Référencement naturel et web marketing : les méthodes

SEOLa conception de votre site est terminée, arrive donc le moment tant attendu de le faire connaître. Et oui, à quoi ça sert d’avoir une jolie vitrine si personne ne la voit? Désormais, être vu et bien positionné sur les moteurs de recherche devient votre objectif numéro un. C’est ici que se pose la question du référencement naturel.

La mise en place d’une stratégie Marketing sur internet fait appel à tout un panel de compétences propres au Web dont il faut connaître certaines applications ou du moins, leur fonctionnement. Il faut bien avouer que le plus compliqué dans tout ça est de pouvoir s’y retrouver. Faisons un petit tour d’horizon de ces techniques.

Référencement naturel : Les méthodes SEO, SMO et SEA


Des abréviations qui ont une apparence insignifiante mais qui possèdent des effets significatifs.

Référencement naturel, être bien positionné pour être vu : essentiel!

webmarketing

Le SEO (Search engine optimization) signifie  littéralement « optimisation pour les moteurs de recherche ».

Cette méthode est sans conteste la plus connue des actions du Webmarketing. Le SEO vise l’amélioration du positionnement sur les moteurs de recherche grâce au  « référencement  naturel ».

Concrètement, l’objectif des actions Marketing que regroupe le SEO est d’augmenter, par diverses techniques, la visibilité d’un site et par conséquent la fréquence de ses visites.

  • L’une des techniques d’optimisation du référencment naturel consiste à inclure certains mots-clés en cohérence avec la thématique dans les balises HTML stratégiques. Ce procédé a pour but d’orienter les requêtes des internautes contenant les dits mots-clés vers les pages correspondant à ces derniers.
  • Une autre technique pour améliorer votre référencement naturel consiste à placer des liens de retour (backlinks), sur des sites populaires ayant une thématique semblable ou voisine, un procédé applicable également sur les forums. L’important étant d’apporter des commentaires pertinents dans lesquels sera placé le backlink. Ce supplément d’information incitera les internautes à cliquer sur votre lien afin de découvrir le contenu que vous proposez.
  • Le SEO est un travail de longue haleine qui apporte des résultats à moyen terme ou long terme, mais qui assure un bon positionnement.
  • La méthode nécessite quelques connaissances techniques pour la conception du site dont la structure doit être au service de son application. Une veille doit également être mise en place pour observer l’évolution des critères des moteurs de recherche, par exemple sur veille-seo.com.

Les résultats significatifs du SEO ou référencement naturel se traduisent par un positionnement des pages d’un site dans les premiers résultats de recherche des moteurs.

réseaux sociaux

Le SMO : optimiser les réseaux sociaux


SMO (Social media optimization) est l’utilisation stratégique des réseaux sociaux. Ce procédé faisant partie des techniques de SEO possède plusieurs visées:

  • l’une d’elle consiste à favoriser le référencement naturel (SEO) grâce à la popularité d’un article,
  • un second objectif  est de diriger votre réseau social ciblé vers du contenu Web. La publication de vidéos sur les plateformes de partages comme Youtube est également comprise dans cette méthode.

Le SMO est une méthode très intéressante qui a fait apparaître de nouvelles compétences dans le domaine du Webmarketing, il convient néanmoins d’être organisé voir d’automatiser certaines tâches tellement cela peut prendre du temps.


Vous l’aurez compris, toutes ces méthodes sont intéressantes à considérer dans l’élaboration d’une stratégie de communication. A chacun de voir lesquelles seront à privilégier selon son activité et son budget.

Il faudra travailler régulièrement sur le SEO car cette méthode met l’accent sur le contenu et la visibilité sur le long terme. Pensez également à Utiliser des outils qui permette de choisir les mots-clés les efficaces pour votre référenemcement naturel.

Un positionnement efficace et durable dans les résultats de recherche des moteurs est indispensable à toute entreprise qui souhaite se faire connaître.

Les 04 étapes clés de l’archivage

Tout commence par une prise de conscience que la gestion d’archives est non seulement chronophage, mais qu’elle exige une rigueur et un professionnalisme, mieux, une méthode éprouvée, que la plupart des entreprises n’ont mis en place en interne ou n’ont pas les moyens de mettre en place. C’est à ce moment que l’entreprise va rechercher un spécialiste de l’archivage. On entre alors dans un process qui va se déployer en 4 étapes clés correspondant au cycle de vie d’une archive.

Quatre étapes constituent la gestion des documents d’archive de leur émission à leur destruction :

  1. Identification et authentification
  2. Stockage
  3. Conservation et consultation
  4. Destruction ou classement final

1 – Identification et authentification des archives

Tout document produit au sein d’une entreprise est destiné à être archivé une fois sa fonction première remplie. Il est pour cela identifié pour en déterminer l’authenticité et les conditions de conservation optimales.

2 – Stockage des documents archivés

Stockage et conservation des archivesLes archives stockées au sein des entreprises sont la plupart du temps entreposées dans des conditions bien loin d’être optimales. Un professionnel de l’archivage optera quant à lui pour une organisation stricte afin de retrouver rapidement et simplement le document désiré. Le conditionnement des archives, les armoires de stockage, bacs, racks, palettes et autres containers sont parfaitement structurés et stockés dans des conditions optimales en termes de luminosité, de protection incendie, contre la poussière, les nuisibles, etc.

3 – Conservation et consultation des archives

Les professionnels de l’archivage sont soumis à une obligation de résultats quant à la sécurité des documents archivés. Outre la qualité des locaux évoquée précédemment, une gestion des archives de qualité est mise en place afin d’être certain de n’égarer aucun document. La consultation est également une partie essentielle de cette composante sécuritaire. Les sociétés d’archivage mettent en place (avec l’aide de leur client) un système de droits et d’autorisations. Ainsi, toute personne souhaitant consulter des archives doit y être autorisée et s’inscrire sur un registre. A noter qu’il existe des droits partiels limitant l’accès à certains types de documents.

4 – Destruction ou classement final des documents archivés

Classement final des documents archivésLa conservation des documents n’est pas une simple option pour les entreprises. Ces dernières ont l’obligation de conserver leurs archives pour une durée déterminée (2, 5, 10 ans voire à vie) en fonction du type de document et de son importance. Plus qu’une contrainte, cette obligation tend à protéger l’entreprise en lui permettant de présenter un document faisant valoir ses droits lors d’un contrôle de l’administration ou d’un procès avec un client, un fournisseur ou sous-traitant.

Le classement final d’une archive ou sa destruction une fois cette période écoulée est gérée par le département des archives (après consultation du client).

SEO: Bien référencer ses images?

Le visuel est au centre de votre stratégie de contenu  ! Très impactant et facilement consultable sur mobile, il est un élément clé de votre communication digitale, mais aussi un excellent atout pour votre référencement. En effet, optimisées aux endroits stratégiques, vos images deviennent un levier important pour générer plus de trafic vers votre site et monter dans les résultats.

Comment bien référencer ses images dans Google ?

Comme dirait le proverbe “une image vaut mille mots”. Imaginez-vous un site web sans photos ni images ? Uniquement du texte … Pour éviter l’indigestion, il est donc primordial de considérer l’image comme un élément clé de votre site internet. Cependant, sur le web une image sans texte ne vaut rien pour les moteurs de recherche. En effet, Google n’est pas encore capable d’interpréter un contenu visuel seul. Pour Google, une image sans texte équivaut à un contenu fantôme … Les images sont affichées sous formes de vignettes, chaque vignette affichée correspond à une image en ligne sur une page web. Un lien hypertexte relie l’image affichée sur Google Images à l’image hébergée sur une page web.

techniques pour optimiser ses images pour le SEO

 Le nom du fichier

On y pense peu souvent et c’est bien dommage, mais le nom de votre fichier joue un rôle sur votre référencement dans Google Images. Nommez-le avec les mots-clés en rapport avec votre contenu. Utilisez également des tirets pour séparer les mots, cela va favoriser une bonne visibilité de votre fichier image.

L’attribut alt

Souvent sous-estimée, la balise « Alt » reste un élément important pour l’optimisation de votre image. En effet, cette balise est très utile pour fournir une description du contenu de votre visuel aux moteurs de recherche.

Cet attribut devra comprendre une petite phrase descriptive qui contient vos mots-clés. C’est l’endroit parfait pour travailler vos expressions de longue traîne

La légende de l’image

Ajoutez une petite description en guise de légende pour apporter un commentaire supplémentaire aux internautes. Elle doit être succincte, mais servir aussi bien d’explication auprès du lecteur, qu’auprès de Google. Insérez vos mots-clés de manière naturelle, pour que la lecture de ces quelques lignes reste fluide.

. La légende de l’image

Ajoutez une petite description en guise de légende pour apporter un commentaire supplémentaire aux internautes. Elle doit être succincte, mais servir aussi bien d’explication auprès du lecteur, qu’auprès de Google. Insérez vos mots-clés de manière naturelle, pour que la lecture de ces quelques lignes reste fluide.

4. Le titre

Pour aider les autres utilisateurs à retrouver facilement votre image, il faudra choisir un titre clair, court et descriptif. Sachez que le titre est souvent la phrase contenue dans la petite bulle qui s’affiche lorsque vous placez le curseur sur une image.

Par conséquent, le titre de votre photo devra être utile et informatif, tout en contenant au moins un mot-clé.

5. Le sitemap des images

Vous avez certainement un sitemap sur votre site internet. Celui-ci permet de fournir des informations précieuses sur l’arborescence de votre site à Google. Il est possible d’ajouter également vos images à ce document stratégique pour votre référencement.

Grâce à ce fichier XML, les moteurs de recherche pourront être renseignés sur le nom de votre image, sa balise « Alt », sa place sur le serveur, etc. Cela va permettre une meilleure indexation de vos images et leur prise en compte dans le référencement global de votre site.

Pour savoir comment intégrer les images à votre sitemap, nous vous invitons à prendre connaissance de la procédure officielle mise en place par Google.

6. Le format des images

Le format de votre image doit être bien choisi pour faciliter son affichage ! Si vous téléchargez un visuel beaucoup trop lourd, il va mettre du temps à s’afficher et va avoir l’effet inverse de celui escompté : il va pénaliser votre référencement. Google prend en compte la vitesse de chargement de votre site pour vous positionner dans les résultats, alors faites léger !

Le format JPEG est fortement conseillé pour sa taille équilibrée. Par ailleurs, une résolution de 72 ppp est suffisante pour un affichage web. Prenez bien soin de réduire les fichiers que vous mettez en ligne. N’hésitez pas à utiliser des outils en ligne comme Shrink Pictures, DrPic, Resize.it.

Marketing digital: Nouvelle tendances à connaître

Cette article  met en avant les nouvelles technologies et les plateformes qui auront une influence sur le comportement des consommateurs et les stratégies marketing des entreprises.

Voici quelques tendances majeures du marketing digital

L’optimisation des taux de conversion

Processus consistant à augmenter le pourcentage de visiteurs sur un site web se transformant en clients, l’optimisation des taux de conversion (CRO) prendra une place encore plus prépondérante au sein des stratégies marketing élaborées par les entreprises l’an prochain. Le CRO est souvent lié à l’expérience de l’utilisateur sur un site web, à laquelle Google accorde une importance capitale dans son référencement.

La publicité «darwinienne»

Cette tendance repose sur l’utilisation d’algorithmes d’intelligence artificielle dans la publicité numérique. Google AdWords utilise ainsi un algorithme mathématique qui associe la requête de recherche d’un utilisateur avec des mots-clés d’un annonceur afin d’attribuer un «score de qualité» à l’annonce.

Au fil des recherches des internautes, l’algorithme rassemble les informations provenant de plusieurs sources différentes pour proposer à l’utilisateur une annonce sur laquelle il est le plus susceptible de cliquer. Pour sortir du lot, le défi pour les entreprises est d’optimiser toutes les composantes créatives de leur site (couleurs, polices…) pour attirer le consommateur.

L’optimisation du marketing cross-device

Malgré l’utilisation croissante des smartphones, beaucoup de clients continuent de s’informer sur les produits d’une société à partir d’un ordinateur portable ou d’un PC fixe. Dans ce contexte, l’enjeu pour les entreprises sera d’utiliser les données démographiques des consommateurs et le parcours client pour optimiser l’expérience du consommateur, en fonction du lieu, du moment et de l’appareil du client.

Sur un smartphone, les consommateurs recherchent généralement des informations de localisation précise, notamment pour trouver un café proche de leur position. Cependant, certains d’entre eux collectent des informations à plusieurs reprises et sur plusieurs appareils, ce qui oblige les entreprises à avoir une approche marketing multicanal.

Facebook Live

Résultat de l’adoption généralisée des smartphones et des quantités croissantes de trafic web et vidéo, Facebook Live constitue un moyen pour les entreprises de toucher directement les consommateurs.

Simple à utiliser, cet outil de diffusion vidéo en direct permet aux sociétés, peu importe leur taille, d’accroître l’engagement des personnes qui les suivent sur Facebook.

Les applications mobiles de messagerie

A l’image de la vidéo sur les réseaux sociaux, les applications mobiles de messagerie gagnent du terrain. Ainsi, Facebook Messenger, WhatsApp, Snapchat ou encore WeChat ne cessent de gagner en popularité dans la mesure où leurs utilisateurs cherchent de nouveaux moyens pour communiquer autour d’eux en dehors des réseaux sociaux traditionnels, comme Facebook et Twitter notamment.

L’utilisation croissante des messageries mobiles fournit de nouvelles options pour les entreprises afin d’atteindre les consommateurs, malgré leurs réticences à l’égard de la publicité.

3 règles d’or pour rediger un bon contenu

Ecrire pour le web n’est pas simple mais c’est indispensable rediger  un bon contenu pour attirer, fidéliser et convertir les visiteurs de votre site. Vos textes doivent convaincre vos lecteurs, tout en étant optimisé pour les moteurs de recherche. Nous allons voir ensemble les règles d’or pour créer du contenu sur le web :

  • Déterminer une cible et adapter le fond et la forme pour cette audience
  • Écrire des titres accrocheurs
  • Faciliter la lecture sur un écran (ce n’est pas du print !)
  • Optimiser vos textes pour une lecture sur mobile
  • Écrire pour Google
  • Utiliser des bonnes techniques de relecture

 

1. Mettez-vous à la place de votre cible

Comment écrire pour le web ? Commencez par vous dire que vous n’écrivez pas pour vous mais pour vos lecteurs ! Si vous animez un blog ou créez votre site Internet, vous devez réfléchir à l’audience que vous visez. Cette audience a des attentes particulières, ses habitudes, ses envies. Adaptez les messages et le ton que vous employez dans le but de plaire à votre public.

Je vous conseille vivement d’humaniser vos textes le plus possible pour écrire pour le web. Il faut que le visiteur ait l’impression que vous lui parlez. Nous passons de plus en plus de temps face à un écran mais nous avons toujours autant besoin d’échanger avec les autres.

Demandez-vous ce que le visiteur recherche sur la page. Puis faites ressortir clairement cette information. Plus le visiteur trouvera rapidement et facilement l’information qu’il cherche, plus il y a de chances qu’il revienne plus tard sur votre site, ou le recommande.

2. Travaillez vos titres

Les titres aussi sont très importants pour écrire pour le web efficacement. Ils permettent à la fois d’accrocher le visiteur et de le guider en hiérarchisant l’information, Essentiels pour convertir ! Ils influent aussi sur votre référencement naturel (voir le dernier paragraphe).

Le lecteur doit comprendre tout de suite ce dont la page va parler. Il doit pouvoir identifier s’il est sur la bonne page et avoir envie d’en savoir plus.

Privilégiez des titres courts. Supprimez les éléments inutiles. Ni le lecteur ni les moteurs de recherche n’apprécient les fioritures dans les titres. Ils doivent aller à l’essentiel. Evitez les adjectifs inutiles et les adverbes à tout va.

3. Facilitez la lecture et Optimisez vos textes pour le référencement

Pensez à l’expérience de l’utilisateur. Le web n’est pas adapté aux gros pavés de texte interminables. Si la lecture est difficile, le visiteur quittera la page pour aller chercher l’information ailleurs. Vous aviez passé beaucoup de temps pour améliorer votre référencement naturel. Le visiteur était là…. mais il est reparti !

Hiérarchisez l’information. Utilisez des titres et sous-titres pour permettre, rapidement et facilement, de hiérarchiser l’information.

Structurez vos textes ou articles en paragraphes courts. Un paragraphe doit faire passer une idée, pas plus. Au sein de ces paragraphes, faites des phrases courtes et claires. Tout le monde doit comprendre ce que vous racontez. Vous pouvez faire ressortir votre expertise tout en utilisant un vocabulaire compréhensible pour vos lecteurs.Si l’information à retenir ne ressort pas, beaucoup ne liront pas le texte jusqu’au bout. Attention, le texte souligné prévient qu’il s’agit d’un lien, privilégiez le texte important en gras.

A quoi bon rédiger du super contenu si personne ne le lit ? Rédiger vous prend du temps, et votre temps est précieux. Il faut que vos contenus soient bien référencés.

Ne faites pas l’erreur d’écrire vos textes en ne pensant qu’au référencement naturel : pas trop de mots clés au risque de faire fuir vos lecteurs.

[Tweet « A quoi bon rédiger du contenu à forte valeur ajoutée si personne ne le lit ? #webmarketing #seo »]

Pour être efficace, voici quelques  règles à suivre :

  • Choisir de bons mots clés. Vous devrez les reprendre dans le titre, les sous-titres et plusieurs fois dans les paragraphes.
  • Mettre  des liens internes, de préférence dans le texte : faites les lier vers d’autres pages de votre site et les  liens externes : vers des sites de partenaires par exemple
  • Intégrer vos mots-clés dans le code HTML de la page : balise H1 et H2.
  • Travailler et personnaliser les meta titres et meta descriptions.

 

A la decouverte de l’archivage numérique

L’ARCHIVAGE NUMÉRIQUE

Le développement des technologies de l’information et de la communication a profondément modifié les méthodes de travail en facilitant et en accélérant considérablement la production, le partage et le stockage d’informations numériques. En parallèle, la reconnaissance de l’écrit électronique comme preuve en 2000 a ouvert la voie à l’« administration électronique », à la dématérialisation des processus métier et à la production d »originaux numériques.

C’est pourquoi l’archivage numérique/électronique est devenu un véritable enjeu pour les directions des systèmes d’information. Il s’inscrit dans une gestion « efficiente » de la gestion des données numériques par la prise en compte du cycle de vie de l’information ainsi que de la conservation pérenne des données à forte valeur juridique, stratégique et/ou patrimoniale qui sont souvent la seule trace de l’activité de l’administration. Leur perte constituerait à la fois un risque juridique et un risque majeur pour la continuité des activités. La notion d’« archivage électronique » renvoie par conséquent à celle de « gouvernance des données numériques ».

Les données numériques sont par nature très vulnérables pour deux raisons principales : d’une part, elles sont facilement manipulables et falsifiables. On rencontre également des difficultés à identifier la version validée d’un document et à avoir accès à l’information pertinente, nécessaire à la prise de décision. D’autre part, le support et le contenu de l’information ne sont plus indissociables, ce qui entraîne des conséquences majeures. En effet, l’affichage d’une information numérique est le résultat d’une harmonie entre systèmes logiciels, systèmes matériels, systèmes d’exploitation et périphériques. lls sont tous soumis à des rythmes différents et de plus en plus rapides qui entraînent un risque d’obsolescence technologique. Des stratégies de pérennisation, étayées par les nombreuses normes existantes dans le domaine, doivent par conséquent être anticipées et mises en œuvre, dès lors que les durées de conservation sont supérieures à un délai de 10 ans.

L’archivage numérique est donc un processus dynamique qui commence dès la création des documents.

Il s’agit d’une fonction multi-facettes qui fait appel à différents domaines entrant dans les schémas directeurs informatiques des organisations tels que :

  • la gestion et la recherche documentaires (GED, bases de connaissance, moteurs de recherche, sémantique basée sur des référentiels, thesausus, ontologies…),
  • la preuve et la sécurité (empreintes, signature électronique, horodatage, gestion du cycle de vie de l’information, gestion des droits d’accès, gestion des traces), l’interopérabilité (entre systèmes basés sur des protocoles de communication et des formats d’échanges),
  • les infrastructures de stockage,
  • le choix d’outils très pointus ciblés sur la conservation sur le long terme du numérique (outils d’identification et de conversion de formats, veille technologique sur les supports et les formats de données, plans de migrations des supports, des formats).

Les compétences requises pour aborder ce domaine sont, par conséquent, multiples, raison pour laquelle la vision globale de ce qu’est un système d’archivage électronique est encore trop peu partagée.

Site Web et Contenu: Attirer et Fidéliser le Client

Le contenu de votre site web est un élément clé qu’il ne faut jamais négliger.Principalement, le contenu tant textuel que visuel reflète l’image de votre entreprise, mais est également primordial pour votre référencement naturel.

L’importance d’un bon contenu sur les pages d’un site web

Un contenu éditorial de qualité sur les pages d’un site internet influence positivement le référencement naturel et le retour sur investissement.

En effet dans un premier temps, les moteurs de recherche analysent  la pertinence des textes, des thématiques du site, la fréquence de mise à jour et la quantité de votre contenu en ligne. Deuxièmement les textes présents sur les pages sont les armes pour convaincre et convertir les futures internautes.
Comment ? Grâce à la valeur ajoutée, la formulation des offres, la description des services et produits. Pour écrire un contenu qui convertit, il est nécessaire se poser quelques questions : Quelles sont les éléments à mettre en avant ? Quelle est la valeur ajoutée par rapport à la concurrence ? Quel message faire passer ? Quels sont les besoins et les attentes des internautes qui visitent le site ? Quel est le public cible ? etc.

Enfin pour bénéficier d’un meilleur positionnement sur Google, les textes doivent répondre à quelques critères essentiels. En effet, il s’agit de définir les mots-clés et de les placer dans une structure éditoriale optimisée pour le référencement, par exemple, avoir un titre éditorial avec une ou deux expressions-clés maximum et si possible en début de phrase, réaliser un chapeau qui reprend à nouveau les expressions-clés, placer aussi en exergue les mots-clés présents dans les textes et le tout dans une thématique unique pour chacune des pages du site internet.

Autre critère très important : La fréquence de mise à jour des contenus, par exemple, un article par jour, par semaine,… etc.
En conclusion, la mise à jour et la qualité des textes sont des éléments essentiels dans n’importe quelle stratégie de communication et/ou de visibilité. Créer du contenu optimisé et qui répond aux besoins des visiteurs sur le site, permettra d’avoir un meilleur positionnement et de convertir les futures internautes.

IGNOREZ LE DIGITAL, LA PIRE DES ERREURS !!!

De nos jours, le terme digitalisation est devenu commun dans le monde de l’entreprise. Les dirigeants d’entreprise, les conférenciers, les pouvoirs publics et autres acteurs de l’économie l’utilisent fréquemment. On parle même de « Quatrième révolution industrielle ». Si la digitalisation est si importante, ne devrait-elle pas faire partie intégrante de la stratégie d’entreprise ?

LE DIGITAL, C’EST POUR TOUT LE MONDE, MAIS SURTOUT POUR VOTRE ENTREPRISE

Quels que soient la taille de votre entreprise, son domaine d’activité, ou le nombre de ses salariés, une stratégie webmarketing lui sera profitable pour 3 raisons principales :

  • Omniprésence du digital : puisque 1/3 de la population mondiale utilise Internet, vos prospects l’utilisent probablement. Internet constitue un marché à part entière sur lequel votre entreprise doit se positionner pour exister. Vous priver de ce marché pourrait être fatal à votre entreprise.
  • Concurrence menaçante : vos concurrents qui auront déjà initié leur transition digitale pourront plus facilement entrer en contact avec vos prospects et les récupérer. Selon une étude de Roland Berger de septembre 2014, les entreprises les plus matures sur le numérique ont effectivement une croissance du chiffre d’affaires 6 fois plus élevée que celle des entreprises les moins matures !
  • Adaptabilité du digital à votre entreprise : toutes les entreprises faisant du marketing ont intérêt à passer au digital, et il est adaptable à chacune d’elles. Montrez-le à votre direction ! Lorsque vous présenterez votre projet, maîtrisez sur le bout des doigts la stratégie de votre entreprise en termes d’investissement, de salaires, de frais généraux, et d’évolution du chiffre d’affaires. Appuyez-vous sur vos bilans précédents pour chacun des moyens que vous utilisez actuellement : marketing traditionnel, marketing digital, forces commerciales, pour montrer de quelle façon une stratégie webmarketing pourrait être mise en œuvre dans votre entreprise.

LE DIGITAL, ÇA RAPPORTE ET ÇA SE VOIT

Avec votre direction, il y a fort à parier que parler de chiffres plutôt que dérouler un grand discours sera plus efficace. La première objection qui risque de vous être faite est que le digital coûte trop cher, anticipez-la.

Après tout, on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs, alors présentez un état des lieux des moyens mis en œuvre jusqu’ici et leur niveau de rentabilité. Identifiez les plus rentables et ceux qui le sont moins et proposez un plan de réallocation des ressources permettant de financer le digital.

Surtout, comparativement aux mesures traditionnelles de marketing, insistez sur la possibilité de monitorer les investissements réalisés en temps réel, ce qui aura pour effet de contrecarrer les inquiétudes liées au risque d’investir sur le digital.

Votre direction voudra notamment suivre les indicateurs de performance : proposez les outils nécessaires à la mise en œuvre de votre stratégie (Hubspot google, etc.) pour analyser les performances.

LE DIGITAL, ÇA RAPPORTE PLUS ET PENDANT PLUS LONGTEMPS

Le ROI du marketing traditionnel est en baisse. Pour preuve, seuls 8% des affaires signées trouvent leur origine dans les salons, le marketing direct et la prospection téléphonique alors qu’elles coûtent plus de 50% du budget marketing. De même, le coût par lead (CPL) en inbound marketing est 60% moins cher que les méthodes traditionnelles.

Comparativement au marketing classique, une stratégie digitale permet 417% d’augmentation des revenus pour les entreprises qui l’ont adopté. Une stratégie de prospection digitale apporte, quant à elle, 50% de leads et de clients en plus et démultiplie par 5 la productivité commerciale. Elle vous permettrait donc d’installer votre visibilité sur le long terme. Par exemple, si vous écrivez un blog, vos articles peuvent être consultés dès le premier jour de leur publication, mais également 2 ou 3 ans plus tard. Votre investissement de départ continuera à générer des bénéfices pendant très longtemps. De plus, cela vous permet de vous installer comme expert référent dans le domaine et d’avoir un contact constant avec vos prospects.

Finalement, l’intérêt d’adopter une stratégie digitale est évident en termes de retour sur investissement. Votre direction avisée aura peu de raisons de rétorquer à ces arguments concrets si vous présentez votre stratégie en étant préparé, sûr de vous et sans trop en faire

Le cycle de vie d’un document

Le cycle de vie d’un document est un concept qui analyse les étapes menant de la création d’un document à sa destination finale : conservation mémorielle ou destruction. On considère dès lors trois étapes dans ce cycle de vie : l’élaboration et la production du document, son utilisation ou maintenance, sa conservation ou mise à disposition.

Les étapes de ce cycle diffèrent un peu selon que l’on se place du point de vue de la gestion des documents d’archives ou de l’archivage définitif. Depuis l’introduction des documents numériques, les technologies ont parfois bousculé l’ordonnancement classique de ces étapes.

Le cycle de vie du document selon le records management

« Le cycle de vie d’un document engageant est organisé autour de deux événements majeurs qui modifient son statut ou sa valeur : la validation qui lui donne son plein effet engageant et l’événement qui déclenche le calcul de la date de fin de conservation.

  • Avec sa validation comme document engageant (record creation), suivie de sa diffusion, le document émis ou reçu est figé et peut (doit) dès lors être mis en sécurité dans un système qui assurera sa conservation intègre et sa mise à disposition.
  • L’événement déclencheur du sort final (fin de validité, résiliation, fin d’un laps de temps prédéterminé, décision du responsable du contenu) permet de calculer la date de destruction ou de transfert aux archives historiques. »

« Avant sa validation, le document passe souvent par plusieurs états qui sont autant de documents papier ou de fichiers numériques qu’il convient de gérer au regard de ce que doit être le document finalisé : règles de nommage, versionnage, contrôle de la diffusion. D’autres événements viennent ponctuer la vie du document archivé : les consultations qui peuvent générer des copies de ce document, les changements de localisation (en fonction de la fréquence d’utilisation et des coûts de stockage ou d’accès), les migrations technologiques ou les restaurations après détérioration des données. Certains événements extérieurs peuvent conduire à modifier le cycle de vie du document archivé, par exemple : la valeur du document est requalifiée par suite d’un contentieux ; le support original est détruit malencontreusement et est remplacé par une copie qui devient copie de substitution. »1

Ainsi du point de vue du records management les étapes du cycle sont résumées comme suit :

  1. Création (ou capture) du document ;
  2. Validation du document (avec plusieurs itérations possibles) ;
  3. Utilisation (diffusion/publication) ;
  4. Fin de l’usage courant ;
  5. Échéance légale ou institutionnelle (déterminée par une durée d’utilité administrative).

Les étapes sont ici déterminées par des dates butoirs qui, en principe, déterminent une action de traitement des documents ayant changé de statut.

Théorie des trois âges des archives

Cycle de vie document-record mac

Le cycle de vie du document selon les archivistes repose sur la théorie des trois âges, exposée et popularisée en France par Yves Pérotin2. Tout document passe successivement par deux ou trois phases. Dans la première, il relève des archives courantes car on s’y reporte quotidiennement : il est conservé par la ou les personnes l’ayant produit ou reçu. Lorsqu’il n’est plus d’une utilité quotidienne et immédiate sans qu’on puisse pour autant le détruire, il passe au stade des archives intermédiaires : il peut être déplacé dans un local où on ira le consulter en cas de besoin ou confié à un service d’archives qui le restituera à la demande. Une fois arrivé le moment où sa conservation n’est plus nécessaire pour la conduite de l’activité ou légalement obligatoire, il peut soit être détruit, soit être confié comme archives définitives à un service d’archives historiques.

En France, les archives définitives des personnes publiques, qu’il s’agisse de collectivités territoriales ou de services déconcentrés de l’État, doivent être versées aux Archives départementales du ressort géographique où elles se trouvent. Les archives définitives des administrations centrales de l’État et des établissements publics à compétence nationale doivent être versées aux Archives nationales.

Dans ce séquençage :

  • les archives courantes (vivantes ou archives actives) couvrant les étapes 1 à 3 du Records management, prennent en compte les documents nécessaires au fonctionnement des institutions qui les ont produits.
  • les archives intermédiaires (semi-statiques ou semi-actives) couvrant la période entre les étapes 4 et 5 du Records management, ne sont plus utilisées couramment mais doivent être conservées de manière temporaire pour des raisons administratives ou juridiques. À l’issue de la durée réglementaire ou légale de conservation, ces archives font l’objet d’un tri et sont soit conservées définitivement soit éliminées.
  • les archives définitives (statiques ou mortes) se positionnant après l’étape 5 du Records management, ont pour vocation d’être conservées pour des raisons patrimoniales ou historiques. Elles sont versées aux Archives Nationales.

2017: Les 5 Metiers Du Digital !!!

Si le digital est l’un des secteurs les plus porteurs économiquement, quels sont précisément les besoins des entreprises dans ce domaine à court et moyen terme ? Quels seront les métiers plébiscités par les recruteurs en 2017 dans le digital ? Zoom sur 5 postes clés promis à un bel avenir.

CDO, data scientist, chef de projet web mobile, UX designer et chef de projet e-CRM

1/ Chief Digital Officer (CDO)

Chief Digital Officer, autrement appelé Directeur de la transformation digitale, est à la fois pilote et moteur, à haut niveau de responsabilité. Il cumule de nombreux savoir faire (marketing, stratégie, IT, business, innovation, logique d’entreprise, process) et savoir être (communication, ouverture aux autres, capacités à convaincre…) pour prendre en charge cette fameuse mutation numérique (il sait répondre à la question : « mais par quel bout on commence ? »).

Entreprises de tous secteurs confondus, elles se l’arrachent tous ! Réalisant le réel besoin de compter dans leurs rangs des leaders capables d’amorcer et de piloter la transformation digitale, de nombreuses entreprises ont donc nommé en leur sein un Chief Digital Officer.

Recherché pour sa polyvalence et son profil expérimenté, le CDO est un stratège et un leader capable d’insuffler la culture numérique dans toute l’entreprise et d’améliorer, grâce aux innovations numériques et aux nouveaux processus de travail, la nouvelle organisation d’une entreprise et sa stratégie. Il doit également être en mesure d’actionner les leviers correspondant aux canaux digitaux que sont le search marketing et les réseaux sociaux, notamment.

Qualifié d’accélérateur ou encore de catalyseur de la transformation digitale des entreprises, le CDO se doit d’être en perpétuelle veille pour suivre de près les évolutions du numérique et les mettre à profit auprès des différents directions (marketing, communication, RH ou direction générale).

 2/ Data scientist

A l’ère du Big Data, les entreprises doivent recruter de nouveaux talents : les data scientist ! Extrêmement plébiscités du fait de leur rareté, les data scientist ont pour mission la gestion et la valorisation des données massives appelées Big Data.

La mission du Data scientist : mettre en place une stratégie cohérente répondant aux problématiques de son entreprise afin d’exploiter (le plus souvent) à des fins commerciales, les multiples données entrantes. Analyser, organiser, modéliser, synthétiser et restituer les données font alors partie des tâches qui rythment la journée du Data Scientist. Pour ce faire, la maitrise des outils informatiques et d’analyse ainsi qu’un savoir-faire métier marketing sont alors indispensables.

A la fois mathématicien, statisticien et fin stratège, le Data Scientist est un haut responsable polyvalent et expérimenté particulièrement convoité. Le poste de Data Scientist  a même été élu métier « le plus sexy du XXIème siècle » en 2015 par la Harvard Business Review… Rien que ça !

3/ Chef de produit web mobile

En France comme aux Etats-Unis, le marché publicitaire est dorénavant porté par l’Internet mobile. Il n’est donc pas étonnant de compter le chef de produit web mobile parmi les métiers les plus prometteurs.

Capable de réaliser un site ou une appli mobile de A à Z mais aussi de mettre à jour l’offre existante selon les avis laissés par les utilisateurs, le chef de produit web et mobile est un professionnel du marketing et du produit Internet. Dans le respect de la stratégie marketing digital de l’entreprise, le chef de projet web mobile a l’entière gestion de toutes les étapes du développement et ce, de la réponse à l’appel d’offres et l’étude de faisabilité du projet jusqu’à son lancement.

En charge de superviser les différents membres de son équipe (webmarketeurs, webdesigners, développeurs…) et d’assurer la coordination entre eux, il propose alors des produits correspondant, au mieux, aux besoins des utilisateurs. Des besoins qu’il a su analyser et identifier en amont.

Avec de solides compétences en webmarketing (ergonomie, normes…), le chef de produit web mobile doit également posséder des connaissances en mesure d’audience et acquisition de trafic afin de pouvoir mesurer la performance et la rentabilité de ses actions. De véritables qualités managériales et un sens du travail en équipe sont également attendus pour fédérer ses équipes autour d’un objectif commun.

 4/ UX designer

L’approche user centric/friendly est aujourd’hui au cœur des stratégies de création et de conception de site web, d’où la forte demande d’UX Designer ou « Experience User Designer ». Spécialiste de l’ergonomie et du design, ce créatif sait prendre en compte les besoins des consommateurs pour répondre toujours mieux aux objectifs de son entreprise. Sa mission : rendre attractive et améliorer sans cesse la qualité de l’expérience vécue par les usagers d’un site web.

Capable de créer une interface aussi bien pour un site web, une application mobile, une tablette en responsive design comme une borne interactive ou tout autre dispositif numérique, l’UX designer va, en amont, réaliser un audit de l’expérience utilisateur. Les résultats de cet audit font alors de lui un interlocuteur unique avec les utilisateurs et justifie auprès des responsables du projet ses actions.

Dotés de compétences relationnelles comme techniques, ce professionnel encore rare dans le paysage du design digital occupe pourtant déjà une part importante des usages. Des compétences vastes et stratégiques vecteurs de réelles opportunités pour les entreprises.

 5/ Chef de projet e-CRM

La gestion de la relation avec le client (Customer Relationship Management en anglais) et sa fidélisation ont elles aussi évolué avec l’immersion des données dans le management de l’entreprise. Au centre des préoccupations de la majorité des professionnels du e-commerce, la relation client online doit, plus que jamais, être soignée. Il faut dire que les enjeux sont nombreux. Il est question de fidélisation, d’e-reputation comme de rentabilité de son site web. Au carrefour des fonctions marketing, informatiques et commerciales, le chef de projet e-CRM doit savoir exploiter les données des visiteurs et des clients, trouver des moyens de recueillir des données complémentaires puis analyser les comportements (outil de ciblage comportemental, définition de scénari de navigation…) pour en tirer des conclusions sur les habitudes d’achat.

Doté d’une connaissance consommateur exclusive, le chef de projet e-CRM peut ainsi mettre en place une stratégie de fidélisation et de vente à travers notamment, l’automatisation des campagnes e-CRM par trigger marketing (proposition de produits en fonction des données reçues, e-mailing promotionnel d’un anniversaire, email de panier abandonné) ou encore l’adaptation du site et de ses contenus (publicités). Qu’il s’agisse d’exploiter les données, de mettre en place une stratégie relation client et d’en mesurer les performances et le ROI des actions menées, des qualités de synthèse et d’analyse sont primordiales.

Métier en plein boom depuis l’avènement de la Relation Client 2.0, la profession de chef de projet e-CRM attire de plus en plus les jeunes diplômés d’écoles de commerce, informatique ou marketing. Cependant c’est un marché où la concurrence fait rage !