendances de communication et de consommation des consommateurs.

Si vous souhaitez vous démarquer sur les réseaux sociaux avec des contenus interactifs, des vidéos… N’hésitez pas à trouver un community manager freelance sur Codeur.com.

8 générateurs pour personnaliser votre signature d’email en HTML

Les emails restent un moyen d’échange professionnel privilégié. Que ce soit avec vos clients, prospects, partenaires ou prestataires, ce canal de communication vous permet de faire passer des messages.

Et nous ne parlons pas uniquement du corps de votre email, mais aussi de votre signature !

Cette dernière vous offre la possibilité de donner des renseignements complémentaires sur vous et de valoriser votre expertise. Personnalisée, elle indique vos coordonnées, votre poste et invite le destinataire à vous rejoindre sur vos réseaux sociaux.

Comment créer, en quelques secondes, une signature d’email professionnelle ? Codeur vous présente ses 8 outils gratuits préférés (cet article contient des résultats sponsorisés).

1. Boost My Mail

Boost My Mail est un éditeur en ligne de création de signature email, compatible avec les messageries Outlook et Gmail.

Rapide et simple d’utilisation, aucune connaissance en intégration ou en HTML n’est requise. Il vous suffit de choisir un modèle de signature puis de le personnaliser avec votre logo et vos coordonnées (nom, prénom, fonction, numéro de téléphone, site internet, réseaux sociaux, etc). Pour renforcer l’image de votre marque vous pouvez également modifier la couleur dominante.

Autres avantages de Boost My Mail : vous pouvez ajouter un bandeau publicitaire à votre signature d’email et suivre ses performances par le biais de statistiques.

N’hésitez pas à essayer l’outil pendant 14 jours pour générer en quelques clics une signature email à l’ensemble de vos collaborateurs. L’abonnement est également gratuit jusqu’à 10 utilisateurs avec le pack Ambassadeur.

2. ZippySig

 

Facile à prendre en main, l’outil ZippySig vous permet de créer une signature entièrement personnalisée.

Il vous suffit de sélectionner un template parmi la liste proposée, d’entrer vos coordonnées, puis de choisir les polices et couleurs. Il ne vous reste plus qu’à télécharger la signature et l’uploader dans votre outil de messagerie.

Bien entendu, ZippySig vous offre la possibilité d’intégrer votre photo ou le logo de l’entreprise, ainsi que les icônes de vos profils sur les réseaux sociaux.

L’outil est gratuit pendant 7 jours, il faudra ensuite compter au minimum 5$/mois pour pouvoir créer plus de signatures emails.

3. Signature Maker

Plus simple que Signature Maker, nous ne sommes pas sûrs que ça existe ! Vous n’avez pas besoin de vous inscrire pour créer votre signature personnalisée.

Entièrement gratuit, l’outil ne peut vous fournit qu’un type de design, c’est donc à prendre ou à laisser. Cependant, l’encart proposé est très épuré, professionnel et s’adapte à tous les secteurs d’activité. Vous pourrez y ajouter une photo ou un logo, ainsi que tous vos profils sur les réseaux sociaux : Facebook, Twitter, Linkedin, Google +, Instagram…

Lorsque votre signature est prête, l’outil vous propose un code HTML à intégrer dans vos messages.

4. WiseStamp

Différent des autres outils proposés, WiseStamp est une extension Firefox qui crée une signature pour tous vos services webmail : yahoo, gmail, live… Ce service est idéal si vous avez plusieurs adresses email que vous gérez en ligne.

En installant l’application, vous pourrez personnaliser entièrement votre signature : style, police, couleur, ajout d’image, etc. Vous aurez même la possibilité d’inclure un flux RSS qui proposera votre dernier article de blog, par exemple. Vous pouvez aussi choisir d’inscrire une citation ou de présenter votre nouvelle vidéo YouTube.

Évidemment, WiseStamp vous permet d’ajouter les icônes de réseaux sociaux.

Enfin, sachez que l’extension vous propose de créer plusieurs signatures, pour chacune de vos adresses emails. Il ne vous restera qu’à choisir l’encart approprié au moment d’envoyer votre message.

 Assistance Email

 

Avec un choix limité de design, Assitance Email vous facilite la création de signature personnalisée en quelques secondes et gratuitement.

L’outil est idéal pour ceux qui veulent rapidement créer une signature épurée, disposant de toutes les informations nécessaires : nom, site internet, adresse, numéro de téléphone et URL du site.

Par contre, n’espérez pas pouvoir intégrer une photo, un logo ou vos réseaux sociaux.

6. Le générateur de signature d’emails d’Hubspot

La célèbre plateforme Inbound Marketing Hubspot vous propose son générateur de signature gratuit.

Simple, élégant et moderne, le design vous permet d’afficher clairement toutes vos informations importantes : coordonnées, numéro de téléphone, site internet, réseaux sociaux…

Vous pourrez même créer un call-to-action pour inciter vos destinataires à télécharger votre dernier livre blanc, s’inscrire à votre newsletter, participer à votre webinar… C’est vous qui voyez ! Enfin, le générateur d’Hubspot vous propose une série de badges de certification à afficher dans votre signature, pour valoriser votre expertise.

7. Si.gnatu.re

Très simple d’utilisation, l’outil Si.gnatu.re est certainement le plus complet de notre liste puisqu’il vous permet de créer rapidement votre signature d’email et de la personnaliser comme bon vous semble.

Pour un outil entièrement gratuit les fonctionnalités sont nombreuses : personnalisation de la police d’écriture, des couleurs, de la tailles des icônes, de l’alignement des textes ou encore de la position de votre image ou logo.

À noter aussi que l’outil référence une trentaine de réseaux sociaux, vous n’aurez donc aucun problème à rediriger vos contacts vers votre compte Spotify, Strava ou encore TripAdvisor.

8. MySignature

Quel que soit votre profession, MySignature aura certainement le template qu’il vous faut pour votre signature email.

Vous retrouverez les fonctionnalités de bases telles que l’ajout des réseaux sociaux, des coordonnées et même d’une bannière. Le petit plus ? MySignature vous propose d’ajouter un lien de tracking sur votre bannière et vos icônes de réseaux sociaux afin de connaître le nombre de clics et biens d’autres informations.

Si vous souhaitez développer votre stratégie emailing, vous pouvez faire appel à un consultant emailing freelance en déposant une annonce gratuitement sur Codeur.com.

Vous connaissez d’autres outils pour personnaliser la signature de vos emails ? Partagez-les en commentaire !

CSS : 6 astuces pour booster la vitesse de votre site

La vitesse de votre site web est un critère essentiel dans l’expérience utilisateur et la qualité de votre référencement naturel. Lors d’un précédent article, nous vous avions d’ailleurs donné quelques conseils pour optimiser le temps de chargement de votre site.

Nous allons aujourd’hui nous arrêter sur le code CSS. Ces différentes lignes, si importantes pour la mise en page et les diverses animations de votre site, peuvent ralentir ce dernier.

Voyons quelques astuces très simples à mettre en place, qui amélioreront la vitesse de votre site web.

1. Utiliser Flexbox et CSS Grid

Si vous utilisez toujours les marginspaddings et floats pour aligner vos éléments, alors il est temps d’adopter des techniques de mise en page plus modernes.

Grâce à Flexbox et CSS Grid, vous pouvez créer des dispositions plus complexes, avec beaucoup de moins de code :

  • Flexbox permet des mises en page unidimensionnelles en disposant les éléments en ligne ou en colonne. Il est idéal pour les menus ou les galeries d’images par exemple.
  • CSS Grid permet des mises en page dans une grille à deux dimensions, c’est-à-dire en gérant simultanément la disposition des colonnes et des lignes.

Flexbox et CSS Grid sont supportés par de nombreux navigateurs, s’adaptent aux différentes tailles des écrans et vous font économiser plusieurs lignes de code.

2. Remplacer les images par des effets CSS et des SVGs

Le chargement d’une image peut prendre beaucoup de temps, surtout si cette dernière n’est pas optimisée pour le web. De plus, certaines d’entre elles s’avèrent inutiles.

C’est le cas par exemple des images de dégradés. Il est en réalité très simple de réaliser des gradients en CSS : vous pouvez choisir les couleurs ainsi que l’angle du dégradé. Alors oui cela vous rajoute quelques lignes de code, mais le chargement est bien plus rapide.

Les images en JPG et PNG peuvent quant à elles être remplacées par des SVGs (Scalable Vector Graphics) :

  • Sous ce format, les images se chargent plus vite
  • Vous n’avez pas besoin de charger une même image sous différentes tailles, puisqu’en SVG elle s’adapte automatiquement à l’écran de l’utilisateur
  • Vous pouvez ajouter des effets avec du CSS

3. Éviter d’utiliser la règle  !important

Cette règle CSS permet de donner la priorité à votre déclaration et remplace vos autres déclarations. Par exemple, si vous avez :

h1{
margin-bottom : 20px !important ;
}

Toutes les margin-bottom des h1 déclarées dans vos fichiers CSS prendront la même valeur : 20px.

Cette syntaxe est à éviter car elle oblige le navigateur à vérifier tout votre code. Si vos fichiers CSS sont conséquents, il est évident que cette pratique ralentira le temps de chargement de votre site web.

De manière générale, n’utilisez jamais la règle  !important, sauf si vous souhaitez remplacer le code CSS provenant d’une autre bibliothèque.

4. Retirer les typographies inutiles

Grâce à Google Fonts, il est aujourd’hui facile d’ajouter des typographies personnalisées à un site internet. Mais attention à ne pas ajouter des polices inutiles !

Commencez par ne charger que les styles dont vous avez besoin : vous pouvez par exemple retirer l’italique.

Utilisez également les polices variables, elles vous permettent de ne charger qu’un seul fichier pour accéder ensuite à plusieurs styles.

5. Éviter d’utiliser la règle @import

Il existe deux grandes techniques lorsque vous voulez charger un fichier CSS dans une page HTML :

  • L’utilisation de la balise <link> dans la section <head> du fichier HTML
  • L’utilisation de la règle @import au début de votre fichier CSS

Cette dernière option est idéale pour charger des typographies ou des éléments de petite taille. En revanche, cela demande bien plus de temps au navigateur pour aller chercher les feuilles de styles supplémentaires.

Privilégiez donc la balise <link> dans votre fichier HTML pour charger vos fichiers CSS.

Le saviez-vous ?
Lorsque vous ajoutez plusieurs fichiers CSS, tenez compte de l’ordre dans lequel vous les chargez.

Ajoutez d’abord le fichier CSS le plus générique, puis allez vers le plus spécifique. En effet, les styles des derniers fichiers remplacent ceux des fichiers précédents.

<link rel= "stylesheet " href= " main.css ">
<link rel= "stylesheet " href= " page.css ">
<link rel= "stylesheet " href= " components.css ">

6. Minifier et compresser les fichiers CSS

Notre dernier conseil et sans doute le plus efficace : la minification et la compression de vos fichiers CSS. Cette pratique peut vous faire gagner un temps de chargement considérable.

Il existe de nombreux outils pour minifier votre code, tel que CSS Minifier.

Adoptez ces bonnes pratiques pour vos fichiers CSS pour optimiser la vitesse de votre site web.

 

3 méthodes pour sécuriser votre site staging

Un site dit « staging » est une réplique identique de votre site web : fonctionnalités, serveur, cache, bases de données, etc, tout doit être pareil. Son but ? Vous permettre d’effectuer des tests et des mises à jour avant de les passer en production et donc de les rendre visibles aux yeux de vos visiteurs.

Tout site web, quel qu’il soit, se doit d’être sécurisé. Nous avons déjà fait le point sur la sécurité des sites WordPress, mais qu’en est-il pour les sites staging ?

Dans cet article, nous allons voir les différentes méthodes pour rendre votre site staging inaccessible aux autres internautes afin que vous puissiez faire vos tests en toute sécurité.

Pourquoi sécuriser son site staging ?

Un site staging n’est accessible qu’aux membres de votre équipe, voire qu’à vous-même si vous êtes freelance. Pour autant, même si les internautes ne sont pas censés s’y rendre, il est primordial de le sécuriser.

Premièrement parce qu’il serait embarrassant que des internautes tombent sur une seconde version de votre site contenant du faux texte ou aient accès à votre nouvelle identité de marque que vous préparez en « secret ».

Et deuxièmement parce que d’un point de vue SEO, votre site staging pourrait réduire tous vos efforts en matière de référencement naturel. En tant que réplique identique, vous pourriez vous retrouver avec des problèmes de contenu dupliqué si votre site staging est indexé par les moteurs de recherche.

Pour ces deux raisons principales, vous devez vous assurer que votre site staging n’est pas indexé et qu’il n’est pas accessible aux autres internautes. Voyons à présent comment faire…

Comment sécuriser son site staging ?

Méthode 1 : L’authentification HTTP

Il s’agit de la meilleure méthode pour sécuriser votre site staging.

Cette authentification HTTP se fait généralement à l’aide d’un nom d’utilisateur et d’un mot de passe, c’est la méthode dite Basic. Dès qu’un utilisateur accède à l’url du site staging, les identifiants de connexion sont demandés.

En cas d’identifiants incorrects, l’utilisateur est redirigé sur une page d’erreur.

Attention
Pour que cette méthode soit pleinement sécurisée, il est recommandé de la mettre en place seulement si votre site staging utilise le protocole HTTPS.

L’authentification http basic est la plus efficace et aussi la plus pratique. Vous aurez en effet toujours accès aux outils Google pour tester votre site.

N’hésitez pas à faire appel à un freelance expert pour mettre en place l’identification HTTP sur votre site staging. Grâce à votre fichier .htaccess, il pourra restreindre l’accès à votre site réservé aux tests.

Méthode 2 : Le blocage du fichier robots.txt

Pour rappel, le fichier robots.txt est un fichier texte placé à la racine de votre site. Il indique aux moteurs de recherche les pages à ne pas explorer et indexer.

Afin que votre site staging ne soit pas exploré par les robots Google, il est nécessaire de leur bloquer l’accès à vos pages. Pour ce faire, renseignez le code suivant :

User-agent : *
Disallow : /

Cette deuxième méthode n’est pas la plus efficace :

  • Il n’empêche pas des personnes tierces à accéder à votre site staging
  • Google peut indexer votre site test s’il y trouve des liens : pour empêcher cela vous pouvez renseigner Noindex : / mais cette directive n’est pas toujours prise en compte
  • Il faut être prudent lors de la mise en production afin de ne pas transférer ce fichier robots.txt

Méthode 3 : Utiliser un accès VPN

Un VPN (Virtual Private Network) est, dans un bon français, un réseau virtuel privé. Il vous permet de vous connecter à un réseau local et de naviguer sur internet par le biais d’une connexion chiffrée. De cette façon, vos données sont sécurisées.

Pour sécuriser votre site staging, l’idée est de placer ce dernier sur un réseau fermé, par exemple celui de votre entreprise. Ont accès à ce dernier toutes personnes disposant d’un accès VPN.

Encore une fois, cette méthode nécessite l’intervention d’un expert. Vous pouvez déposer votre projet gratuitement sur Codeur.com pour trouver un freelance.

L’utilisation d’un accès VPN offre de nombreux avantages et semble une méthode tout aussi efficace que l’authentification HTTP. En revanche, certains outils de monitoring ne sont pas toujours accessibles.

Il existe d’autres méthodes pour sécuriser votre site staging, mais nous vous avons présenté les plus courantes, et surtout la plus efficace : l’authentification HTTP. Si possible, c’est celle-ci que vous devriez mettre en place.

 

Les 5 meilleures alternatives à GitHub pour gérer votre code

L’outil GitHub est une référence dans le domaine du développement web. Cette plateforme de gestion de code héberge des millions de projets open source dans plusieurs langages de programmation.

Les 36 millions d’utilisateurs peuvent profiter de nombreuses fonctionnalités : collaboration avec d’autres développeurs, vérification du code, création d’une documentation, suivi et gestion du projet, etc.

Si GitHub est une très bonne plateforme, sachez qu’il existe d’autres outils avec des fonctionnalités similaires vous permettant de gérer votre code. Nous faisons le point sur les alternatives à GitHub.

1. GitLab

Si vous cherchez à remplacer GitHub, GitLab est sans doute la meilleure option. Cet outil open source est utilisé par des entreprises mondialement connues telles que la NASA, Bayer, ING ou encore Sony.

En termes d’utilisation, GitLab est très proche de GitHub et vous permet de migrer facilement votre code de cette dernière plateforme.

Parmi les nombreuses fonctionnalités proposées, retenez que vous pouvez collaborer avec d’autres membres et vérifier la qualité de votre code. De nombreuses données vous sont fournies pour vous aider à mieux gérer votre projet et sécuriser votre code.

Pour débuter sur GitLab, profitez de l’abonnement gratuit. Vous pourrez ensuite passer aux abonnements payants, à partir de 4$ par mois et par utilisateur, pour accéder à des fonctionnalités supplémentaires.

2. BitBucket

Sur BitBucket, vous apprécierez l’interface intuitive et le dépôt de référentiels privés illimités et gratuits. La possibilité de donner des permissions aux utilisateurs s’ajoute aux demandes d’extraction et de révision du code.

Cette application de gestion de code source peut être une bonne alternative à GitHub pour les grandes entreprises : hébergée par Atlassian, BitBucket peut être intégré à d’autres outils de l’éditeur, notamment Jira, Bamboo et Confluence.

Si vous êtes freelance ou à la tête d’une petite entreprise rassurez-vous, BitBucket reste une très bonne alternative grâce à ses tarifs. L’outil est gratuit pour les équipes allant jusqu’à 5 personnes, au-delà l’abonnement commence à 2$ par mois et par utilisateur.

3. SourceForge

Avec ses 33 millions d’utilisateurs, SourceForge est l’outil open source de gestion de code le plus apprécié dans la communauté Linux.

Le point fort de cet outil ? La possibilité de créer en illimité des projets open source, et ce gratuitement.

D’autres fonctionnalités sont à découvrir. Vous pouvez fusionner des requêtes d’extraction et profiter d’un répertoire de code intégré. Des données statistiques vous sont communiquées sur les systèmes d’exploitation et les emplacements des personnes ayant téléchargé votre code.

Si vous souhaitez utiliser SourceForge en guise d’alternative à GitHub, vous pouvez facilement importer votre code grâce à GitHub Importer.

4. Cloud Source

Hé oui, Google a lui aussi son propre gestionnaire de code. Compatible avec GitHub et BitBucket, vous pouvez dupliquer votre code sur Cloud Source pour bénéficier des fonctionnalités proposées.

L’avantage de cet outil est la possibilité de profiter des autres outils de GCP (Google Cloud Platform) comme Google App Engine. Grâce à Cloud Source, vous pouvez aussi effectuer une recherche rapide de code via le navigateur source.

De nombreuses autres fonctionnalités sont à découvrir. Utilisez Cloud Source gratuitement dans la limite de 50 Go de stockage et 5 utilisateurs. Il faudra ensuite compter 1 $ par utilisateur et par mois.

5. AWS CodeCommit

Comme Google, Amazon possède sa propre solution pour héberger des référentiels Git privés. AWS CodeCommit s’avère être une bonne alternative à GitHub, surtout si vous utilisez les autres services d’Amazon Web Services.

Avec cet outil votre code est entre de bonnes mains puisqu’il est stocké dans le AWS Cloud. Grâce à AWS Identity and Access Management, vous pouvez aussi connaître qui accède à votre dépôt, et pourquoi.

AWS CodeCommit facilite la collaboration entre les utilisateurs et détient toutes les fonctionnalités que vous pouvez attendre d’une alternative à GitHub. Vous pouvez par exemple créer et fusionner des demandes d’extraction, créer des révisions de code et suivre les différents problèmes.

Dans une limite de 50 Go de stockage et de 10 000 requêtes Git par mois, AWS CodeCommit est gratuit pour les 5 premiers utilisateurs. Comptez ensuite 1 $ par mois et par utilisateur.

 

6 raisons d’utiliser le CMS WordPress

Vous souhaitez améliorer votre référencement naturel ? Générer du trafic qualifié depuis les moteurs de recherche est l’une des meilleures stratégie d’acquisition de ces dernières années.

Comme vous le savez, en SEO le contenu est roi. Le meilleur moyen de présenter ses contenus en optimisant son taux de conversion est le blog. En effet, nous sommes tous friand d’articles lors de notre cycle de décision. Surtout pour les achats complexes.

Très bien, mais quelle solution choisir pour héberger son blog ? Personnellement, je suis un grands fan de WordPress car selon moi il s’agit du meilleur CMS pour produire des contenus optimisés SEO. Je vous explique pourquoi en détails !

1. Les URLs

L’optimisation des URLs est très importante. Dans l’idéal, il faudrait que l’URL d’une page ou d’un article contienne le mot clé principal. Dans l’idéal également, l’URL devrait être courte.

Bonne nouvelle, WordPress propose de configurer ce qu’on appelle les “permaliens”, en somme, les URLs des pages et articles.

Il suffit d’aller dans Réglages -> Permaliens et de cocher la case “Nom de l’article” :

Par défaut, l’URL prendra le titre de la page ou de l’articles. Si le titre de mon article est “Comment développer son trafic grâce au SEO ?”, l’URL de mon article sera : monsite.com/comment-developper-son-trafic-grace-au-seo.

Trop long peut-être ? Très bien, dans chaque article, WordPress permet de modifier l’URL :

Soit directement en cliquant sur le titre de son article, soit à droite dans l’onglet “Permalink”. Je pourrais par exemple remplacer l’URL :

monsite.com/comment-developper-son-trafic-grace-au-seo

par :

monsite.com/developper-trafic-seo

Plus court, optimisé SEO, c’est parfait !

2. Le responsive design

Vous le savez, pour Google il est indispensable qu’un site propose une version adaptée aux grands écrans, mais aussi et surtout aux mobiles puisque le trafic web est de plus en plus mobile. Aujourd’hui, un site non responsive aura énormément de mal à bien se positionner.

Heureusement, sur WordPress, que l’on choisisse un thème gratuit ou bien un thème Premium payant, tous sont Responsive ! Faites donc attention à ne pas télécharger un thème datant d’il y a 10 ans …

La base de données officielle de thèmes gratuits WordPress regorge de thèmes Responsive et de qualité. Pour vérifier si un thème est responsive, vous pouvez le tester avec l’outil de test d’optimisation mobile de Google.

3. Les images

Les images … l’ennemi du SEO. On veut souvent mettre plein de belles images partout pour rendre son site plus beau. Seulement, chaque image devra être téléchargée par les visiteurs et cela peut parfois prendre pas mal de temps, surtout si les visiteurs n’ont pas la fibre optique.

La première solution sera de se calmer un peu sur les images : inutile d’uploader des images en 5000*5000px en super HD pour les afficher en 300px de large.

Ensuite, il sera bon de :

  • Renseigner une balise alternative (alt) sur chaque image
  • Compresser l’image

Pour la balise alt, WordPress le propose nativement ! Chaque fois que vous chargez une image, sans son édition, vous pouvez renseigner une balise alt qui contiendra si possible votre mot clé SEO et décrira l’image :

Pour la compression, ce n’est pas natif mais il existe des plugins gratuits à installer sur son WordPress qui vont compresser automatiquement vos images, réduisant ainsi leur taille sans pour autant nuire à la qualité.

Je recommande le plugin Smush Image Compression and Optimization.

4. La vitesse

La vitesse devient un critère de plus en plus important pour Google. En effet, comme je le disais le trafic étant de plus en plus mobile, les pages doivent s’afficher rapidement à l’internaute, qu’il ait la fibre optique ou bien qu’il soit perdu au fin fond de la Charentes avec une petite 3G.

En réduisant vos images, vous allez déjà accélérer la vitesse de chargement de votre site, mais d’autres optimisations peuvent vous permettre d’aller plus loin.

Il existe des plugins de cache gratuits qui vont permettre de mettre en cache vos pages WordPress directement sur votre serveur, mais également d’activer la mise en cache navigateur chez vos internautes.

Je recommanderais le plugin gratuit W3 Total Cache.

Des plugins payants peuvent permettre d’aller plus loin, en activant par exemple le Lazy Loading (les images ne se chargent qu’au moment où l’internaute arrive devant), la minification des fichiers CSS et JS (réduction du nombre de lignes de codes donc optimisation du chargement), nettoyage de la base de données, configuration d’un CDN (pour les sites internationaux).

Je recommande personnellement WP Rocket qui est français et qui coûte 49$ / an.

5. La balises meta

Indispensables à un bon référencement naturel, les balises meta description et Title sont stratégiques. Chacune de vos pages et chacun de vos articles doit présenter une balise Title et une balise meta-description optimisée (contenant un mot clé) et être unique.

Sur WordPress, nativement, la balise Title sera le titre de votre page ou de votre article, ce qui est mieux que rien, mais pas totalement optimisé. La description sera choisie par Google lui même, en fonction du contenu de votre page.

Tout ceci n’est pas optimal, mais heureusement il existe des plugins vous permettant de personnaliser vos balises.

Notamment, le très connu Yoast SEO. Il s’agit d’un plugin français et surtout gratuit ! Il vous permettra d’optimiser vos Title et meta description, mais vous permettra également d’activer d’autres optimisations, il s’agit d’un incontournable.

Comme vous pouvez le voir, la configuration de vos balises se fait très facilement. Yoast vous aide à respecter les règles de Google et vous donne un aperçue de la SERP (page des résultats de recherche) finale.

6. Le cocon sémantique

Rien de tel pour générer du trafic grâce au SEO qu’une architecture de sites en silos !

Qu’est-ce qu’une architecture en silos ?
Pour ceux qui ne le savent pas, la technique de Cocon Sémantique de Laurent Bourrelly consiste à structurer son site en plusieurs silos représentant chacun une thématique, contenant plusieurs niveaux de pages / articles se faisant des liens entre elles mais jamais entre les différents silos.

WordPress permet justement de créer une telle architecture très simplement, soit via la gestion des pages parents / enfants soit via les catégories d’article (pour un format blog). Il suffit ensuite de bien paramétrer ses menus et de gérer correctement le linking interne pour créer facilement son cocon sémantique.

Voici un cocon sémantique réalisé sur WordPress par l’agence Cocon.se :

Web design : comment choisir les couleurs de votre interface ?

La conception de l’expérience utilisateur, sur votre site Web, implique de nombreux processus réalisés de manière réfléchie.

Parmi les procédés qui nécessitent une véritable stratégie, citons le choix de la couleur. Contre toute attente, c’est l’une des étapes webdesign qui prend le plus de temps et d’énergie. Les concepteurs peuvent parfois passer des heures à choisir la bonne palette de teintes… Surtout qu’elles ont une incidence prépondérante sur le ressenti des internautes.

Dans cet article, découvrez comment choisir les couleurs de votre interface pour un webdesign professionnel et cohérent avec votre marque !

Apprenez la règle 60-30-10

Cette règle, ou technique, provient du domaine de l’architecture d’intérieur, elle est donc souvent appliquée pour la décoration d’une maison.

L’idée est simple : pour apporter l’équilibre dans la composition, les couleurs doivent être combinées selon une proportion de 60 % – 30 % -10 %. La plus grande part va à la teinte dominante, le tiers prend la couleur secondaire et les 10 % restants sont utiles pour une couleur d’accentuation. Cette dernière habille souvent vos call-to-action ou les liens importants.

 

Une telle proportion est considérée comme agréable pour les yeux humains, car elle permet de percevoir progressivement tous les éléments visuels. Connaître les proportions appropriées permet aux concepteurs de combiner avec succès les couleurs sans risquer de transformer l’interface utilisateur en un désordre multicolore.

Le contraste est votre ami

Le contraste des couleurs est un élément clé de toute composition visuelle. Il souligne l’individualité de chaque élément du webdesign et les rend davantage perceptibles. Les interfaces utilisateur ne contenant que des nuances de la même famille de couleurs ont moins de chances d’attirer l’attention des internautes.

Les concepteurs contrôlent le niveau de contraste en fonction des objectifs qu’ils sont censés atteindre.

Par exemple, si vous souhaitez que les visiteurs prêtent une attention particulière à un élément spécifique du site, il est conseillé d’appliquer deux couleurs très contrastées comme le bleu et le rouge. Un contraste élevé est souvent utilisé pour la conception des call-to-action.

 

Cependant, si les couleurs de fond sont trop contrastées, il sera difficile de lire ou de scanner le texte. C’est pourquoi il est recommandé aux designers de créer un léger niveau de contraste et d’appliquer des teintes vraiment différentes uniquement pour mettre en valeur des éléments clés, de petite ou moyenne taille.

Tenez compte de la psychologie des couleurs

Il existe une branche de la psychologie qui montre l’influence des couleurs sur l’humeur et le comportemnt humain. Cette science affirme que notre esprit réagit aux couleurs, même si, consciemment, nous ne le remarquons pas.

Lorsque les yeux humains perçoivent un coloris, notre cerveau donne des signaux au système endocrinien en libérant des hormones responsables de l’humeur et des émotions. Chaque couleur a sa propre influence sur notre esprit et la connaissance des réactions possibles peut aider les concepteurs à passer le bon message et à appeler les utilisateurs à faire l’action attendue.

Ce qui nous amène au point suivant…

Choisir la bonne couleur

Pour la bonne audience

Les femmes sont attirées par le bleu ciel, le bleu roi et le vert. Les hommes sont plus réceptifs au bleu ciel, au vert et au noir.

Les couleurs vives comme le rouge, le vert et le jaune sont très utiles pour capter l’attention des enfants.

Pour le bon type de produit

Dans le monde de la restauration, le marron est la couleur prédominante pour évoquer le goût, la dégustation. Le vert est la couleur du bio, du naturel.

 

Dans le secteur de la sécurité, la couleur bleue est prédominante, car elle rassure et inspire la confiance.

Pour le bon message

Le noir est la couleur du luxe, utilisée pour la promotion des articles de grande marque.

Pour les call-to-action, les couleurs vives sont de mise : jaune, rouge, vert.

Pour créer un climat de confiance et de bien-être, utilisez la couleur bleue. Vous voulez véhiculer un message de performance, de dynamisme ? Optez pour le rouge ou l’orange.

 

Le succès de votre site internet dépend largement des couleurs choisies pour son interface utilisateur. Les coloris adaptés aident les utilisateurs à se sentir à l’aise avec un produit.

Faites vos choix judicieusement en fonction de votre cible, de votre activité et des valeurs que vous voulez transmettre !

Comment résoudre les erreurs HTTP les plus fréquentes ?

Qui ne sait jamais retrouvé devant une page erreur 500 les yeux écarquillés sans comprendre pourquoi… ?

Effectivement, dans un monde parfait, ces erreurs pourraient être évitées. Encore faut-il comprendre leur provenance et savoir résoudre le problème.

Analysons ensemble les principales erreurs HTTP.

Sommaire :

  • D’où provient une erreur HTTP et comment s’affiche t-elle ?
  • HTTP 404 : File Not Found / Introuvable
  • HTTP 400 : Bad Request / Requête incorrecte
  • HTTP 401 : Unauthorized / Non autorisé
  • HTTP 403 : Forbidden / Interdit
  • HTTP 500 : Internal Server Error / Erreur Interne du serveur
  • HTTP 502 et 503 : Bad Gateway, Service Unvailable / Passerelle incorrecte, Service indisponible
  • HTTP 504 : Gateway Time-out / Temps d’attente expiré
  • HTTP 505 : Version not supported / Version non prise en charge

D’où provient une erreur HTTP et comment s’affiche t-elle ?

Avant toute chose, il faut comprendre que ces erreurs sont une réponse de votre serveur web au navigateur de l’internaute, lorsqu’un problème d’affichage de page survient.

C’est la raison pour laquelle, les erreurs HTTP appartiennent à la catégorie des 400 (accès refusé) et 500 (erreur serveur). Pour schématiser :

  • Les 400 sont des erreurs côté client (le navigateur)
  • Les 500 sont des erreurs côté serveur

La réponse peut alors se matérialiser de deux manières :

  • Soit vous avez personnalisé la page web d’erreur. Alors un message explicatif s’affiche à l’internaute dans une page stylisée de votre site où vous expliquez : « Oups, quelque chose se passe mal, la page n’existe pas, site en maintenance, etc. »
  • Si aucune page n’est personnalisée, le navigateur affichera une page de texte « brute » avec le code et l’intitulé de l’erreur.

HTTP 404 : File Not Found / Introuvable

Le message

On commence par le best-seller des erreurs ! La page web n’est pas trouvée ou n’existe pas.

Erreur 404

Exemple d’une erreur 404 sur Zalando

Causes

Si cette page n’est pas trouvée par le serveur, c’est certainement que son adresse URL a été supprimée, modifiée ou mal orthographiée.

Comment résoudre ?

Vérifiez qu’il ne s’agisse pas d’une faute de frappe. Si l’adresse entrée est correcte, alors il faut regarder dans le code si celle renseignée ne contient pas d’erreur ou si la page n’a pas été supprimée à tort.

HTTP 400 : Bad Request / Requête incorrecte

Le message

Il signifie que la requête tapée par l’internaute n’est pas valide.

Causes

L’URL doit certainement contenir un caractère spécial ou une faute de frappe.

Comment résoudre ?

Le problème se résout facilement en vérifiant l’URL et en ré-essayant.

HTTP 401 : Unauthorized / Non autorisé

Le message

Il indique que la connexion au serveur n’a pas pu s’effectuer à cause d’informations d’identification utilisateur invalides.

Causes

Cette erreur peut survenir au lancement d’un site si l’authentification HTTP de base n’a pas encore eu lieu. Ou bien si les identifiants fournis sont erronés.

Comment résoudre ?

Demandez les identifiants à l’administrateur du site pour les saisir correctement.

HTTP 403 : Forbidden / Interdit

Le message

Ici c’est carrément le cas où l’accès à la page demandée est interdit.

Causes

Le serveur a bien compris la requête et a réussi l’authentification mais il détecte que la page n’est pas prévue pour un affichage au public par exemple.

Comment résoudre ?

Si vous êtes l’administrateur du site et que la page est destinée au public, regardez s’il n’y a pas un problème de script ou bien changer les permissions d’accès aux fichiers en question.

HTTP 500 : Internal Server Error / Erreur Interne du serveur

Le message

Erreur fréquente, l’HTTP 500 concerne le serveur du site web.

Causes

Ce dernier a dû rencontrer un problème inattendu. C’est le message d’erreur le plus vague car le serveur ne peut justement pas analyser ce qui l’a fait « planté ».

Comment résoudre ?

Ce problème arrive souvent lors des phases de développement, en cas de maintenance du site ou si vos serveurs sont « tombés ». Lorsque l’administrateur aura terminé les changements, l’erreur devrait disparaître.

HTTP 502 et 503 : Bad Gateway, Service Unvailable / Passerelle incorrecte, Service indisponible

Le message

Ces erreurs surviennent lorsque plusieurs serveurs sont utilisés et annoncent que les liens entre eux n’ont pas pu avoir lieu.

Causes

Ces deux erreurs sont souvent dues à des surcharges des serveurs ou un problème de réseau.

Comment résoudre ?

Contextuelles, elles peuvent se résoudre en rechargeant tout simplement la page ou en revenant plus tard sur le site.

Pour l’erreur 503, il faudra vérifier que la formule d’hébergement suffit par rapport au nombre de connexions simultanées sur le site et augmenter sa capacité si besoin.

HTTP 504 : Gateway Time-out / Temps d’attente expiré

Le message

Cette explication concerne le temps de communication entre deux serveurs.

Causes

Lorsque plusieurs serveurs sont utilisés pour accéder à la page, si le serveur de destination ne répond pas, alors l’erreur survient.

Comment résoudre ?

S’assurer d’avoir une bonne connexion internet et rafraîchir la page (Ctrl + F5) pour relancer la passerelle entre les deux serveurs.

HTTP 505 : Version not supported / Version non prise en charge

Le message

Le message annonce que serveur Web ne prend pas en charge la version du protocole HTTP utilisée par votre navigateur.

Causes

La version de votre navigateur est obsolète.

Comment résoudre ?

Mettre à jour le navigateur.

 

Chaque erreur trouve une explication plus ou moins logique. Soyez vigilant lors des maintenances de votre site web ou de votre serveur pour éviter qu’elles se multiplient. Une passe sur votre sitemap pourra vous aider à identifier les pages en erreur.

Les 5 meilleurs logiciels de base de données

Commençons par le commencement : une base de données est un système qui stocke vos informations et vos contenus. Ce qui implique les catalogues de produits et les référentiels de vos clients. Elle est capable de créer et de modifier l’accès aux données qui y sont stockées.

Avec un logiciel de base de données, comprendre et utiliser les informations devient plus facile. Il permet l’organisation de l’information et la liaison des données entre elles, tout en fournissant des rapports sur leurs changements et les tendances. Votre base de données vous aide alors à piloter vos stratégies marketing et commerciales.

Pour vous permettre de créer une base de données ordonnée et performante, on vous propose le top 5 des meilleurs logiciels du marché !

. MySQL

Véritable référence, MySQL est de loin le plus populaire des logiciels de base de données pour applications web. Bien qu’il soit gratuit, il est régulièrement mis à jour avec de nouvelles fonctionnalités et des améliorations de sécurité.

Pour une utilisation commerciale, optez pour la version payante de MySQL qui offre encore plus de fonctions. Le seul bémol, le freeware est plus rapide et plus robuste que la version payante.

L’interface facile à utiliser et les commandes par lots vous permettent de traiter d’énormes quantités de données

MySQL offre également une large gamme d’interfaces utilisateur et son prix est plutôt abordable. Il s’intègre facilement à d’autres logiciels de base de données.

2. PostgreSQL

C’est « l’ancêtre » des logiciels de base de données. PostgreSQL est un vrai passe-partout, compatible avec des plateformes comme Linux, et peut être hébergé sur les environnements virtuel, physique et aussi dans le cloud.

Même s’il peut être difficile à configurer, PostgreSQL vient avec des fonctions prédéfinies pouvant traiter des téraoctets de données, de manière simplifiée.

Autre point important : sa dernière version a connu une augmentation du nombre d’utilisateurs, car la partie sécurité a été largement améliorée grâce à un profil de mots de passe étendu.

3. SAP HANA

Si vous voulez extraire des données stockées dans vos applications, SAP HANAest votre meilleur choix.

Même s’il est le « petit nouveau » des logiciels de base de données, il possède déjà de grandes capacités. Il peut traiter des données SAP et non SAP et facilite la sauvegarde des données.

Avec cet outil, vous pouvez récupérer des données à partir d’applications et d’autres sources qu’elles soient physiques ou dans le cloud. Il allie des fonctionnalités de BDD, mais aussi des options d’analytique avancée, de management des informations d’entreprise et un serveur d’applications bien fourni.

Parmi les avantages du logiciel SAP HANA, on peut citer la compression qui réduit les besoins en ressources, la capacité de gérer les stocks et de produire des rapports en temps réel. Toutes ces fonctions s’exécutent dans la mémoire vive, au sein d’une seule plateforme.

4. Mongo DB

Mongo DB est disponible en versions gratuite et payante. Ce logiciel peut utiliser des données structurées et non structurées. À noter qu’il est adaptable, flexible, rapide, facile et simple à utiliser, même pour les débutants. Par ailleurs, il offre un ensemble complet de pilotes sophistiqués.

Contrairement à d’autres logiciels de base de données, il est capable de fonctionner dans les situations de traitement de données variables non relationnelles. Mongo DB offre des fonctions de recherche improvisée et intègre facilement des documents NoSQL.

5. Microsoft SQL Server

Grand classique dans l’univers des logiciels de base de données, Microsoft SQL Server, il fonctionne aussi bien sur les serveurs locaux que ceux basés dans le cloud. D’ailleurs, il peut être configuré sur les deux types de serveurs simultanément.

Disponible sur Linux et sur Windows, sa prise en charge des données temporelles est l’une des plus belles fonctionnalités de sa dernière mise à jour. Cela facilite le suivi des modifications des données que vous aurez à effectuer.

Autre fonctionnalité intéressante : Microsoft SQL Server offre une protection des données dynamiques, avec un accès unique pour les personnes autorisées aux données sensibles.

Vous connaissez d’autres outils de gestion de base de données ? Présentez-les en commentaire !

8 outils à ne pas manquer pour tester les performances de votre site

On apporte souvent beaucoup de soin au design et à l’ergonomie d’un site web (à juste titre), mais les performances sont parfois laissées de côté.

Pourtant, les facteurs de performance comme la vitesse ou le poids d’une page web sont cruciaux : ils influencent le référencement naturel, le taux de rebond, le taux de conversion et ont même un impact sur l’emprunte carbone d’Internet.

C’est pourquoi il est essentiel de tester les performances de son site et d’identifier ses points d’amélioration.

1. appYuserSponsorisé

appYuser est une solution unique en son genre qui vous permet d’évaluer le ressenti réel des internautes vis-à-vis des performances de votre site web. Ce ressenti est calculé grâce à la norme appYdex qui tient compte du début et de la fin d’affichage de vos pages.

Les performances web sont évaluées pour tous les contextes et usages de vos internautes (OS, navigateur, mobile, appareil, région…). Ici pas de robots ni de sondes, ce sont les accès réels de vos utilisateurs qui sont analysés.

Grâce à appYuser, vous pouvez identifier rapidement des axes d’amélioration pour votre site (hébergeur, CMS, bonnes pratiques HTML, contenus..) et prioriser ces dernières en fonction de l’impact sur le ressenti utilisateur et des gains estimés sur le taux de conversion.

Cette solution s’adresse aux responsables de services web et experts techniques qui se soucient du ressenti utilisateur.

2. PageSpeed Insights

PageSpeed Insights est un outil de Google permettant d’analyser la vitesse d’une page web sur le web et sur mobile.

En plus d’attribuer un score à la vitesse de votre page, l’outil liste les différents points à améliorer et les classes par ordre de priorité.

PageSpeed Insights vous donne même des explications détaillées pour régler les problèmes qui nuisent à la vitesse de la page.

3. GTmetrix

GTmetrix est une autre solution très pratique pour analyser la vitesse de votre site.

Il est particulièrement pratique puisqu’il affiche à la fois les résultats de Pagespeed et de Yslow, deux outils de mesure reconnus.

Cela vous permet de comparer différents avis sur les performances de votre site et d’avoir de nombreux conseils pour l’optimiser.

GTMetrix permet également de comparer les performances et la vitesse de deux pages web.

4. Uptrends

Si Uptrends est un outil de test de vitesse assez commun, il a l’avantage d’offrir de nombreuses localisations de test.

Pour clarifier, l’endroit depuis lequel quelqu’un visite votre site a un impact sur la vitesse de ce dernier.

En effet, si le serveur principal qui héberge votre site se trouve à Paris, le chargement sera beaucoup plus long pour un visiteur situé en Chine que pour un autre situé à Lyon.

Avec Uptrends, vous êtes sûr de pouvoir mesurer la vitesse de votre site depuis une ville proche de votre serveur (en France, vous avez le choix entre Paris et Lille). Résultat : une analyse plus fiable et fidèle, ce que tous les outils de ce genre ne permettent pas.

. Browser Calories

Browser Calories est une extension pour navigateurs (disponible pour Chrome, Firefox et Opera) qui, au lieu de mesurer la vitesse d’une page web, se focalise sur son poids.

En effet, le poids d’une page web a un impact important (et parfois sous-estimé) sur son référencement et son taux de conversion.

D’où l’intérêt de cet outil très simple. Une fois installé, une icône en forme de donut s’affiche près de la barre d’adresse : un clic suffit pour analyser la page sur laquelle vous vous trouvez.

Son poids est alors comparé avec le poids moyen de 100 sites de référence et vous avez immédiatement une idée fiable de la performance de votre page.

6. Pagelocity

 

Pagelocity a une approche assez unique puisque cet outil analyse votre pages web en s’intéressant à 3 pôles :

  • La SEO on-page : URL ou titre trop long, taille du texte excessive… Autant d’informations pertinentes que Pagelocity peut pointer du doigt pour vous permettre d’améliorer le référencement naturel de votre site ;
  • La performance : cette partie s’intéresse notamment à la taille des images et des scripts et, bien entendu, à la vitesse ;
  • Le code : un peu plus technique, ce pôle analyse entre autre vos classes et Id CSS ainsi que les balises méta.

7. Yellow Lab

Yellow Lab est un autre outil très complet, bien qu’un peu plus technique que les précédents, pour analyser les performances de votre site web.

Son analyse, qui porte sur 11 catégories différentes, est très vaste : du poids de la page au Javascript, en passant par la complexité du CSS, c’est une vraie mine d’informations.

8. Test d’optimisation mobile Google

Cet outil d’optimisation signé Google se focalise sur les performances et la lisibilité de votre site sur mobile ; chose que vous ne devez surtout pas négliger : rappelons que 24 % des internautes achètent sur mobile.

Il suffit d’entrer une URL dans la barre de saisie pour que l’outil vous indique si la page est « mobile-friendly ».

Avec ces 8 outils, vous pourrez vous faire une bonne idée des performances de votre site web et mieux comprendre les problèmes qu’il rencontre.

Pour optimiser les performances de votre site (vitesse, référencement, poids…), vous pouvez aussi faire appel à un webmaster  sur duoexpertise.com.