Service-client : 5 erreurs à ne jamais commettre !

93% des consommateurs effectuent des achats supplémentaires auprès d’une entreprise qui leur propose une expérience positive avec le service-client.

Il ne peut y avoir d’entreprise performante sans un service-client efficace. La crédibilité et la confiance en votre marque y sont fortement liées. Alors, voici 5 erreurs à éviter (ou ne plus commettre) pour une expérience client au top !

1. Le manque de personnalisation

La personnalisation reste au cœur de l’expérience client. 80% des consommateurs sont susceptibles d’acheter auprès d’une entreprise qui personnalise leurs services.

Première chose à faire, bannissez les scripts. Chaque client doit être traité de manière personnelle. Vous devez disposez de leurs noms, adresse, derniers achats…

Pour ce faire, procurez-vous un outil CRM (Salesforce, Hubspot, Zendesk… vous avez le choix). Pourquoi ? Pour stocker les informations sur vos clients (adresses email, numéros de téléphone, profils sur les réseaux sociaux…) et connaître leur historique.

Cela vous aidera à personnaliser vos messages et à améliorer votre communication avec eux. Résultat : une meilleure expérience pour le consommateur et de plus grandes performances pour votre entreprise.

2. Le manque de réactivité

Vous voulez fidéliser vos clients ? Évitez de les laisser sans réponse pendant longtemps. Selon une enquête conduite par Aircall :

  • 90% des consommateurs sont prêts à patienter jusqu’à 5 minutes au téléphone.
  • 94% veulent une réponse à leur email dans les 24 heures.
  • 49% quitteront votre site après 1 minute en l’absence de réponse sur un live chat.
La bonne pratique
Si vous ne pouvez pas répondre de suite à leur demande, faites-leur savoir. Envoyez-leur un message du type : « nous avons pris note de votre requête, nous reviendrons vers vous dans les plus brefs délais ».

Lorsque vous leur promettez une réponse au plus vite, assurez-vous de tenir parole. Le client ne devrait pas vous relancer sur sa demande.

3. Le manque d’écoute

Pour répondre à un client, il faut d’abord l’écouter. C’est la base du service à la clientèle. Laissez le temps au consommateur d’exposer et expliquer sa situation. S’il veut exprimer ses sentiments, même négatifs, pas besoin de l’interrompre.

Une fois au bout de son exposé, effectuez un récapitulatif de ses propos pour lui montrer que vous l’avez bien écouté. Ensuite, vous pourrez lui proposer la meilleure solution.

Vous devez aussi écouter ce qui se dit sur votre marque dans la sphère digitale. En cas de plainte sur les réseaux sociaux, sut votre blog ou sur les forums, prenez la parole et réglez rapidement le problème. Cela vous évitera le bad buzz tout en augmentant les chances de fidéliser votre interlocuteur.

4. La non-reconnaissance des torts

Un de vos produits est défectueux ? Vous n’avez pas respecté le délai de livraison ? Ne soyez pas de mauvaise foi, reconnaissez votre tort. Il n’y a pas de mal à reconnaître sa responsabilité. Ce n’est pas une preuve de faiblesse de la part de l’entreprise, mais plutôt une preuve d’humanité, d’honnêteté et de transparence.

Surtout, excusez-vous pour désamorcer la crise ! Si vous pouvez justifier votre erreur, faites-le. Pourquoi ne pas offrir une compensation en retour ? Des frais de livraison gratuits ou une réduction sur un prochain achat feront plaisir au client. Ces gestes augmentent la fidélité et renforcent la confiance envers votre marque.

5. L’utilisation d’un vocabulaire complexe

Si vos services ne s’adressent pas à des experts, évitez d’utiliser un vocabulaire complexe pendant vos discussions. La transparence est le socle de la relation client, ne l’oubliez jamais.

En utilisant un jargon complexe, le client ne s’identifie pas à votre marque. Résultat : il risque de ne pas valider son achat ou de ne jamais revenir auprès de vous.

Si vous devez écouter le client, celui-ci doit pouvoir comprendre votre réponse. Le cas échéant, il peut prendre l’attitude du service client pour de l’arrogance.

Un service-client de qualité est celui qui personnalise ses messages, réagit rapidement aux demandes et écoute les clients. Par ailleurs, n’hésitez pas à reconnaître vos erreurs et rester courtois dans votre communication. C’est la clé pour fidéliser vos clients et convertir de nouveaux prospects !

Si vous ne pouvez pas gérer votre service client en interne, vous pouvez externaliser ce service auprès d’un assistant virtuel freelance.

6 étapes pour une veille concurrentielle efficace

Étape 1 : lister les concurrents

Toute veille concurrentielle démarre par la création d’une liste d’entreprises concurrentes. Néanmoins, ne vous arrêtez pas aux concurrents directs évidents ! En plus de ceux que vous connaissez et des acteurs historiques, veillez sur les nouveaux entrants. Peut-être qu’ils ne représentent pas une menace actuellement, mais ils peuvent se développer et vous prendre des parts de marché à l’avenir !

Par ailleurs, élargissez votre veille aux concurrents indirects qui répondent aux mêmes besoins et objectifs que votre entreprise, mais via un bien ou service différent. Par exemple, les concurrents indirects d’une marque de vélos électriques sont les entreprises qui vendent des trottinettes électriques. Le produit est différent, mais il répond à un même besoin !

Étape 2 : cibler les informations pertinentes

La veille concurrentielle ne consiste pas à rechercher tout et n’importe quoi sur vos concurrents ! Vous devez lister précisément les éléments à rechercher, au risque d’avoir beaucoup trop de données.

Focalisez-vous sur les renseignements qui vous permettront de connaître, à l’avance, les décisions importantes que se préparent à prendre vos concurrents : lancement d’un nouveau produit, baisse des prix, changement d’image…

De cette façon, vous pourrez réajuster votre propre stratégie marketing en conséquence pour éviter que les concurrents s’avancent sur votre terrain.

Étape 3 : surveiller les parutions et publicités de vos concurrents

Vous devez lister tous les supports sur lesquels vos concurrents sont présents : TV, radio, internet, réseaux sociaux… Puis veillez sur les parutions pour connaître, en temps réel, les promotions proposées, les contrats remportés, les partenariats ou même les scandales ! Surveiller ce type de parution vous permet d’anticiper votre propre positionnement et vos actions futures.

Étape 4 : rechercher les sites et profils des employés

Il est évident et assez facile de chercher des informations sur vos concurrents grâce aux moteurs de recherches. L’ennui, c’est que vous avez peu de chances de trouver des informations VRAIMENT pertinentes sur eux. Et si jamais vous les trouvez quand même, ce sera certainement trop tard pour les utiliser à votre avantage.

Néanmoins, cela reste un bon début pour votre veille…

Pour aller plus loin et tenter d’avoir des données exclusives, tournez-vous vers leurs employés ! Référez-vous au trombinoscope présent sur les sites des concurrents ou à leur page Linkedin pour trouver les collaborateurs les plus influents. Parfois, ils peuvent laisser échapper un « petit » secret sur leur page Linkedin, Twitter ou Facebook. Vous pourriez être informé du lancement d’un nouveau produit, de l’organisation d’une conférence ou de la mise à jour d’un service en avant-première !

Étape 5 : surveiller les offres d’emploi

Surveillez les annonces, offres et publications de recrutement des autres entreprises. Les profils recrutés vous donneront quelques indications sur leurs ambitions futures.

Par exemple, si un concurrent recrute beaucoup de techniciens supérieurs ou d’ingénieurs, c’est qu’un nouveau produit va sûrement voir le jour. Vous voyez des offres pour des développeurs web ? Peut-être que votre concurrent veut se mettre à la transformation digitale. Le recrutement de nombreux commerciaux démontre que l’entreprise veut passer un cap et accroître sa distribution de manière importante.

Ils recrutent des petites mains pour leurs usines ? Cela prouve une hausse d’activité ou une grosse commande à l’horizon !

Étape 6 : s’inscrire à leur newsletter

Rien de plus facile ! La veille concurrentielle peut venir directement à vous, dans votre boîte de messagerie. Vous inscrire à la newsletter des concurrents (avec un email neutre, évitez d’utiliser votre adresse professionnelle !) permet d’amasser des informations assez pertinentes sans trop d’effort. Vous connaîtrez leurs dernières actualités, les nouveautés, les promotions en cours…

Effectuer une veille concurrentielle, oui, mais dans l’efficacité ! Avant tout, déterminez des objectifs clairs et pertinents, ainsi qu’une liste de concurrents complète. Ne vous éparpillez pas, ciblez les informations cruciales et faites preuve d’ingéniosité pour dénicher les données avant tout le monde ! Pour gagner du temps vous pouvez déléguer cette mission à un freelance qui vous établira chaque semaine un reporting détaillé, sur Codeur.com vous trouverez les profils idéals pour ce type de besoin.

Nouveauté: Passez au Storyliving pour booster votre marque

Le Storyliving, qu’est-ce que c’est ?

Ce nouveau concept devra désormais faire partie intégrante de votre marketing de contenu !

On vous dit tout sur cette nouvelle tendance marketing !

Le storyliving : faites-leur vivre vos histoires

Le storyliving, c’est tout simplement le live, le partage en temps réel d’un évènement ou d’une activité.

Les internautes sur vos réseaux sociaux vivent ce que vous vivez, voient ce que vous voyez et ressentent ce que vous ressentez, au même moment que vous. Et c’est tout simplement formidable pour l’engagement et les conversions !

Pourquoi ? Parce que la diffusion de ce type de contenu vous rapproche plus que jamais de votre public. Ce dernier se sent pleinement impliqué dans la vie de votre marque, ce qui accroît sa confiance.

Storyliving et storytelling : les différences

Vous connaissez certainement le storytelling, qui consiste à raconter une histoire dans le but de susciter l’émotion. Le récit concerne souvent :

  • Vos produits
  • Votre entreprise
  • Un événement que vous préparez
  • L’envers du décor de votre société
  • Etc.

L’objectif du storytelling est simple : établir une forte connexion émotionnelle entre votre public et vous.

Le storyliving pousse le bouchon un peu plus loin : c’est en quelque sorte un storytelling en live, d’où le remplacement de telling par living. Le consommateur devient un acteur de votre histoire. À cet effet, il va être difficile d’oublier cette expérience et les informations qui sortent de votre live. Il incite davantage à l’engagement par son côté vivant.

Avec le storytelling vous donnez un visage humain à votre société, vous répondez aux questions et aux inquiétudes des internautes, vous nourrissez leur curiosité. Votre contenu n’est pas diffusé en direct, vous avez donc tout le loisir de le soigner et de le préparer comme vous le voulez.

Le storyliving vous permet aussi d’humaniser votre marque, mais à un niveau supérieur. Pas le temps, ni l’occasion de couper ou de rectifier votre discours, tout ce que vous dites et faites arrive directement sur les écrans des internautes. C’est d’ailleurs l’aspect qui séduit le plus les internautes et les met en confiance, particulièrement les plus jeunes. Ils estiment que le storyliving est plus sincère et vrai que le storytelling.

Qui peut entrer dans cette tendance ?

Le storyliving vous permet de sortir votre public de l’éternel cercle des messages publicitaires qui ont de moins en moins d’impact sur lui.

À retenir
Toutes les marques peuvent l’adopter, surtout que le live est partout : Facebook, Instagram, Snapchat, YouTube et Dailymotion proposent tous des fonctionnalités live.

Peu importe votre secteur d’activité, vous avez forcément des événements à partager, des produits ou services à montrer, des tutoriels à proposer ou des locaux à faire visiter.

Le storyliving est un excellent moyen de valoriser vos produits et services de manière vivante, tout en étant utile. Vous pouvez créer des démonstrations, donner des astuces et conseils pratiques et même inviter les internautes à vous poser toutes leurs questions.

Si le storyliving est LA tendance marketing à ne pas manquer en cette rentrée, ne vous lancez pas sans préparation.

Vous devez tout d’abord définir vos objectifs et votre cible. Pensez à investir dans des supports et du matériel de qualité à tous les niveaux : son, vidéo, couleurs… Créez des scénarios et entraînez-vous !

C’est au prix d’une bonne préparation que le storyliving aidera votre entreprise à se rapprocher de son public pour établir une relation de confiance durable et transformatrice.

 

SEO : 5 conseils pour optimiser le title de vos pages

Souvent laissé de côté ou jugé technique, le Title est une ressource trop peu exploitée.

Pourtant, optimiser le title de vos pages est un des leviers les plus efficaces pour améliorer votre SEO et augmenter votre taux de clic dans les résultats de recherche. Ne vous privez pas d’un trafic utile et qualifié par manque de temps.

Voyons comme optimiser le title de vos pages pour rendre plus attractifs et différenciants vos contenus dans les SERPs.

1. Ne pas confondre Titre et Title

Première étape, vous devez comprendre où se situe le title pour en saisir l’enjeu.

On parle souvent de Titre à tort, car ce sont deux choses différentes :

  • Le Titre de votre article est le nom de votre article. Ce dernier est visible en haut de votre contenu au-dessus de votre premier paragraphe.
  • Le Title quant à lui, est une « balise » qui peut reprendre votre titre, mais que nous vous conseillons de personnaliser. Il s’affichera à 3 endroits : en haut de page sur votre onglet de navigateur, dans le code de votre site web dans la balise Title, et surtout dans les résultats de recherche de Google notamment.

Lorsque vous faites une recherche dans Google, les résultats sont constitués :

  • d’un titre en bleu cliquable, c’est votre title ;
  • puis de l’URL et du fil d’Ariane simplifié du contenu dans votre site ;
  • de certaines extensions comme les notes d’un article ;
  • du résumé de votre article, appelé métadescription.

2. Soyez fidèle à votre titre…ou pas !

Étant donné que votre title doit refléter le contenu de votre article, il est possible que vous ayez envie d’utiliser votre titre à l’identique.

Toutefois, nous avons vu que leur rôle est différent donc il peut être pertinent d’adapter chacune des formulations.

En conclusion, vous pouvez vous rapprocher de votre titre, mais pensez surtout à le transformer en accroche.

3. Rédigez votre title comme un call-to-action

Ce titre est votre première (et peut-être dernière !) chance de convertir un internaute en lecteur. Rédigez-le de manière descriptive et convaincante, comme un hameçon.

Vous pouvez aussi poser une question pour interpeller votre audience. En effet, les requêtes des internautes sont majoritairement des questions. S’ils retrouvent une problématique proche de leur question dans votre title, ils seront plus enclins à cliquer sur le résultat pour en lire plus.

Votre title doit absolument décrire le contenu de votre article.

Attention
Faire des accroches trompeuses où le lecteur ne retrouverait pas un contenu fidèle au title en lisant votre article, serait dramatique. Cela augmenterait votre taux de rebond et nuirait à votre référencement naturel. Restez en cohérence avec votre thème.

4. Respectez les contraintes navigateurs

Si le fond de votre title est complètement libre, la forme quant à elle, est plutôt bornée. La taille notamment compte pour ne pas le tronquer :

  • 60 caractères sont à votre disposition pour créer un title pertinent,
  • Mais tentez de contraindre votre texte en 50 caractères, vous comprendre pourquoi dans le conseil n°5…

Créer un titre trop long peut créer de la confusion si l’internaute ne comprend pas le sens du titre sans la fin de la phrase.

Notre conseil
Rédigez un titre unique pour chaque page. Vous éviterez ainsi tout risque de duplicate content auprès de Google, qui pourrait réduire l’autorité de chacune de vos pages.

5. Optimisez le SEO

Pour les moteurs de recherche, le title est un des premiers critères analysés. Il leur sert à comprendre le thème et l’objectif de votre page de contenu.

Par conséquent, il est très important de l’optimiser pour votre SEO avec ces bonnes pratiques :

  • Votre titre doit forcement inclure votre requête cible ou mot-clé principal ;
  • Positionnez votre mot clé plutôt en début de title ;
  • Ne placez qu’un seul mot-clé par title pour ne pas créer de confusion pour les robots et le lecteur.

Vous pouvez aussi ajouter le nom de votre société dans votre title après un tiret par exemple ! Cela pourra contribuer à améliorer votre notoriété auprès de vos prospects et des moteurs de recherche.

Pour trouver les mots-clés les plus pertinents pour votre page, utilisez des outils comme SEMrush ou Ahrefs. Ils vous proposeront des expressions ou mots-clés denses dans votre contenu pour lesquels vous aurez plus de chance d’être bien référencé.

Le title de votre article est un élément clé qui mérite une attention toute particulière avant de mettre votre article en ligne. Bien optimisé, il peut considérablement augmenter le trafic sur votre blog ou site web et améliorer votre autorité auprès des moteurs de recherche.

5 pconseilsour mieux utiliser les réactions Linkedin

Pendant des années, les utilisateurs de LinkedIn n’ont eu que trois options parmi lesquelles choisir lorsqu’ils s’engagent dans le contenu : aimer, commenter et partager.

Mais depuis peu, et pour satisfaire les requêtes des utilisateurs, les possibilités se sont multipliées. 4 boutons « réactions » sont venus s’ajouter au traditionnel « like » : j’adore, bravo, instructif et intéressant.

Qu’est-ce que ces nouvelles réactions apportent à votre stratégie LinkedIn ? Comment fonctionnent-elles et surtout, comment les utiliser à bon escient ?

Découverte des nouvelles réactions sur LinkedIn

Commençons d’abord par vous présenter ces nouvelles réactions, assez différentes de celles sorties par Facebook.

Sur LinkedIn, comme toujours, la place est donnée aux échanges professionnels :

  • J’aime : cette réponse classique reste toujours forte, donnant à vos abonnés un moyen simple de manifester leur intérêt ou leur soutien pour votre contenu.
  • J’adore : lorsque vos messages trouvent un écho profond auprès des abonnés, cette réponse leur permet de démontrer un lien plus intense avec le contenu de votre entreprise.
  • Bravo : LinkedIn est une plateforme qui permet de partager les événements de l’entreprise ou de votre vie professionnelle. Cette réaction est la réponse idéale aux réalisations passionnantes : anniversaire d’ancienneté, promotion, agrandissement des locaux, récompenses…
  • Instructif : lorsque vous partagez des articles de très grande qualité ou des réflexions approfondies, cette réaction permet à vos abonnés de montrer que vous les avez bien aidés.
  • Intéressant : si vous utilisez votre page d’entreprise LinkedIn pour lancer des conversations ou poser des questions qui suscitent la réflexion, cette réaction permet aux followers de montrer leur désir d’en savoir plus.
  • Ces réactions vous aideront à stimuler l’engagement, mais aussi à comprendre l’impact de vos publications sur votre communauté.

5 conseils pour utiliser les réactions de LinkedIn pour accroître l’engagement

Ajouter des réactions à la plateforme ne peut que favoriser le taux d’engagement sur vos pages LinkedIn. Face à ces multiples possibilités, vos contacts seront davantage encouragés à interagir !

Vous aussi, vous allez découvrir de nouveaux moyens de s’exprimer afin d’optimiser les forces de votre stratégie LinkedIn.

Cap sur les différentes façons d’utiliser ces réponses plus nuancées pour améliorer votre présence sur le réseau social B2B.

1. Utiliser les réactions LinkedIn pour mieux connaître votre public

Puisque les réactions de LinkedIn commencent à changer la façon dont vos abonnés s’engagent, cela a forcément un impact sur votre analyse.

Lorsque vous présentez de grandes idées, vous pouvez voir si vos messages suscitent des réactions « instructif ». Lorsque vous partagerez des nouvelles passionnantes, vous pourrez également déterminer si votre contenu encourage les « bravo ».

Poussez l’analyse LinkedIn encore plus loin en suivant les réactions qui déterminent les KPIs que vous souhaitez atteindre. Vous constaterez peut-être que les réactions « bravo » créent plus d’actions et renforcent la notoriété de la marque. Ou vous pourriez apprendre que les réactions « instructif » entraînent plus de trafic sur le site web et mènent à des inscriptions par email

2. Utiliser les réactions pour créer une relation avec un prospect

Seriez-vous insensible à un coup de « bravo » ou de « j’adore » ? Qui n’aime pas les félicitations ?

Avec ces nouveaux outils de réaction, vous montrez l’intérêt que vous portez à vos prospects en les félicitant pour un nouveau projet. Aller plus loin qu’un simple « j’aime » est un bon moyen pour approcher un prospect et entamer une relation de proximité avec lui.

3. Utiliser les réactions pour favoriser les relations avec vos employés

Importante pour l’image de votre entreprise, la cohésion entre vous et vos employés sur les réseaux sociaux fait partie intégrante d’une stratégie social media réussie.

Montrez votre solidarité en utilisant les réactions pour célébrer l’anniversaire d’entreprise d’un collaborateur, le féliciter d’une promotion ou mettre en avant un contenu de veille pertinent.

4. Utiliser les réactions pour débuter une relation avec un partenaire

LinkedIn est connu pour sa capacité à mettre en relation des partenaires B2B. Avec les nouveaux outils de réaction, vous pouvez montrer que vous aimez particulièrement les contenus ou les services offerts par une entreprise ou un freelance.

Laisser régulièrement des réactions « intéressant » et « instructif » permet d’intéresser ce potentiel partenaire en retour et, peut-être, de débuter une relation de travail.

5. Utiliser les réactions pour optimiser votre ligne éditoriale

Les réactions LinkedIn permettent de connaître les publications qui attirent le plus l’attention de votre communauté.

En observant les contenus qui génèrent des icônes « instructif », « j’adore » ou « intéressant », vous pourrez affiner votre ligne éditoriale. L’objectif : améliorer la qualité des contenus diffusés pour engager toujours plus vos contacts.

 

Une image vaut peut-être mille mots, mais les boutons de réactions valent aussi leur pesant d’or !

Ils permettent à votre communauté d’en dire davantage qu’un simple « j’aime ». Ils vous aident à entamer un partenariat en attirant l’attention de potentiels partenaires.

Voyez en eux l’occasion d’améliorer et d’optimiser votre présence sur LinkedIn, afin d’accroître vos performances commerciales !

Les 7 meilleures alternatives à Power Point

Créer des présentations dynamiques et professionnelles. Organiser vos propos avec des slides et des images est incontournable, quel que soit votre secteur d’activité. Si pendant des années, Power Point était la solution indétrônable, de nouveaux logiciels voient à présent le jour et représentent une véritable concurrence pour le géant de Microsoft.

Parfois même gratuites, ces alternatives permettent aux entreprises ou aux indépendants qui n’auraient pas les moyens d’investir dans la suite Office, de posséder un outil efficace.

Quelles sont les meilleures options ? Voici notre sélection.

1. Google Slides

Vous l’aurez sans doute remarqué, on retrouve dans la Google Suite à peu près tous les outils existant chez Microsoft. Qu’il s’agisse de Sheets pour Excel, de Docs pour Word, etc. Slides est donc l’équivalent de Power Point. Reprenant les mêmes fonctionnalités de base, l’interface est simple et familier.

Parmi les grands avantages, on note la possibilité d’y accéder également via une application mobile ainsi que l’aspect collaboratif. Plusieurs personnes peuvent travailler sur un même slide, simultanément.

Cette alternative est parfaite pour des présentations simples qui ne requièrent pas d’options trop avancées. Si vous cherchez un outil plus complet, Google Slides s’avèrera un peu limité.

 

Google Slides est un logiciel gratuit.

2. Prezi

Avec 85 millions d’utilisateurs, Prezi est un sérieux concurrent pour Power Point.

Parmi les fonctionnalités qui en font un outil efficace, la possibilité de zoomer et dézoomer sur différentes zones du slide, est extrêmement appréciable.

En effet, elle permet de quitter la dimension statique des présentations Power Point pour amener du mouvement et donc de la dynamique. Cette fonctionnalité est idéale pour présenter une innovation, montrer en détail le fonctionnement d’un process ou encore attirer l’attention sur des détails importants.

En tant que logiciel SaaS (hébergé donc dans un cloud), Prezi permet aux collaborateurs de travailler simultanément sur un même projet.

 

Prezi offre un essai gratuit de 30 jours.

3. DesignBold

Un outil efficace, puissant et professionnel. Avez-vous vraiment besoin d’autre chose ? DesignBold offre une interface extrêmement simple à prendre en main. Le logiciel dispose d’un large choix de templates. Certains sont payants et d’autres non.

Vous pouvez également personnaliser vos présentations si vous le souhaitez, en ajoutant les éléments qui vous conviennent.

 

Si vous hésitez ou n’êtes pas certains d’avoir besoin des fonctionnalités premium, DesignBold offre un essai gratuit de 30 jours. Cela vous laissera le temps de décider ce que vous souhaitez faire.

4. Slides

À ne pas confondre avec Google Slides, Slides est un logiciel de création de présentations avec pour atout majeur sa simplicité d’utilisation.

L’outil est pourtant complexe puisqu’il permet de créer des présentations à partir de zéro. Avec Slides, vous pouvez en effet intégrer du CSS et du HTML à vos présentations. Cela le rend extrêmement souple.

Par ailleurs, un système de tutoriel existe pour vous accompagner étape par étape. L’autre point positif de Slides est l’accès via smartphone ou tablette.

Enfin, dernier point intéressant, il est également possible d’intégrer des graphiques animés pour engendrer encore plus d’interactions avec l’audience. Bref, une alternative complète et très intéressante.

 

Slides reste un outil très accessible. Hormis sa version gratuite qui vous limite à une capacité de stockage de 250 Mb, l’abonnement commence à partir de 5$ par mois.

5. Moovly

Dans la série des alternatives plaçant l’animation au cœur du processus, Moovlyest en bonne position. Vous pouvez en effet intégrer des animations au cœur de vos présentation tout en bénéficiant d’une série de templates prédéfinis qui apporteront immédiatement graphisme et professionnalisme à votre propos.

Moovly est également un outil collaboratif et vous pourrez donc travailler en temps réel, à plusieurs, sur un même projet.

 

Il s’agit d’une alternative gratuite à PowerPoint. Seules certaines animations sont réservées aux comptes premium.

6. SlideDog

SlideDog est pensé spécifiquement pour les conférences ou réunions qui nécessitent de faire réagir votre audience.

Il existe notamment une fonctionnalité permettant de poser des questions en direct à l’auditoire. Les participants peuvent y répondre avec leur smartphone. Cette alternative peut être particulièrement intéressante dans le cadre d’une présentation avec beaucoup de participants ou de réunions à distance.

SlideDog dispose d’une version gratuite, mais pour profiter des nombreuses fonctionnalités comptez 99$ par an.

7. Haiku Deck

À l’inverse d’outils qui cumulent les options et fonctionnalités, Haiku Deck vise le minimalisme.

Simple d’utilisation, il convient parfaitement pour des présentations basiques, sans fioritures. Son atout majeur est son immense bibliothèque de plus de 40 millions d’images libres de droit. Il dispose également de templates, créés par thématiques.

Si cette option est intéressante, elle pourrait rester trop simpliste pour des présentations plus poussées ou si vous souhaitez personnaliser vos slides.

 

Après une version gratuite de 7 jours, Haiku Deck est disponible à partir de 9,99$ par mois.

Il ne vous reste plus qu’à faire votre choix.

Web design : 8 bonnes pratiques à respecter pour une meilleure navigation

Tout utilisateur qui se rend sur un site souhaite naviguer facilement à travers les différents contenus. Cela signifie qu’il doit savoir où il est et où il va.

Si le parcours de navigation est trop flou ou trop compliqué il y a de forte chance pour que l’internaute quitte le site web puisqu’il n’arrivera pas à trouver les informations recherchées rapidement.

Pour garder vos utilisateurs sur votre site, les éléments de navigation ne doivent pas être négligés. Voici les bonnes pratiques à respecter…

1. Déterminez l’organisation de votre menu dès le début

Dès le début de votre projet vous devez déterminer les différentes pages qui composeront votre site web. Cela demande de réfléchir aux informations et fonctionnalités que vous offrirez.

Vient ensuite la hiérarchisation de ces informations. Vous pouvez construire un diagramme pour mettre en évidence les différents niveaux de navigation.

Dans la construction de votre arborescence, veillez à respecter les règles qui suivent :

  • Ne mettez pas plus de 7 rubriques au risque de perdre vos utilisateurs et de compliquer la mémorisation de votre menu
  • Classez vos rubriques par ordre d’importance : les rubriques au début et à la fin de votre menu attirent plus le regard

2. Soyez descriptif

Les mots que vous employez pour les rubriques de votre menu et dans vos call-to-action doivent être soigneusement choisis. Avant même de cliquer, l’utilisateur doit savoir le type d’information qu’il va trouver sur la prochaine page.

Vos énoncés doivent donc être clairs et précis.

N’hésitez pas choisir des énoncés plus longs, basés sur des mots ou expressions clés descriptifs. Les avantages concernent le SEO et l’expérience utilisateur :

  • Les moteurs de recherche comprendront plus facilement les sujets / thématiques sur lesquels vous souhaitez vous positionner
  • Les visiteurs pourront se rendre sur des pages répondant réellement à leurs attentes et trouveront plus rapidement ce qu’ils cherchent

3. Ne réinventez pas le web design

Vous pouvez exprimer votre créativité dans vos visuels, vos contenus écrits, dans la disposition de vos éléments ou encore dans la typographie. Mais pas dans les éléments de navigation.

Dans le web design, et comme partout ailleurs, il existe des conventions. Ces dernières fonctionnent car les personnes y sont habituées. Donc, ne les changez pas, sauf si votre « nouvelle » navigation est plus appropriée.

Voici quelques conventions existantes pour la navigation :

  • Le logo est situé en haut à gauche ou en haut au centre
  • La barre de navigation principale est située en haut de l’écran (horizontale) ou sur la gauche (verticale)
  • L’icône du menu hamburger permet d’ouvrir le menu s’il n’est pas visible (notamment sur mobile)
  • La barre de navigation est responsive

    4. Insérez un lien sur votre logo

    Il s’agit là d’une autre convention en matière de navigation sur un site web.

    Votre logo n’est pas seulement présent pour rappeler aux internautes sur quel site ils se trouvent. Il doit participer pleinement à la navigation, d’autant plus qu’il est situé tout près de votre menu principal.

    Lorsqu’un utilisateur clique sur votre logo, il doit être redirigé sur votre page d’accueil.

    5. Créez un footer adapté

    Jusque-là nous nous sommes concentrés sur le haut de votre site web, mais la navigation peut aussi avoir lieu en bas de page.

    Le footer est généralement réservé aux mentions légales et est de plus en plus utilisé pour renseigner les coordonnées et les liens vers les réseaux sociaux.

    Mais vous vous demandez peut-être si ce bas de page peut être utilisé pour renseigner un plan de votre site. La réponse à cette question dépend de la quantité d’information que vous avez en ligne.

    Pour les e-commerces par exemple, la plupart des internautes s’attend à trouver des informations supplémentaires dans le pied de page :

    • Service après-vente
    • Carte de fidélité
    • Cartes cadeaux
    • Trouver un magasin
    • Retour des produits et remboursement
    • Conditions générales de vente
    • Etc.

    Pour les « petits » sites internet, le footer n’a pas besoin de contenir le sitemap. Les utilisateurs doivent normalement naviguer facilement à travers le menu principal.

    6. Privilégiez une barre de navigation fixe

    La navigation dite « sticky » correspond à un menu principal qui reste en haut de page et qui est toujours visible, où que se situe l’utilisateur.

    Cette pratique est idéale sur les sites one page puisqu’elle permet aux internautes de poursuivre leur navigation facilement, sans qu’ils aient besoin de remonter en haut de la page.

    Alternative
    Si votre barre de navigation n’est pas fixe, ajoutez à minima un bouton permettant le retour en haut de page.

    7. Indiquez où se trouve le visiteur

    Les utilisateurs de votre site doivent toujours savoir où ils se situent. Pour cela, plusieurs solutions peuvent être combinées :

    • Mettez en évidence par une couleur la rubrique du menu principal où se situe l’internaute
    • Ajoutez un fil d’Ariane
    • Ajoutez une bannière en haut de chaque page avec le titre de cette dernière

    8. Utilisez à bon escient le mega menu

    Le mega menu correspond à un large panneau de navigation qui apparaît lorsqu’on clique ou que l’on passe la souris sur un item du menu principal. Ce type de menu permet à un utilisateur de voir en un seul coup d’œil toutes les options et sous-pages qui se cachent derrière un énoncé.

    Le mega menu est donc pratique, mais seulement lorsqu’il est bien utilisé :

    • Préconisez-le sur un site e-commerce ou tout autre site qui dispose de nombreuses catégories ou de nombreux services.
    • Visuellement, hiérarchisez les informations en les classant par catégorie et/ou en intégrant des icônes explicites.

    La navigation d’un site web a un impact sur votre trafic et vos conversions. Veillez donc à respecter toutes ces bonnes pratiques pour répondre aux besoins de votre cible.

    Si vous avez besoin d’aide dans la création de votre web design, faites appel à un expert  qualifié sur duoexpertise.com.

Les 5 tendances de paiement en 2019

Les tendances à venir en matière de paiements vont changer les comportements des consommateurs.

Exit les cartes de crédit et les virements ; vive le bitcoin, le paiement mobile ou le règlement via chatbot !

Cap sur 5 tendances à surveiller pour proposer une expérience d’achat optimale à vos clients, sans oublier d’œuvrer pour la sécurisation des paiements.

1. Les paiements mobiles

Les paiements mobiles sont considérés comme l’un des changements les plus importants dans le monde de la haute technologie.

Le saviez-vous ?
Les transactions sur smartphone ont triplé entre 2015 et 2017, d’après la Mobile Marketing Association France.

Mais la tendance va beaucoup plus loin : aujourd’hui, les consommateurs veulent pouvoir sortir leur téléphone, comme ils sortent leur carte bancaire, pour régler un achat en magasin.

En 2014, Apple a lancé la danse avec ApplePay, une technologie permettant de payer au comptoir avec son mobile. L’année suivante, plusieurs grands joueurs se sont joints à l’équipe.

Apple Pay

À l’heure actuelle, plusieurs chaînes de restauration rapide (Burger King, McDonald’s, Starbucks…) proposent le règlement in-app.

Étant donné que nous vivons tous avec le smartphone vissé à la main, il est clair que le paiement mobile est une des principales tendances de 2019 ! 

2. Le paiement en bitcoin

Petit à petit, le bitcoin se démocratise et nombreux sont les sites qui acceptent cette monnaie : ShowroomPrivé.com, ma-carte-cadeau, OpenBazaar, ExpressVPN, Wikipedia…

Considérée comme une tendance prometteuse, il est temps de réfléchir à son adoption sur votre e-commerce !

3. Un paiement omnicanal

Le parcours d’achat est désormais omnicanal.

Les consommateurs démarrent par le mobile et terminent leurs achats sur ordinateur. Parfois, ils commencent par effectuer des recherches sur leur PC, avant de se rendre en magasin. Ils peuvent aussi commander via une application mobile et se rendre en point de vente pour payer et retirer leurs produits.

Il est essentiel d’opter pour une véritable stratégie de paiement omnicanal pour augmenter les ventes.

Notre conseil
Utilisez des plateformes capables de gérer différents canaux d’achat sans créer de rupture dans le parcours client, afin de contenter chaque profil de consommateur.

4. Le paiement via chatbot

Une autre tendance concerne le paiement via chatbot.

Compte tenu de leur aspect ludique et de leur disponibilité, ces agents en ligne peuvent guider les consommateurs dans leurs achats… jusqu’à l’initiation du paiement.

Taco Bell, Oui.SNCF, Subway, Lufthansa, 1-800-Flowers… plusieurs entreprises proposent déjà ce service. Clairement, cette méthode de paiement s’inscrit dans la tendance, quand on sait que 85 % des interactions client-entreprise impliqueront l’usage d’un chatbot en 2022, d’après Gartner.

5. L’optimisation du 3-D Secure

La technologie 3-D Secure permet aux internautes de prouver qu’ils sont bien les propriétaires de la carte bancaire utilisée pour le paiement. Ceux-ci doivent valider le règlement via un code reçu par SMS.

Néanmoins, ce système d’authentification s’avère être à l’origine d’abandons de panier.

Imaginons que l’internaute soit à l’étranger, qu’il n’ait pas son téléphone sur lui ou que le réseau soit mauvais… Résultat : il ne peut pas terminer son achat. Il quitte alors le site.

Si la technologie 3-D Secure est essentielle pour protéger les clients, elle a besoin d’être optimisée. Par exemple, vous pouvez déterminer un montant à partir duquel l’authentification se déclenche. Vous avez aussi la possibilité d’opter pour la technologie Smart 3-D Secure qui détecte le risque lié au paiement et déclenche la procédure uniquement si besoin.

L’objectif étant de lutter contre l’abandon de panier (et donc d’augmenter les ventes), tout en sécurisant les paiements.

Anticiper, analyser et modéliser le fonctionnement de ces tendances est la clé du succès.

Le moment est venu de faire face à ces nouvelles méthodes de paiement pour les appliquer à votre business.

Combien de slides pour votre présentation Power Point ?

Pour ennuyer votre audience, il n’y a rien de mieux qu’une présentation trop longue, avec de nombreuses slides sur lesquelles aucun effort graphique n’a été réalisé.

Le nombre de slides justement, est une question que beaucoup se posent lors de la préparation de leur Power Point. S’il n’y a pas de règles bien définies à ce sujet, il convient de se baser sur la durée de la présentation.

Voyons combien de diapositives vous devez créer et comment bien les agencer pour que votre présentation Power Point retienne toute l’attention de votre public.

Sommaire :

  • La présentation dure 5 minutes
  • La présentation dure 10 minutes
  • La présentation dure 15 minutes
  • La présentation dure 30 minutes
  • La présentation dure 45 minutes

La présentation dure 5 minutes

Généralement, les courtes présentations se font face à un groupe de personnes restreint, et bien souvent sur un petit écran. Ces deux caractéristiques sont à prendre en compte lorsque vous créez votre Power Point.

Pour une durée d’environ 5 minutes, vous pouvez créer entre 5 et 10 slides. Comptez environ 2 minutes de parole par diapositive.

Pour capter l’attention de votre audience, faites-en sorte que le texte soit écrit assez gros (rappelez-vous que vous êtes sur un petit écran) et ne mettez qu’une idée par slide.

Notre conseil
Évitez d’inclure une diapositive pour inciter votre audience à poser des questions. Vous risquez d’augmenter significativement le temps de votre présentation. Préférez une diapositive avec vos coordonnées.

La présentation dure 10 minutes

Pour 10 minutes de présentation n’ayez pas peur de créer entre 10 et 20 slides.

Attention
Ici, il n’est pas nécessaire de passer 2 minutes sur chaque diapo. Votre temps de parole dépend de la complexité de l’information.

Notez que si vous souhaitez réserver quelques minutes pour répondre aux questions, le nombre de diapositives diminuera.

Là encore, chaque slide ne doit présenter qu’une idée. Pour une présentation claire et agréable à l’œil pour votre audience :

  • Ajoutez des espaces entre vos éléments
  • Utilisez du texte et des images
  • Gardez une police d’écriture cohérente

La présentation dure 15 minutes

Pour une présentation de 15 minutes, le nombre de slides n’est pas forcément bien différent que pour une présentation de 10 minutes.

En effet, dans ce genre de situation, les informations que vous présentez peuvent être plus complexes et il peut être nécessaire de passer plus de temps sur chaque diapositive. Vous serez peut-être amené à présenter un graphique, ce dernier doit être affiché suffisamment longtemps à l’écran pour permettre à votre audience de comprendre ce qu’il traduit.

Comptez donc une vingtaine de slides (30 maximum) pour une présentation de 15 minutes.

Les mêmes conseils que le point précédent s’appliquent concernant la mise en page de vos diapositives.

La présentation dure 30 minutes

Cela peut paraître surprenant, mais pour une présentation de 30 minutes vous pouvez rester aux environs de 20 slides.

N’hésitez pas à passer 5 minutes sur votre première slide pour introduire le sujet, de même que sur la dernière. Vous pourrez ainsi laisser un temps pour répondre aux questions de votre audience.

Pour les parties de votre présentation qui demandent d’être approfondies, vous pouvez passer 3 minutes sur une slide.

Ce genre de présentation pouvant être longue pour votre public, n’hésitez pas à donner du rythme. Une petite astuce consiste à créer des slides pour introduire une nouvelle partie, elles seront passées très rapidement et permettront à votre audience de suivre votre cheminement.

La présentation dure 45 minutes

Pour ce genre de présentation très longue, vous devez absolument maintenir l’attention de votre public. Les images sont donc primordiales, elles doivent être pertinentes. Évitez également de passer 10 minutes sur une même slide.

Un temps de parole d’une à deux minutes par slide est une bonne moyenne. N’hésitez pas à prendre 5 minutes si vous devez approfondir vos explications.

Une présentation de 45 minutes est généralement liée à un sujet complexe et la projection se fait généralement sur un grand écran. Tenez compte de ces éléments lorsque vous créez vos slides :

  • Adaptez la taille de vos éléments
  • Utilisez divers médias (images, graphiques, vidéos, etc)
  • Gardez un design cohérent tout au long de vos diapositives
  • Mettez les informations importantes sur la moitié haute de vos slides. Bien souvent les personnes au fond d’une salle ne voient pas bien le bas de l’écran.

Vous pouvez créer environ 25 slides, mais n’hésitez pas à en faire plus si besoin. L’objectif est que tout le monde puisse voir les informations que vous présentez à l’écran, et surtout que votre audience reste intéressée jusqu’au bout.

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5 façons d’utiliser le marketing d’influence

80 % des entreprises jugent le marketing d’influence efficace et 71 % affirment que la qualité des clients et du trafic obtenus via cette stratégie est meilleure que celle des autres sources.

Si ce n’est pas encore fait, il est temps de vous intéresser aux influenceurs et à leurs communautés. Ces internautes passionnés ont une voix qui porte et qui vous aide à accroître la portée et l’exposition de votre marque.

Mais comment utiliser le marketing d’influence pour remplir vos objectifs ? Cap sur 5 stratégies à tester !

1. Pour accroître sa communauté sur les réseaux sociaux

Augmenter votre popularité sur les réseaux sociaux fait clairement partie de vos objectifs marketing ? Alors le marketing d’influence peut vous aider.

Les influenceurs comptent généralement des centaines de milliers (voire des millions pour les « stars ») de followers qui écoutent leurs paroles. Et vous, combien avez-vous d’abonnés sur Instagram, Facebook ou YouTube ?

Si vous venez de lancer votre activité, il y a peu de chance que vous dépassiez les 10 000 fans. Et même si vous avez une grande base de followers, imaginez si vous joignez votre communauté à la leur !

Proposez aux influenceurs sélectionnés d’organiser un concours sur leurs profils où ils feront gagner vos produits. Ce genre d’opération est très efficace pour augmenter sa communauté.

2. Pour booster les ventes d’un produit spécifique

Vous avez des produits qui sont à la traîne dans les ventes, ou vous venez de lancer une nouveauté ? Comptez sur les influenceurs pour en faire la promotion ! Avec leur charisme, ils peuvent vous faire gagner de nouveaux acheteurs.

En raison de leur crédibilité : si c’est bon pour eux, c’est bon aussi pour leurs followers. Grâce à un partenariat Instagram, ils peuvent montrer vos produits via IGTV ou en story, et placer un lien vers votre boutique.

Si l’influenceur.se a un blog, vous pouvez acheter un encart pub sur celui-ci ou monnayer un article de blog comprenant un call-to-action vers votre site internet.

Lorsque vous associez votre marque à un influenceur de premier plan, il peut établir votre marque comme étant digne de confiance et tendance. Une telle publicité peut donc augmenter vos ventes sur un laps de temps défini.

3. Pour doper vos retombées presse

Il n’est pas toujours évident de décrocher un article dans la presse généraliste ou spécialisée. Les journalistes qui travaillent pour des médias nationaux sont noyés sous les communiqués de presse.

Même si certains influenceurs sont très demandés aussi, ils sont parfois plus accessibles. Vous pouvez leur proposer de publier un article sur leur blog ou leur envoyer des produits pour qu’ils rédigent un test.

Vous pourrez ensuite démarcher les autres médias en mettant en avant les retombées que vous avez déjà eues sur des blogs célèbres.

4. Pour accroître le trafic sur votre site internet

Les encarts pub sur le blog de l’influenceur, les liens des produits inclus dans ses publications social media ou dans les articles du blog sont autant de sources qui dirigent leurs abonnés vers votre site.

Alors, si vous avez besoin d’accroître votre positionnement dans les moteurs de recherche, un partenariat avec un blogueur peut envoyer un message fort à Google.

Si tous les abonnés ne cliqueront pas forcément sur les liens, vous pouvez tout de même bénéficier d’une hausse certaine des visites durant la collaboration.

5. Pour cibler une niche

Peu importe votre activité, il existe forcément un réseau d’influenceurs spécialisés dans votre niche. Lorsqu’une marque cible un segment restreint, les opportunités publicitaires peuvent sembler limitées.

Avec le marketing d’influence, vous pouvez trouver de réels passionnés et profiter de leur communauté pour augmenter votre visibilité.

L’avantage avec une niche, c’est que si la quantité d’internautes fait défaut, la qualité est toujours au rendez-vous !

 

Promouvoir une marque, augmenter votre visibilité, cibler une audience précise, lancer une nouveauté… Le marketing d’influence couvre de nombreux objectifs marketing.

En sélectionnant des influenceurs pertinents et en adoptant une stratégie solide, vous pourrez tirer profit de cette stratégie pour booster vos ventes.